Publié le 31 Décembre 2014
Publié le 31 Décembre 2014
Le réchauffement climatique... c'est pour de la vraie !
"Merde, pas de neige à l'arrivée... j'y crois pas.
Publié le 31 Décembre 2014
Publié le 31 Décembre 2014
Français, Françaises, Francis, Françoises, Surfeurs, Surfaites, voilà le temps de vous présenter mes vœux. Plus tard que le Petit Nicolas car je suis plus grand, plus tôt que le petit François, car je suis moins Président. Alors, que vous souhaiter ? Une augmentation du tarif des timbres, c'est déjà fait, une diminution de notre pouvoir d'achat, ça aussi c'est déjà fait. Une limitation des conflits dans le monde, non, pourquoi se priver de ce qui engraisse les pays en paix, une montée de l'intelligence politique, là c'est trop demandé. Le retour du départ de Sarko, faut pas rêver, le départ du retour d'un réel leader charismatique pour notre pays, on peut rêver. Bref, avant que François le français finisse son discours en cours de choses qu'on sait déjà sur les choses qui arriveront pour nous emmerder ou encore celles qui n'arriverons pas pour ne pas nous emmerder, je vous souhaite tout ce que vous souhaitez, ça mange pas de pain, ça m'évite de trouver un truc pour chacun d'entre vous et ça permet à chacun de me trouver vraiment cool d'avoir pensé pile à ce qu'il attend ! Voilà, c'est fait, paf, ouf et pouf...
Publié le 29 Décembre 2014
Comble du tireur, être sensible
Publié le 29 Décembre 2014
Au pied des pistes de ski... plein de monde qui attend dans des salles chauffées spécialement.
A Calais... plein de monde qui attend... dans le froid parce que les salles spécialement chauffées, ce monde là n'ose pas y aller, ou si peu.
Entre les deux, mon empathie n'a pas hésité une seconde
Publié le 28 Décembre 2014
Il est dodu, doux au toucher, agréable en son extrémité à prendre en bouche quand il durcit... C'était le sein du jour !
Publié le 28 Décembre 2014
J'aime la musique, mais l'ogre de Barbarie... ça fait peur
Publié le 28 Décembre 2014
Asseyez-vous. Imaginez. Douze personnes, emmitouflées, mitaines aux mains, bonnet vissé sur la tête. Pas de pluie, pas de neige,mais l'air qui passe en courants froids et véhicule une humidité qui perce le vêtement. C'est bien l'hiver. Le décor est blafard, néons réfléchis sur les petites faïences rectangulaires blanches. Sol gris sale, maculé de l'irrespect du voyageur qui jette papier gras et autre ticket de transport. La voûte réfléchit le brouhaha, rames entendues au loin, pas de l'homme pressé, de la femme en retard qui à ce petit groupe ne porte aucun regard. Devant cette assemblée, la foule protéiforme évolue à mesure du flux des passants. Certains filent à toute allure, d'autres se faufilent, tentant d'éviter ceux qu'ils croisent, d'autres encore restent debout, immobiles, pris par ce qui se passe ; j'en suis. L'événement est là, devant nos yeux. Au sein de la petite formation, les pages se tournent, les corps se meuvent, ajustant ça et là l'instrument, positionnant le lutrin pour éviter sa chute. L'archer se pose sur les cordes et soudain, le temps s'efface, le lieu se restreint à l'espace intérieur. Haendel, La Sarabande. Les notes s'envolent, lentes, graves, majestueuses. Le couloir terne du métro s'illumine au point de disparaître de la vue. Malgré le bruit ambiant, la musique, servie par l'architecture, est omniprésente. Elle pénètre les corps, les esprits. Fi de tous les fâcheux qui passent en bougonnant. Le temps est suspendu, l'instant touche au sublime. Merci encore à vous, musiciens et métro, improbable orchestre de chambre, de m'avoir fait vivre cela.
Publié le 27 Décembre 2014
Était-ce quand l'anarchiste singeait un semblant de respect de l'ordre que l'épouse Sophie trouvait le Bonnot beau ?
Publié le 26 Décembre 2014
Bonjour le cadeau... un cadeau qui bouffe les accoudoirs des fauteuils Voltaire, qui renverse les vases de Chine, qui pisse sur les tapis haute laine de l'Atlas, qui bouffe un sac de croquettes/jour, qui macule la pelouse de ses étrons king size...
