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Lutte contre l'intégrisme, les douze gestes qui sauvent

" Pfff, caricatural ! "

L'extrême beurk est en deuil, les menhirs en berne, le breton borgne n'est plus ; mais ce n'est qu'un détail de l'histoire...

Aujourd'hui, le vieux facho a passé l'arme à gauche* mais ses idées non. Elles sont d'ailleurs de plus en plus vigoureuses. Méfiance, vigilance, résistance !

* pour un extrémiste de droite, c'est fort

Il meurt le jour de l'hommage aux victimes du 7 et 8 janvier 2015.

Décidément, le vieux réac n'aura rien respecté jusqu'au bout.

Chère tête de con.

Tu m'as envoyé un mél à la mord moi le nœud pour tenter de m'endoffer en pensant que je suis suffisamment couillon pour cliquer sur le lien inséré dans le corps du message.

Chère tête de con, pour que le surfeur et la surfette soient informé-e, je livre ici ledit mél à la mord moi le nœud

Madame, Monsieur,

Nous constatons que l’amende de 135,00 € pour infraction de stationnement reste impayée. Le montant a été majoré à 264,48 € et passera à 675,00 € en cas de non-paiement sous 24 heures.

Merci de régler cette somme sur notre plateforme sécurisée :

Accéder au Paiement Sécurisé

Cette infraction entraîne également la perte de 3 points sur votre permis de conduire.

Pour toute question, notre service client est disponible.

Cordialement,

Si tu me connaissais si bien, chère tête de con, tu aurais su qu'il était inutile de commencer ton courriel par Madame.

Je suppute, chère tête de con, que mon infraction concernait une place de stationnement gênant ou très gênant, car pour un stationnement juste abusif ou gênant, le topique s'élève à 35 balles - majoré à 75 si délai de paiement dépassé.

Certes, chère tête de con, tu as raison, le coût de l'amende pour stationnement gênant ou très gênant est de 135 balles, mais majoré seulement à 575 balles si dépassement. Tu essaies donc, chère tête de con, de te faire une gratte supplémentaire de 100 balles. C'est vil.

Ah, j'oubliais... chère tête de con, peux-tu m'expliquer la majoration alambiquée intermédiaire à 264 balles eeeeeet 48 centimes. Où es-tu allé ça ??? Une majoration de 95,91%... A-t-on jamais vu l'État français s'enquiquiner avec des décimale d'euros ? Franchement, chère tête de con, ou tu es très con, ou tu es très con. J'hésite.

N'étant pas rancunier, je propose, chère tête de con, pour ta prochaine tentative d'arnaque par mél, avant, de consulter le site officiel de la République française : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F34212 Au moins, chère tête de con, cela t'évitera peut-être, aux yeux d'autres pigeons potentiels, de passer pour une vraie tête de con.

Bien à toi.

Demain 7 janvier, cela fera 10 ans que des forcenés monstrueux ont assassiné sauvagement 12 personnes dans les locaux de Charlie et à proximité.

Dix ans déjà que trône au fronton de chaque post ces stylos symbole de la liberté d'expression, hommage à celles et ceux qui ont payé de leur vie pour l'avoir défendue bec et ongle.

Dix ans qu'à la même époque, les larmes montent, irrépressibles, à l'évocation de ce moment horrible*. Mais enfin, pourquoi, au delà de la mort de ces 12 personnes qui me touche profondément, l'émotion m'étreint-elle à ce point ?

Je crois que de la perte de la liberté d'expression** et de celle de la caricature, c'est la perte de La Liberté que je pleure ; celle citée dans la Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen de 1789 :

Art. 4. La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.

Art. 5.  La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.

Si ma liberté s'arrête où commence celle des autres (Art. 4.), il faut m'expliquer en quoi une caricature produite par l'un entrave la liberté de l'autre ; en quoi, outre la colère que ce dernier peut, même légitimement, ressentir, la caricature nuit à sa liberté.

À une époque où la Liberté est en grand danger de par le monde, celle des femmes (Afghanistan, Iran, Afrique... ) et celle des hommes (dictatures assumées ou non... ) battons-nous pour conserver et protéger celle-ci. 

Par la caricature, mais pas que. Par la résistance de la parole et/ou celle des actes. Par l'enseignement. Ne laissons pas gagner l'obscurantisme. Ce sera le plus bel hommage que nous puissions rendre à celles et ceux qui sont tombés ce 7 janvier 2015.

* Et pas seulement à la date anniversaire. Quel que soit le jour, le souvenir est toujours douloureux.
** La loi française défend la liberté d'expression, n'interdit pas la satire et non plus sa déclinaison, la caricature. Il y a malheureusement parfois des exceptions.

