Publié le 31 Mai 2016
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En surfant sur LinkedIn, dans la longue liste des contacts sur le profil que je consultai, un patronyme a attiré mon attention... Lecul !?!
Et ce n'est pas une plaisanterie. Pris par la curiosité, j'ai vérifié et trouvé plus de 90 occurrences dans les pages blanches... qu'on se le dise, Lecul est partout !
J'ai une pensée fraternelle pour tous les nommés Lecul car ce n'est pas simple à porter et cela donne lieu à quolibets la vie durant.
Imaginez... dès l'école. Autant un "Regarde-moi Martin ou regarde-moi, Durand" lancé par le maître ou la maîtresse prête plus à la discipline qu'à la rigolade, autant avec le patronyme suscité...
Lors d'une course au trésor en équipe, si ce n'est pas lui qui le trouve, il finira par s'entendre dire "C'est bon Lecul, je l'ai !"
Au moment du mariage si une demoiselle Pincé décide d'épouser un homme affublé de ce nom improbable et souhaite garder son nom de jeune fille, ça lui colle de suite une étiquette plutôt négative.
Et pire encore, même dans un moment de désarroi, quand le nom devient insupportable à qui le porte et que seule une bonne biture pourrait faire oublier la chose, cela revient à la figure, si j'ose dire du susnommé en disant de lui qu'en plus, il était... torché !