Publié le 27 Janvier 2011
C'est la faute à Météo-France... je ne vois que ça !
Le blog de plaisir-de-mots.over-blog.fr
Mon objectif est d'explorer l'inconnu d'une vie nouvelle, grâce, entre autres, à l'écriture. Le ton restera le même; souvent impertinent, parfois cynique mais toujours en tentant de garder ce qui nous permet encore de vivre dans ce drôle de monde, l'humour, dans tous ses états.
Publié le 27 Janvier 2011
C'est la faute à Météo-France... je ne vois que ça !
Publié le 27 Janvier 2011
Tu vas la fermer un jour ? Imbécile !
Publié le 24 Janvier 2011
Si dans les yeux le shampoing point, nous ne voyons plus où les savons vont...
Publié le 24 Janvier 2011
Publié le 24 Janvier 2011
Des fois, la toile, c'est le bonheur...
Le prix de la bagnole... et à côté, un encart pour solliciter des dons afin de lutter contre la faim dans le monde
350 000 $ d'un côté, 5 de l'autre, soit la possibilité de 70 000 dons pour que de pauvres gens puissent ne pas crever de faim pendant que des bouffis de blé continuent d'esquinter la planète à coup de moteurs V12 !
Elle est pas belle la vie ? Dites moi qu'ils ont fait exprès, allez, dites le moi.
Publié le 23 Janvier 2011
On ne dit pas
"Le greffe-chance chérit chant sécuritaire", ce qui est relativement périlleux à prononcer dans un cocktail
mais plutôt
"L'ante heur aime air de sureté", ce qui permet de siroter son fucking bloody mary devant des yeux ébahis...
Publié le 23 Janvier 2011
Ceci explique cela. Même après de longues années de traque et d'observation aucun éthologue n'a jamais pu voir un paresseux surveiller le lait sur le feu...
Jamais on n'en a vu se gratter le prurit, car quand la patte arrive, le mal a disparu.
De même, la dernière fois que Dieu lui a confié une mission, à l'époque des dinosaures, c'était de donner l'alerte en cas de chute de météores...
Quant à moi, j'avoue humblement n'avoir pas la capacité d'attendre si longtemps quand c'est l'heure du besoin ; ou je tombe de la branche, ou je me souille à souhait.
Publié le 23 Janvier 2011
"Sois prompt à écouter, et lent à donner une réponse."
Ben Sira
Qu'elle est belle et tellement d'actualité cette citation de plus de 2000 ans.
Elle m'aura inspiré..., en voici donc le fruit :
Prendre le temps
Il est vrai qu’aujourd’hui la vitesse prévaut,
La réponse dans l’heure, et cela sans défaut
N’en peut être autrement au risque de déplaire
Réagir aussitôt que l’info va se faire
Sans prendre quelque temps, celui de réfléchir
De mettre la distance, pour mieux la prévenir
Action et réaction, voilà les maîtres mots
D’un monde où tout est fou, d’un monde où tous les maux
Doivent sans plus tarder, trouver la solution
Fi de la réflexion, il nous faut de l’action
Déjà l’enfant le sait, puisque tout arbrisseau
Il comprend qu’il est roi, que tout lui est cadeau
Que ses parents ne savent comment il leur faut faire
Pour que la tête blonde fruit de leur propre chair
Accepte qu’on refuse ce qui lui est désir,
Comprenne qu’il y a parfois du déplaisir
Mais qu’il est constructif, même s’il a le cœur gros
Que papa et maman refusent le crédo
De l’enfant qui s’emporte dès que la frustration
Le prend au dépourvu, force l’acceptation
Quand assis au bureau, sage comme un agneau
Je vois tout en furie, entrer comme un taureau
Mon collègue d’en face, souvent atrabilaire
Le cheveu en bataille et l’air autoritaire
Sans même me saluer, et tout ça pour me dire
« As-tu reçu le mél ? Je viens de le finir
Et j’attends ta réponse, très vite il me la faut
Cela ne peut attendre… Voilà donc le fléau
De la rapidité. Voilà donc l’abjection
Du manque de répit pour répondre aux questions.