Rhôôô Madame Saint-Cricq, ce matin, sur France Info à propos de la réaction des députés au sujet de la présentation du budget : "... les censureurs... " rhôôô !

Pour sur si il y a censuration par les députés, elle se fera entre pairs et sans soeur.

Stop à la dégradation des outils d'information qui ne sont pas aux bottes des investisseurs privés*, ça suffit.

Si vous aussi n'avez pas envie de cela, il suffit d'aller sur https://www.change.org/p/non-%C3%A0-la-privatisation-de-60-millions-de-consommateurs pour soutenir l'INC* et montrer votre désaccord

* 60 millions de consommateurs est édité par l'Institut National de la Consommation.

Ahhhh, c'est ainsi que l'on provoque la turgescence du canon !?!

" Et oui... "

Prix du beurre doublé, inflation sur la galette des rois. Résistez ! Supprimez la pâte et la garniture pour ne garder que la fève. Comme tous les ans, ce sera le/la plus jeune qui passera sous la table pour attribuer les parts. Comme tous les ans il y aura un roi/une reine car la fève sera donnée au hasard. Tout le monde sera content, la fête sera d'autant plus belle que cela fera une vraie économie d'argent, d'énergie, de temps, de digestion, de caries. Que des avantages. Merci qui ???

François B. cherche la formule pour unir tous les Français

" Alors, monsieur le premier sinistre ??? "

" Avec un peu de Pau, ça va marcher "

Annie avait un joli nez.

Un 6 janvier, Annie se cassa le nez. Un chirurgien le lui refit.

Un an plus tard, remise mais insatisfaite, Annie se fit refaire le nez... un 6 janvier.

Un an après, jour pour jour, Annie recommença car lassée de son nouveau nez.

Et ainsi de suite, tous les ans à la même date.

Depuis, en souvenir, tous les ans le 6 janvier, on célèbre les pifs d'Annie.

Si les rois mages s'étaient respectivement pointés avec un Maroilles, un Munster et un Roquefort en guise de cadeaux, il y a bien longtemps qu'on ne fêterait plus l'Epiphanie.

À force de pratiquer le poney aquatique, les pouces palment... pardon, les palmes poussent

" Très chiant pour se curer les orteils "

Qu'ils sachent où je suis, c'est une chose

" Mais comment j'y suis arrivé, ça... !?! "

5 janvier 1895, le physicien allemand Wilhelm Röntgen entre dans un sex shop et découvre les rayons X.
 

Hier, premier conseil des sinistres, et première photo officielle du nouveau gouvernement...

" Bonjouuuuur les petits Français... on va bien rire ensemble, enfin, surtout nous "

À force d'essais nucléaires dans le Pacifique, on mesure aujourd'hui les interactions physique et biologie. Les Polynésiens n'ont qu'un mot

" Médusés ! "

Salut mon poto.

J'ai pris le temps avant de t'écrire, je ne savais pas comment m'y prendre, je ne savais pas trouver les mots. Je savais que je t'écrirais mais je n'étais pas prêt. Le calme et le silence d'après les agapes m'ont maintenant permis de m'y mettre.

J'ai appris ton départ il y a peu, au moment de préparer les réjouissances de fin d'année, quand on commande le Pouilly, divin breuvage que nous aimions déguster ensemble les années passées, lors d'un apéro rigolard.

Je me suis d'abord dit " Tiens, il ne m'a toujours pas répondu " après la sollicitation traditionnelle de novembre. Mais je me suis dit aussi que tu avais plein de choses à faire, toi qui étais toujours occupé. Alors, j'ai fait comme tous les ans, j'ai remis un petit mot.

Au bout de quelques jours supplémentaires sans que tu m'aies donné de tes nouvelles, je me suis inquiété, je me suis demandé ce qui avait bien pu arriver. Et puis j'avoue que j'ai pensé à cette garce de camarde.

J'ai finalement appris que tu nous avais quitté en juillet...

Quelle tristesse. Il nous restait encore de bons moments à passer, rares mais tellement joyeux, tellement gourmands, tant dans les échanges d'idées que dans le partage des délices du palais.

Certes, on ne se voyait pas souvent, mais j'ai souvenir de rencontres toujours joyeuses, pleines de sourires et de rires, voire de franches rigolades. Quand nous nous retrouvions une fois l'an, la conversation reprenait comme si nous nous étions quittés la veille.

Je garde de toi le sourire, même lors des moments professionnels, et la bonne humeur. Je garde de toi ces longues discussions, toujours riches. Tu es vraiment parti trop vite, mon poto. T'avoir connu m'est une belle chose.

Ciao Jean-Claude.

Vu la grosseur de votre oignon, on ose à peine vous demander la taille de vos citrouilles

" Pour vous donner une idée, ma femme, mes trois gosses et moi, on habite dedans... "