Connaissez-vous la belle histoire de l'égoutier et de la dame qui faisait le ménage dans une station d'épuration ? Non ? Alors, restez assis, je m'en vais vous la conter.

Un jour, un égoutier, que son patron avait envoyé à la station d'épuration pour suivre une formation de niveau 2, vit la dame qui faisait le ménage à ladite station. Immédiatement, lorsque leurs regards se croisèrent, ils surent qu'ils étaient faits l'un pour l'autre.

Après sa formation, l'égoutier, revenu sous terre, à ses égouts, ne pensait qu'à la dame de son cœur qui faisait le ménage à la station d'épuration. Pendant ce temps là, la dame qui faisait le ménage à la station d'épuration ne rêvait que de l'égoutier trop tôt reparti.

L'un et l'autre n'avaient de fin que de se retrouver afin de partager leur amour grandissant. L'un et l'autre nourrissaient le désir farouche de s'échapper de leur travail pour enfin pouvoir s'unir et convoler en justes noces.

Mais voilà, le directeur de la station d'épuration, un méchant homme, avait des vues sur la dame qui faisait le ménage à la station d'épuration. Il trouvait des prétextes, plus fallacieux les uns que les autres, pour retenir à la station d'épuration la dame qui faisait le ménage à ladite station.

De son côté, le patron de l'égoutier, un vilain homme lui aussi, refusait systématiquement et avec un plaisir pervers d'accorder le moindre congé, si petit soit-il, à son employé. Cela interdisait donc à l'égoutier, malheureusement, de pouvoir rejoindre sa mie afin de la serrer dans ses bras.

Cependant, l'égoutier et la dame qui faisait le ménage à la station d'épuration étaient, l'un comme l'autre, bien loin d'être sots. Chacun de leur côté réfléchissait au plan à ourdir pour s'échapper, qui des égouts, qui de la station d'épuration.

La dame qui faisait le ménage à la station d'épuration prétexta de sortir les poubelles car c'était jour de ramassage, elle profita d'un moment d'inattention de son directeur pour s'accrocher au camion des éboueurs et s'enfuir.

L'égoutier se fabriqua une tenue de scaphandrier avec les objets hétéroclites trouvés dans les égouts et réussit à échapper à la surveillance de son patron en nageant sous la surfaces des eaux puantes et visqueuses jusqu'au dehors des égouts.

L'égoutier finit par retrouver la dame qui faisait le ménage à la station d'épuration. Ils s'aimaient tant qu'ils se promirent de ne plus jamais se quitter. Finalement, et c'est une bien belle fin, ils se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d'effluents.

Pour maigrir à la Martinique ou en Guadeloupe, il ne suffit pas de faire le régime de bananes, encore faut-il que le chlore déconne.

On reconnait l'Aedes albopictus, dit moustique tigre, à son sens de l'abnégation personnelle et à son attachement viscéral à la cause des kamikazes. Ce putain de fils de pute de moustique entretient en effet un amour irrépressible pour la descente en piqué pour piquer et pomper le fluide sanguin du gras fessu de l'homo-erectus ou de la jambe gracile de la femmo-érigée , même si ces derniers ne sont pas déguisés en porte-avion. Le moustique tigre ou plus exactement LA moustique tigre, se gorge sournoisement de sang humain après s'être faite carambolée par monsieur au prétexte fallacieux que le sang prélevé lors de la piqûre constitue une source de protéines pour permettre le développement des œufs. Faut pas déconner, des protéines, il y en a aussi dans les lentilles, les haricots secs et les fèves alors pourquoi nous sucer le sang ? Pour éviter d'avoir à faire cuire lesdits légumes ? C'est petit et pingre. Ceci dit, comme nous l'avons évoqué ci dessus, la propension de l'Aedes albopictus, blonde aux yeux bleus, brune aux yeux clairs, voire même rousse aux yeux verts, à se jeter sur nous sans réflexion préalable sur le sens de la vie et surtout sur l'irruption brutalo-talocheuse de la grande faucheuse, fait d'elle une victime potentielle de la baffe vengeresse, faute d'être réparatrice. Ainsi va la vie, ou plutôt la fin de vie de LA moustique tigresse, parfois bardée de dessous en léopard pour donner le change. Nonobstant réjouissons-nous car si l'Alsace, située bien plus proche de l'Île de la Réunion que la Lorraine, est une région actuellement pourvoyeuse d'Aedes albopictus, ce dernier, cet avant dernier et tous ceux qui le précèdent, s'étant gavés de sang bretzelo-choucroutique, risquent à terme, et pour les femelles, avant terme, de mourir de cholestérol, d'hypertension, de diabète, aux conséquences éminemment létales, en plus des taloches qui les éparpillent, façon puzzle, aux quatre coins de Strasbourg. Un seul regret malgré tout, c'est que l'invasion moustiquaire du fossé rhénan ne soit pas advenue à la belle époque de l'explosion de l'atome tchernobylien, ça nous aurait permis de repérer l'Aedes albopictus devenu fluorescent la nuit, grâce aux radiations car même si ces dernières se sont arrêtées à la frontière franco-allemande, les moustiques tigre, assez fourbes au demeurant, traversent les frontières sans déclarer quoi que se soit, salopards !

Spéciale dédicace à Julia, Amélie et Valentin, qui font don à Strasbourg, de leur sang pour que vive, à leurs dépens, l'Aedes albopictus.

On voit moins souvent un jour un papillon de jour la nuit que deux jours un papillon de nuit le jour.

Comme disait Don Quichotte : " Trucider les meuniers, certes ; encore faut-il se battre contre les moulins avant ! "

Mesdames, Messieurs, mon exposé sur l'occultation des fenêtres ne comprendra que deux volets. Pouf pouf.

Napoléer, synonyme désuet de conquérir, surtout usité au début du 19ème siècle, est le seul verbe de la langue française à ne se conjuguer qu'à l'impératif/première personne du pluriel.

La preuve : " Napoléons ! "

C'est en Ariège que chut et passa le Général Georgelin le 18 août dernier. Or, ledit Général avait charge de diriger la totalité de l'ensemble des petites mains dont la mission, non des moindres, était de reconstruire Notre Dame, frappée par le Malin il y a quelques temps.

Alors, tristesse et circonspectude, qui pour reprendre le flambeau tenu par cet homme irremplaçable ???

La République ne manquant pas d'idée, piochant dans son petit carton de généraux, décida de remplacer feu le Général Georgelin par le Général Georges l'autre.

Alors, Monsieur le sinistre de l'école qui enseigne les maths, le français, le dessin, la musique, les sciences, l'histoire ET la géo, on confusionne ? On prend les Mahorais pour des immigrés ??? Même avec un vain rétropédalage, ouuuuuuh la boulette ! Va falloir réviser, Monsieur le sinistre.

Un rein de porc tient depuis plus d'un mois, sans rejet, dans un corps humain. Un réel progrès pour la Science.

Un seul hic,te cette xénogreffe ne tient la durée que sur des humains en état de mort cérébrale, ce qui risque de mobiliser de plus en plus de lits dans les hopitaux.

On ne peut pas tout avoir...

Et pan, dans les dents !

" Mais euuuuh ! "