Bien sur si la vitesse, nous amène aussitôt
A l’autre bout du mode, cela prestissimo
Il n’en reste pas moins que cela m’exaspère
Ne n’avoir plus le temps, parce que tout accélère
D’apprécier les choses, de pouvoir acquérir
Une philosophie qui pourrait abonnir
Ce que je vis des choses, ce que je trouve beau
Et si célérité devient le seul ruisseau
De tout ce qui nous fait, c’est une abjuration
Du plaisir de la vie, une abomination.
Aussi le politique, à son plus haut niveau
N’a plus capacité de trouver le repos
Celui qui nous protège de la crise de nerfs
Et nous permet ainsi d’avoir l’esprit plus clair
Afin de distinguer ce qui sera le pire
Trouver la solution ou bien céder à l’ire
Et pourtant on le sait, la colère ne vaut
Surtout pas qu’on y tombe, car elle a le défaut
D’empêcher de penser, de nuire à l’attention
De tous nous révolter, de créer la tension.
Aussi, je vous le dis, allez decrescendo
Pour qu’au bout de la vie vous soyez en écho
De la force du vent, de celle de la terre
Et de celles de l’eau, du feu qui nous sont chères
Pour qu’ainsi vous puissiez, enfin vous accomplir
Etres de la nature, humains en devenir.
Habitants de la terre, votre si beau berceau,
Réagissez au mieux, préparez vos cerveaux
Sans partir en arrière, engagez votre action
Pour enfin accepter la décélération.
La lenteur a du bon, observez l’escargot
Qui toujours à la peine, traîne son lourd fardeau
Sachez vous inspirer, sachez en prendre l’air
Car même s’il ne va pas si vite que l’éclair
Il arrive à son but, et cela sans courir
Sans jamais s’arrêter, sans jamais s’assoupir
Hommes de la vitesse, arrêtez vos assauts
Prenez le temps de vivre, prenez celui qu’il faut
Pour qu’icelui vous porte l’amélioration
Sur le champ, tout de suite, sans autre digression
Devenez fainéant, refusez le monceau
Des actes qu’il vous faudra traiter illico
Prenez de la distance, sachez garder vos nerfs
Et sans hésitation, sachez bien vous abstraire
Des réponses immédiates, sachez les abolir
Au jeu de la durée, sachez-vous convertir.
Prenez donc bien le temps, tout comme le bateau
Qui va sur l’onde claire, navigue au fil des flots
Et qui toujours au port, sans précipitation
Amène les colis, livre les provisions
Apprenez aux enfants, qui sortent du berceau
Ce que veut dire attendre, que signifie repos
Ce faisant vous saurez ménager vos arrières
Pas de fessées de trop, de claques sur le derrière
Vous aurez fait passer comme bon souvenir
Celui du temps qui passe et qu’on laisse advenir
Joie de se réveiller alors qu’il n’est plus tôt
De lézarder un peu quand dehors il fait chaud
De prendre tout son temps pour faire ses ablutions
D’avec le paresseux être en adéquation
Et si la nonchalance ne fait admiration
Prenez la chose bien, ce sera la caution
De votre attachement à ce qui là prévaut :
Indolence de l’aï, celle du cachalot
Flegme de la tortue, qui peine à déguerpir
Chantres de la durée qui lentement s’étirent
Enfin, si vous trouvez que la chose est austère
Mon propos hors sujet, mes phrases cavalières
Alors n’hésitez pas, allez-y allegro
Choisissez la vitesse, celle de l’escargot !
Publié le 22 Janvier 2011
« Quand on m'appelle monsieur le ministre, j'ai toujours l'impression que Jack Lang va surgir derrière moi »
Le neveu
On n'a que le plaisir qu'on se donne !
Publié le 22 Janvier 2011
Besoin d'écrire les mots,
mais ils ne viennent pas.
Les larmes les remplacent,
gonflées d'un sens profond
que la raison ignore,
que l'esprit ne peut pas
coucher sur le papier.
La tristesse envahit
mon être tout entier.
