Vache ! Il faut 2500 coups de langue pour venir à bout d'une sucette, selon une très sérieuse étude d'une équipe de chercheurs de l’université de New York.

Et combien pour arriver à bout d'une Lucette ?

Question de priorité.

Y s'raient pas moitié cons les abatteurs de statues de Mossoul ?

Non... complétement... Ah oui, je me disais bien.

Je propose que désormais, les statues destinées à ce genre de vandalisme soient fabriquées dans un caoutchouc de bonne facture afin que chaque coup de masse asséné revienne en pleine gueule de celui qui l'aura prodigué.

Je propose que chaque marteau-piqueur qui sera livré à ces reptilo-encéphales vibre tellement que la secousse reste à jamais en leur corps et qu'à chaque miction, ils s'en foutent plein les jambes.

A ces abrutis capable de prouver que le QI peut aussi faire partie des nombres entiers relatifs en descendant bien en dessous de 0, je propose que chaque tronçonneuse utilisée soit surpuissante et n'arrête son massacre qu'après avoir pourfendu le pourfendeur en même temps que l’œuvre d'art découpée. S'ils connaissent l'extase d'une interprétation débile de la religion il ne faudrait pas les priver de savoir ce qu'est aussi la sidération !

C'est flou comme ils roulent vite...

Il faut savoir prendre de la hauteur

Le taux de chômage baisse, celui de la fréquentation du blog aussi...

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Alors... on boude ???

Grand Mère sait faire un bon café...

Notre bon François le français plante un chêne...

Bis repetita ?

Juste "Wouaou !"

Les médias nous ont cassé les burettes tout le week-end avec les vacanciers coincés dans la neige en allant aux sports d'hiver.

Rien à foutre, franchement, rien à foutre !

Le pauvre gars qui roupille dans la rue sous un carton depuis 3 mois me préoccupe plus. Je ne sais pas pourquoi, franchement, je ne sais pas pourquoi...

Je suis vraiment énervé ce soir... vraiment.

Olivier Brandicourt toucherait 4 millions d'euro (2x2) en arrivant à la tête de Sanofi ?

Qui sont les connards qui en ont décidé ainsi ???

Après ça, si d'aucun est pris d'une irrépressible envie de leur arracher les couilles avec les dents, à lui si il accepte, à eux, parce qu'ils sont suffisamment cons pour penser que le risque pris vaut ce prix, je ne serai pas étonné et qui plus est, je ne discuterai pas.

Certes, mes propos sont violents, très violents, mais merde, ça commence à bien faire de gaver de fric des gens qui ont des responsabilité, mais qui, je le rappelle, paient la baguette de pain le même prix qu'un pauvre mec dont le salaire au ras des pâquerettes lui permet à peine de se loger.

Bien sur, il faut des tronches pour gérer les choses, mais si il n'y avait pas des petites mains pour faire vivre les consortiums que ces gens pilotent, ils pourraient se la foutre sur l'oreille pour la fumer plus tard.

Oui, je suis énervé...

Certains sont moins égaux que d'autres.

Habiter dans un trou n'est déjà pas facile, mais habiter dans un trou perdu... Vous voyez la chose, ou plutôt, vous imaginez, car il est déjà difficile de se faire une idée de la matérialité du trou, et si en plus il est perdu... pfff !

Par essence, un trou, c'est du vide. Si ce vide est perdu, ça complique les choses, parce que du rien largué dans le nulle part, ça le fait moyen pour le repérer.

Ainsi, celui qui habite un trou perdu a tout intérêt à ne surtout pas le quitter, au risque de ne jamais le retrouver. Quant aux espoirs de visite... là... c'est râpé.

Je vous le dis, certains sont moins égaux que d'autres.

Incroyable comme le genre peur faire mal tourner les choses...

Évoquons le trou d'homme... tout un chacun sait qu'il s'agit d'une ouverture permettant le passage d’un homme pour l’inspection et la maintenance d’ouvrage de travaux publics (pont, égouts…) ou d’appareils industriels (cuve, réservoir, chaudière…).

Passons maintenant le chose au féminin... aïe aïe aïe !

Quelle dissipation !

J'ai trouvé beau ce propos tenu par une dame coréenne aujourd'hui dans ma radio, adage qui serait de son pays :

"Le bonheur partagé c'est plus de bonheur ; le malheur partagé, c'est moins de malheur"

Trois qui bossent, sept qui regardent... fonctionnaires !

L'étripé à la mode de Caen.

Le petit personnel n'est plus ce qu'il était.