La Fédération des anciens combattants français de Montréal a offert un Labrador à François le Français. Incroyable cadeau empoisonné ! Tu parles d'une idée à la con. Il va encore nous ruiner le patrimoine le clebs, avec ça que sa ration de bouffe quotidienne, c'est qui qui va la financer ? Ben nos impôts pardi.
J'espère juste une chose, c'est qu'avec le nom qu'il lui a collé, Philae, not' Président va mettre illico son clébard en orbite avec pour mission d'aller chercher sa baballe sur Mars, ça nous fera des vacances... et des économies.
J'ai ouï dire que pour Noël 2015, l'Association des anciens combattants bretons ont prévu de lui offrir comme NAC... une huître ! Peut-être que l'Association des anciens combattants de la région PACA lui offriront, pour son jardin... un citron.
Publié le 26 Décembre 2014
Publié le 26 Décembre 2014
"Si tu veux pouvoir attraper
cette foutue crème de Paris-Brest
qui colle à cette saloperie d'assiette,
une seule solution...
... l'ambidextrie, et pis c'est tout !"
Publié le 26 Décembre 2014
Publié le 26 Décembre 2014
Publié le 23 Décembre 2014
Depuis le temps que Jacques Chancel, il a chu… paix assez cendres.
Publié le 21 Décembre 2014
Et au moment d'allumer le four pour cuire la dinde, paf... pu d'jus !...
ça t'apprendra à gâcher l'énergie...
Publié le 21 Décembre 2014
Publié le 21 Décembre 2014
Merde... la panne ! 3000 tout rond, paf, arrêt, d'un coup. Ben ça alors, si je m'y attendais ?! Mais voilà, c'est comme ça, ça prévient pas. On se dit, c'est bon, j'ai encore de la réserve, je peux aller encore un peu plus loin, j'ai pas tout utilisé... Et pourtant, je le savais que ça arriverait, j'avais tenté d'anticiper... Mais maintenant, je sais que ce n'était pas assez tôt, que j'aurais dû prévoir, être plus prudent, moins sur de moi. Du coup, je me retrouve comme un imbécile, à ne pas pouvoir aller plus loin, à me dire qu'on m'attend. En plus, j'ai oublié mon portable, donc je ne peux pas prévenir... chiotte ! On n'est jamais assez prévoyant. Et dire que ça m'est déjà arrivé. Mais pas comme ça, moins à sec, il restait encore une petite réserve qui, après avoir bien secoué, permettait d'aller plus loin pour trouver la ressource qui ferait repartir de plus belle. Pourtant là ! Rien, que dalle, aussi sec que le désert d'Atacama en période de canicule, réservoir aussi vide que le cerveau de Nabila. Et pour trouver de l'aide... Walou, makache, personne, je suis aussi seul qu'Eric Zemmour au milieu d'une manif de la Licra et du Mariage pour tous réunis. Bien sur, il y a les amis, les fidèles, les réguliers, ceux qui voyagent avec moi à la semaine, voir au quotidien pour les plus proches, mais à cette heure, ils en sont au café, ne se doutant pas que je suis à la peine, que le livraison du jour, à l'instar de la marée le 24 avril 1671 à Chantilly, risque d'être fichtrement en retard. Alors ? Tel Vatel, vais-je m'occire ? Non, il me faut tenir. Bon Diou, tout de même, même si je faisais des arrêts pipi, des pauses vacances, depuis 1555 jours, ça roulait. Alors Diable, reprenons nous, il en reste encore à faire. D'abord, rester calme, l'énervement nuit. Regarder autour de moi, scruter l'horizon, en espérant éviter le syndrome de soeur Anne. Croire en Dieu, qui sait ? Pas forcément une bonne option mais la détresse génère parfois des idées saugrenue... je laisse tomber. Croire en l'homme, plus pragmatique, même si la période peut largement faire douter de cette philosophie. Bref, s'accrocher. Prendre la chose au sérieux, mais avec humour, juguler la colère, la transformer en énergie critique. Une seule chose à faire, attendre, elle finira bien par arriver la solution, au tout dernier moment, avant le cataclysme, comme dans les films où à la dernière seconde, le détonateur de la bombe s'arrête, où le héros salvateur et musclé surgit. Oui, elle sourdra sans prévenir, cette goutte qui remettra le moteur en route et nous emmènera ensemble pour un millier supplémentaire.
Tiens, finalement... il est écrit le 3000ème post !
Publié le 20 Décembre 2014
En cette période de Noël, dégoulinante du prosélitisme religieux arrosé au vin chaud des estaminets ponctuels, il n'y a finalement qu'une expression issue de la tradition qui me sied : "Mettre le petit Jésus dans la crèche" !