La mort est là aussi
au plus profond de moi.
Je suis encor vivant
et pourtant je me sens
empli d'un vide intense
qui refroidit mon âme.
Pourquoi celui qui part
nous laisse dans l'effroi,
dans la peine absolue,
dans l'infinie détresse ?
La mort est un miroir
qui au delà du mal
que j'éprouve céant
d'avoir perdu ma soeur
me renvoit à la vie
et me rappelle tout
ce que je n'ai su faire
ce que je n'ai su dire.
Publié le 22 Janvier 2011
Incroyable, avec sa capacité olfactive surmultipliée par rapport à celle de l'homme, ce chien est capable de détecter les cancers de la prostate en flairant les urines...
Ne soyons pas jaloux, il nous reste les oreilles pour détecter l'imbécilité politique !
Publié le 20 Janvier 2011
Vous cherchez des truffes ?
Un bon plan : Elysée, tous les mercredis matin, conseil des sinistres... y'en a plein !
Publié le 16 Janvier 2011
Publié le 16 Janvier 2011
Ayons une pensée pour toutes les victimes, passées, présentes et futures des régimes autoritaires. Celles qui n'ont d'autre choix que de vivre dans ces pays, celles qui par professionnalisme et conviction, font leur métier. Je pense à ce jeune qui s'immole en Tunisie, à ce journaliste victime d'un tir tendu de grenade, à ces deux jeunes gens pris en otage...
Sachons aussi faire notre mea culpa, la France n'est pas blanche dans toutes ces affaires, au présent comme au passé !
Publié le 15 Janvier 2011
A toi qui marche au long
de l’onde qui sépare
du nouveau territoire
Où nous aussi irons
Je dédie ces pensées
Je t’offre quelques mots
Pour qu’à franchir ces eaux
Cela puisse t’aider
Certes nous n’avons su
Pas toujours nous parler
Ni nous accommoder
De ce que l’on a vu
Peu à peu s’éloigner
Echanges qu’on survole
Relations qui s’étiolent
Et qui nous font saigner
Parce que malgré tout
Malgré cette distance
Une forte alliance
Subsiste au fond de nous
Celle de la fratrie
Qui en dépit des choses,
De ce qui nous oppose
Toujours nous réunit
Je pense à toi ma sœur
En ce moment précis
Et je te dis merci
De rester dans mon cœur
Publié le 15 Janvier 2011
URSS... mourir de froid dans les goulags !
Hongrie... mourir à petit feu dans les goulashs...
Choix cornélien pour le déporté !
Publié le 15 Janvier 2011
Allez, l'année est nouvelle, soyons fou !
Hop, nouvelle rubrique : "Six tas, scions... "
Ce n'est pas une facilité pour abonder le blog, j'aime partager ce qui me fait rire.
Elle me font tellement plaisir, je ne résiste pas à vous les proposer"
Donc pour l'inauguration, six thons Philippe Geluck :
In Le tour du chat en 365 jours
"Quand on change son fusil d'épaule
Il y a intérêt à ne pas partir de la droite
Sinon on passe l'arme à gauche"
Si vous itou, vous tombez sur des textes courts que vous auriez envie de partager... n'hésitez pas !
Publié le 15 Janvier 2011
Et mes biftons aux quatre vents
De souteneur et de maquereau
Et mes biftons aux quatre vents
Je vous rendrai toutes compulsives
Et si possible collectives
Je profit'rai de vos seize ans
Pour initier aux joies du grand
Bonheur sans édulcorant
Et ce sera tout mon loisir
Et nous ferons ça tous les jours
Evitant de parler d'amour
Pour ne pas gâcher le plaisir
Et nous ferons ça tous les jours
Evitant de parler d'amour
Pour ne pas gâcher le plaisir
Publié le 15 Janvier 2011
Overdose de médoc... un ami très proche, un ami très proche... je cherche... Jean-Luc D. peut-être ?
Publié le 14 Janvier 2011
Cherche stage en Tunisie pour apprendre comment vider un incompétent notoire, méprisant et arrogant.