Mon objectif est d'explorer l'inconnu d'une vie nouvelle, grâce, entre autres, à l'écriture. Le ton restera le même; souvent impertinent, parfois cynique mais toujours en tentant de garder ce qui nous permet encore de vivre dans ce drôle de monde, l'humour, dans tous ses états.
" Je connais un pays on dirait un jardin Je peux y vivre nue sans avoir jamais froid Quand j'y ferme les yeux je trouve sous mes doigts Tous les chemins J'ai le fond de tes yeux pour y chercher de l'or La couleur de ta peau pour lire les saisons Le creux de ton épaule pour ligne d'horizon Et tout autour de moi tes bras font le décor Au pays de ton corps Au pays de ton corps Au pays de ton corps... "
Le pays de ton corps - Paroles Catherine Le Forestier
Bon là les Kikis, je vous dois un merci... vous le savez, mon énergie est dopée par votre fréquentation du blog.
Or, ce mois, même avant, le résultat du dernier jour, donc ce 31 janvier, la fréquentation quotidienne dépasse la moyenne de 13 visiteurs uniques (j'adore ce terme, vous êtes tous uniques à mes yeux, un peu de flagornerie ne nuit pas) Pour moi, c'est du bonheur.
Je n'attends pas des millions de vues comme sur les réseaux sauce Yo. Avec un petit nombre ( et pas chiffre !) j'ai l'impression d'un cercle d'amis, et cela me sied.
Ce matin, Mariette, Syphon Maître Décolle et Glinglin se perdaient en conjectures.
"Serait-ce là le Saint Suaire, Syphon ?"
"Oui ma petite Mariette. La vérité est celle-ci : le Christ, s'étant pris les pieds dans le tapis, a chu contre cette palissade il y a belle lurette ; il y a laissé son emprunte indélébile, et s'est ensuite essuyé le nez, pris d’épistaxis, dans un mouchoir que l'on vénère à tord depuis des siècles"