Publié le 30 Juillet 2011
Dans un soucis d'économie d'ambulance et de cercueil, les sachets en plastic seront bientôt interdits au Moyen- Orient.
Le blog de plaisir-de-mots.over-blog.fr
Mon objectif est d'explorer l'inconnu d'une vie nouvelle, grâce, entre autres, à l'écriture. Le ton restera le même; souvent impertinent, parfois cynique mais toujours en tentant de garder ce qui nous permet encore de vivre dans ce drôle de monde, l'humour, dans tous ses états.
Publié le 30 Juillet 2011
Dans un soucis d'économie d'ambulance et de cercueil, les sachets en plastic seront bientôt interdits au Moyen- Orient.
Publié le 30 Juillet 2011
Fin juillet, Paris, samedi, huit heures et quelques. Le soleil brille dans un ciel émaillé de quelques nuages bienveillants. Peu de monde dans la rue malgré l'heure, week end, vacances des aoûtiens qui débutent. J'évite l'eau ruisselante du trottoir propret. Aujourd'hui Karcher, hier, simple balai de branches qu'un homme en bleu maniait avec aisance, rapportant au caniveau les papiers gras qu'une onde artificielle convoyait vers l'égoût le plus proche. Hier, oui, c'était hier, ma première visite à Paris. J'avais neuf ans, l'âge des émerveillements, celui de la compréhension des choses et de l'infinie curiosité. Quarante quatre années se sont écoulées depuis mais c'était hier. La force évocatrice des images, des bruits, des odeurs. Tout a changé mais tout renvoit au souvenir. Celui des senteurs du poulet qui rôtit à la devanture du traiteur, celui de la fraîcheur du matin, parfum des arbres de l'avenue mélé à l'odeur de graisse des moteurs automobiles. Je suis petit garçon. Les images viennent à mon esprit, balades en bateau-mouche, immense enchevêtrement de métal de la fascinante Tour Eiffel, cires du Grévin où je trouve étrangement calme cet homme assis sur un banc dans la galerie , goûter au salon de thé de la maison de la radio, pour consoler la tristesse d'une visite manquée, premières initiations à la physique avec la cage de Faraday du palais de la découverte ou la cabine de pilotage de la moderne BB, fierté de la SNCF, rencontre avec l'Egypte par le truchement du masque de Toutânkhamon en visite au grand palais. Magie de la grande ville. Carrefour d'histoire, de science, d'art... Boulimie de connaissance, tout voir, tout découvrir, tout connaître. Petit provincial, j'absorbe tout, les commerces ouverts le dimanche, exceptionnel à l'époque, le désordre des puces de St Ouen, le bruit du métro initial, sur rail, le silence de celui qui, sur pneu, se subsitue progressivement au précédent, miracle du progrès, mort de la petite histoire, celle qui fût, par excellence, la vie. Qui n'a pas connu Paris étant enfant perd la dimension du gigantisme, celle du plus grand que soi. C'était hier. Maintenant, je me régale de cela, de cette double appréhension des choses, étrange fusion de deux temps qui se rencontrent. Marcher, déambuler, au gré des rues, au gré de la mémoire, regarder, sentir, écouter pour encore et encore, sans nostalgie, vivre le plaisir d'être à Paris.
Publié le 30 Juillet 2011
Vu sur un sac disponible dans la grande distribution cette excellent slogan
"Même si je suis biodégradable, ne me jette pas dans la rue"
Amateur de contrepéteries, j'ai ausssitôt pensé que moi non plus, bien qu'étant biodégradable également, je n'aimerai pas qu'on me "jette dans la rue... !"
Publié le 28 Juillet 2011
Pas de doute, l'inventeur du parasol était un gibbon, avec des bras qui lui permettaient de se gratter la plante des pieds sans plier l'échine car en vérité, quand tu ouvres un parasol, quel qu'il soit, avec tes bras... normaux ! As-tu remarqué que tu prends systématiquement la toile dans la figure ? Le syndrome de la notice de médicament a encore frappé.
Publié le 27 Juillet 2011
Il y a des choses que le cerveau refus d'apprendre.
Pourquoi quand on cherche la petite cuillère dans le tiroir à petites cuillères, on ouvre d'abord le tiroir à couteaux, puis le tiroir à fourchettes, ou inversement et jamais, au grand jamais, directement le tiroir à petites cuillères ??? Syndrome de la notice dans la boîte de médicament ? A n'en pas douter.
Publié le 27 Juillet 2011
J'aimais beaucoup mon coutelier.
Malheureusement, il a rendu lame !
Publié le 24 Juillet 2011
Il est sinistre, absolument sinistre qu'on puisse encore trouver des hommes dignes de ce nom pour commémorer les pires saloperies que seul l'Homme est capable de commettre. Lamentable, abject...le vocabulaire manque !
Publié le 24 Juillet 2011
Quand la virgule fait changer de registre...
Les chevaliers, magnifiquement montés sur de luisants destriers gris, arrivèrent au château.
ou
Les chevaliers magnifiquement montés, sur de luisants destriers gris, arrivèrent au château !!!
