Mon objectif est d'explorer l'inconnu d'une vie nouvelle, grâce, entre autres, à l'écriture. Le ton restera le même; souvent impertinent, parfois cynique mais toujours en tentant de garder ce qui nous permet encore de vivre dans ce drôle de monde, l'humour, dans tous ses états.
J'ai dû subir une petite intervention chirurgicale qui nécessitait une anesthésie locale.
Au moment de l'anesthésie, le produit injecté en sous cutané m'a procuré une forte sensation de brûlure.
J'ai été tenté, pendant quelques secondes, de demander au médecin une anesthésie à côté du point d'injection pour le pas éprouver ce très désagréable effet de l'anesthésiant premier mais j'étais circonspect...
Aujourd'hui, 30 novembre, c'est la journée internationale contre la peine de mort. Son origine ? C'est l'anniversaire de la première abolition de la peine de mort réalisée par le Grand Duché de Toscane le 30 novembre 1786.
Depuis la création de cette journée, près de 1000 monuments ont été illuminés dans presque 100 pays des cinq continents... y compris dans les pays qui maintiennent la peine de mort.
La fin de la proposition précédente est pour le moins cocasse non ? Comme indique une fois de plus la réplique tirée des Tontons flingueurs : "Les cons ça ose tout... "
Mais alors, si le réchauffement climatique réveille les volcans, les volcans vont réchauffer le réchauffement climatique ?!
Du coup, le réchauffement climatique réchauffé risque de réveiller encore plus de volcans qui vont accentuer le réchauffement du réchauffement climatique déjà réchauffé. Etc etc...
Si par chance, on réussit a éviter ça, on pourra dire qu'on a eu chaud.
Des archéologues nous apportent la preuve que le mal qui nous a touché parfois mortellement fin 2019 est bien plus ancien qu'on ne pouvait le croire. Ils ont retrouvé le squelette du virus
Parisiennes, Parisiens, banlieusardes, banlieusards, touristes, touristes, précipitez vous sur la première bouche de Métro ou vers le premier point de vente de ticket de la RATP et achetez, achetez, achetez...
En effet, par la grâce des futurs jeux olympiques qui auront lieu dans la capitale française, le ticket de Métro passera de 2,10 € l'unité à... 4 € !!! Pas moins. Soit une augmentation de plus de 90%. On croit rêver, ou plutôt non, cauchemarder.
Même si cette augmentation a pour objet - c'est ce que déclare la présidente de la région Ile-de-France - de financer l'augmentation de la fréquence des bus, métros et RER pendant les jeux, ça fait mal. Si j'ai bien compris l'article de France Info, l'augmentation serait temporaire et limité à la durée des JO.
Quoi qu'il en soit, la travailleuse, le travailleur de base, qui au quotidien doit se rendre au chagrin via les transports en commun sous-terrains, vont le sentir passer car même le forfait prend une sérieuse claque sur le museau ; ce ne sont pas les rentrées financières occasionnées par le moment festivo-sportivo-économique qui rempliront le porte monnaie de quidam contraint d'aller au taff en Métro...
L'argent appelle l'argent et ce sont toujours les même qui en prennent plein la gueule. Je suis en colère. Comme dirait Christophe Bourseiller sur France Inter : "Ce monde me rend fou "
J'ai eu la très grande chance de voir ce film il y a quelques temps sur France 3. Un documentaire rare, sensible, juste, captivant. Pris au vol d'un zapping TV de fin de soirée, quand les yeux fatiguent et qu'on se ressert une louche de petite lucarne parce que demain, on pourra se lever un peu plus tard grâce à la retraite, j'ai été happé par ces images, par ces sons, par Suzanne. Impossible de décrocher.
Ce film est bigrement intelligent. Il représente à mes yeux l'essence de l'audio-visuel qui laisse à voir, à entendre, qui permet au spectateur de construire la compréhension de ce qu'il perçoit, et non comme un diktat généré par l'audimat des émissions pseudo-docu*.
Certes, Suzanne y est forcément pour beaucoup, mais les réalisateurs ont su être présents sans être omniprésents. Discrets, comme Suzanne, posés, comme Suzanne quand Stéphane Manchematin la questionne et la relance, simples mais si authentiques, comme Suzanne, belle vieille dame de 90 ans passés.
On perçoit dans Suzanne jour après jour un vrai travail de fond, un parfum de proximité et non de promiscuité, un travail documenté qui sait n'en point faire trop.
Alors pour vous mettre l'eau à la bouche et l'envie dans la tête, regardez cet extrait long, puis si le film passe près de chez vous, ou en replay à la télévision, ne le manquez pas. C'est une merveille.
Merci Stéphane, merci Serge, merci Suzanne.
* dont Rendez-vous en terre inconnue, le moins pire, qui grâce aux beaux paysages, à une mise en scène ad hoc que je trouve très artificielle, voire artificelles, vous tire des ahhh, des ohhh et les larmes au moment où l'invité quitte ses hôtes du bout du monde. Vraiment, j'ai du mal à y croire.