Publié le 24 Juillet 2011
Après la boule de feu qui réjouit les scientifiques, ce sont les morceaux de météorites qui attirent la foule de boeufs !
Publié le 24 Juillet 2011
J'apprends ce jour la mort d'Amy Whinehouse...
Curieuse femme, déjantée au possible, dont j'ai découvert la voix un jour par hasard. Mais quelle voix ! Quelle musique ! Amy nous embarquait loin, très loin dans l'espace jazzy. Musique chair de poule, frisson d'aisance, on aime ou on n'aime pas mais si on aime, on aime tout... rien à jeter.
Le seul hommage qu'on puisse lui rendre est d'écouter encore et encore sa voix, sa musique, son style.
Publié le 23 Juillet 2011
Printemps 2012, grand concours de jeté de nain. Jeunes qui avez 18 ans en 2011, n'oubliez pas de vous inscrire avant le 31 décembre pour concourir.
Publié le 21 Juillet 2011
Du changement dans la presse, à quelques mois des présidentielles, le Figaro devient un tabloïd, brasseur de fiente...
Publié le 20 Juillet 2011
Au risque de passer pour un vieux schnock grincheux... mais j'assume, je m'offusque contre la sottise humaine qui a conduit près de 200 cyclotouristes à avoir besoin de secours parce que pris par une météo mauvaise au col du Galibier lors de leur dernière sortie.
Certes, les précédentes manifestations s'étaient toujours bien passées avec des sportifs vétus uniquement de short et T-shirt.
Certes, nous sommes en juillet, saison d'été dans l'hémisphère Nord.
Certes le corps dégage de la chaleur lors de toute épreuve sportive.
Certes...
Mais quand même.
Le moins qu'on puisse dire est que la météo du mois est plutôt déplorable
Les habitués de la montagne, et je pense que les organisateurs* le sont, savent qu'icelle peut très vite changer.
La moindre des choses quand on part en montagne est de prendre au moins un vêtement de pluie, même léger.
...
Alors, que dire de l'incurie des organisateurs, de la naïveté des participants sinon qu'elle coûte cher à la société puisqu'il a fallu mobiliser des moyens importants pour secourir les transis de froid.
Et dire que quelques précautions, minimes, auraient permis d'éviter cela !
* le club de cyclotourisme organisateur est grenoblois !!!
Publié le 19 Juillet 2011
Juillet 2011
L'homme est finalement comme le temps de l'été...
Tous les jours un peu pluvieux !
Publié le 18 Juillet 2011
Article sur Banon/DSK dans Marianne n°742 (9 au 15/07/11)
Que penser ?
DSK, brillant politique mais bandard fou ?
Banon victime sexuelle médiatique mais nymphomane ?
Mansouret, la mère, arriviste au point de sacrifier sa môme sur l'autel de sa propre réussite ?
Qui croire, que penser, une fois les hauts le coeur passés...
Publié le 15 Juillet 2011
Pour résister à tout ça, le slogan de l'été sera
Tididi tididi tididi...
Ici l'ombre, ici l'ombre...
Les bronzés parlent aux bronzés !
Publié le 15 Juillet 2011
Apprendre le solfège ? Que nenni, des musiciens, et non des moindres ont composé sans cela. La preuve :
Ludwig Van B. - Op. "Là une fois" dite L'hymne à la Normadie (première mesure)
Publié le 15 Juillet 2011
A n'en plus douter mainbtenant, c'est bien à Emile Patate, éminent orthiculteur wallon, que nous devons la découverte des plantes épifrites !
Publié le 11 Juillet 2011
Itinérance
Femmes aux cheveux fleuris dans le soleil éclatant de l'été qui arrive. La chaleur monte doucement, l’eau porte sans peine ses reflets moirées. Bach, Schubert, Satie colorent l’espace de douces
notes portées par le temps. La pianiste au pieds nus joue. Ses doigts ondulent sur le noir et blanc musical, clavier partition, sonorités douceur, pleinitude. De liseron, les enfants tressent les
couronnes. Le piano les rend sages, attentifs. Les femmes échangent doucement, assises au bord de l'eau, dans leur belle maturité. Visages que la vie a formé, marqué de l'expérience, mais si doux
; les notes les entourent, traversent l'air, les subliment. Les hommes sont plus loin. Ils s'affairent, oeuvrent à la tâche, fraternels. Le piano cède la place, l'accordéon survient, errance de
l'instrument, balade au gré des pas. La Mayenne apprécie, frémit encore de bonheur. Elle coule sans courant, laissant l'eau apaisée, les humains subjugés par la beauté du lieu que la musique
éclaire.
Moment de grand plaisir, moment d'éternité, que la vie a fait naitre un beau jour de juillet.
Dédicace à Sophie, pianiste aux pieds nus
Publié le 7 Juillet 2011
Le ministère dénonce les erreurs. Ah ? Tiens ? Il en est certainement complètement excempt, lui, comme toute la politique menée depuis plusieurs mois.
J'imagine que la cour des comptes ait dit le contraire... le ministère se serait gaussé, certainement !