Publié le 28 Novembre 2019

On dit parfois qu'on jette son dévolu sur quelqu'un...
... attention toutefois à ne pas le blesser !
Le blog de plaisir-de-mots.over-blog.fr
Mon objectif est d'explorer l'inconnu d'une vie nouvelle, grâce, entre autres, à l'écriture. Le ton restera le même; souvent impertinent, parfois cynique mais toujours en tentant de garder ce qui nous permet encore de vivre dans ce drôle de monde, l'humour, dans tous ses états.
Publié le 28 Novembre 2019
On dit parfois qu'on jette son dévolu sur quelqu'un...
... attention toutefois à ne pas le blesser !
Publié le 28 Novembre 2019
Le 28 novembre 2013, il n'y a donc que 6 ans, la comète Ison passe très près du Soleil et se désintègre.
C'était bien la peine de se donner tant de mal...
Publié le 27 Novembre 2019
Tu es un grand astronome mais tu es dyslexique et tu as du mal avec les c et les g, alors quand tu fais dépenser des milliards à l'ESA* pour envoyer un satellite observer une gomète... tu passes pour un grétin !
*Agence Spatiale Européenne
Publié le 27 Novembre 2019
On dit parfois qu'on sort de ses gonds.
Une vraie chance que les portes soient plutôt calmes...
Publié le 27 Novembre 2019
"La plus grosse introduction depuis 2017"
Tel est le titre d'un mél que je viens de recevoir sur ma messagerie.
"Tiens, me suis-je dit, encore une information sur les performances Rocco Siffrediesques à inscrire au Guinness des records"
Que nenni, il s'agissait simplement d'une publicité pour la FDJ, introduite il est vrai, en bourse, il y a peu.
En espérant qu'elle n'ait pas trop souffert.
Publié le 27 Novembre 2019
Végane... ce terme est attribué à des gens qui se manifestent souvent par des actions tellement stupides pour revendiquer leur idéologie que même Windows mail n'en veut pas. J'en ai fait l'expérience il y a peu. Après avoir écrit le mot végane dans un mél composé sur mon client de messagerie, j'ai eu la surprise de le voir souligné comme un mot inexistant. Comme quoi, parfois, on peut constater que l'IE existe...
Publié le 27 Novembre 2019
Au hasard des blogs... que d'erreurs orthographiques, grammaticales, lexicales.
J'avoue bien humblement qu'il m'arrive souvent de faire des erreurs ; je préfère le dire ainsi plutôt que de dire commettre des fautes, trop christique à mon goût, et j'estime que la religion n'a rien à faire dans mes délires de plume, non mais !
Alors oui, il m'arrive de trébucher sur un accord en genre ou en nombre, de mal conjuguer un verbe, d'égratigner l'orthographe d'un mot. Et pourtant, j'aime tellement les mots que dans mes moments d'incertitude, moments de solitude intellectuelle parfois, tant je doute, je vérifie, je fouille, je fouine, je gratte. Je ne trouve pas toujours réponse à ma quête... alors si je ne peux passer par un chemin, je tente d'en prendre un autre pour énoncer une idée, écrire un propos.
Souvent cependant, je trouve la solution à mon problème. Entre la richesse incroyable du net pour trouver la réponse ad hoc, et parfois même se perdre, celle des bons vieux dictionnaires de papier, des opus de grammaire, conjugaison... que je garde précieusement sur une étagère et que je compulse avec une gourmandise non dissimulée, je trouve la perle tant convoitée. Le bon accord, le bon mot, ou plus exactement le mot correctement orthographié, le synonyme ou l'antonyme, la forme lexicale...
Je l'admets, souvent, je ne me relis pas ou je me relis mal, je suis dans la précipitation, courant après les idées qui filent dans mon esprit, allant même jusqu'à oublier des mots. Je fais cela alors que je passe mon temps à dire aux élèves l'importance de la relecture... syndrome du cordonnier mal chaussé.
Mais puisqu'il est toujours plus facile de se gausser de la paille plantée dans l’œil de son prochain, de sa prochaine, la gent féminine n'échappant pas à la règle, plutôt que de se préoccuper du baobab fiché dans le sien, quand je surfe sur d'autre sites, blogs... je m'arrête sur les erreurs, les mêmes que les miennes et je sens à la fois les dents rentrer dans ma mâchoire, mes cheveux se dresser, ainsi qu'une irrépressible envie de tuer le premier chien qui erre en bas de chez moi. C'est stupide, mais c'est comme ça. Merci de ne pas me dénoncer à la SPA.
Par exemple, j'ai lu aujourd'hui, sur un blog, un premier post consacré à l'accord du participe passé avec le verbe avoir et un autre sur le participe passé des verbes faire et laisser. Il y est rappelé que "...un participe passé conjugué avec l'auxiliaire avoir s'accorde avec le COD du verbe si celui-ci est placé avant le verbe." avec en exemple : "La tarte que j'ai mangée était très bonne"
Ensuite, sur ce même blog, j'ai lu un post dédié à Victor Hugo. Dès la deuxième ligne, j'ai lu ceci : "... pour vous dire toute mon admiration aux combats que vous avez mené, défendu,... "
Là, j'ai senti monter en moi cette violente pulsion canicide évoquée ci-dessus. En effet, si un participe passé conjugué avec l'auxiliaire avoir doit s'accorder avec le COD du verbe si celui-ci est placé avant le verbe, alors, il manque un s final à mené et à défendu. C'est finalement moins l'erreur d'accord qui m'a fait sentir le désagrément d'une dentition qui se cache et d'une toison capillaire qui se hérisse, que la juxtaposition des deux posts issus du même blog.
Pour m'en remettre, je suis allé voir ailleurs... et là, pompon sur la cerise du gâteau qui à mis le feu aux poudres, je suis tombé sur cela :
"...
Elle aime voler dans les rêves
Et repend l'or de ses écrits à la volée
Elle a la sagesse en elle et la partage avec amour
Tel un filtre d'amours et d'amitiés
Elle le repent
... "
Trop déprimé pour descendre m'en prendre au premier cocker venu, je me suis dirigé vers la pharmacie pour y quérir une boîte de Valium. Erreurs orthographiques mises à part, il faudra que je questionne la personne qui a écrit ce texte sur le magasin qui lui fournit les filtres ad hoc pour l'amour et l'amitié, sur leur taille et la température de l'eau à verser dessus.
Comme disait Confucius : "L'homme sage apprend de ses erreurs, l'homme plus sage apprend des erreurs des autres" Ayant fait une partie du trajet et pour ne pas jouer les prétentieux et encore moins les sentencieux, je vous demande instamment que, si en surfant sur Plaisir de mots, vous trouvez des erreurs, de me les signaler grâce aux commentaires.
J'avoue être maintenant, après toutes ces épreuves, bien fatigué. Je m'en vais donc vous quitter de ce pas, afin d'absorber la pilule antidépressive précitée, en la faisant passer à l'aide d'un bon café philtre...
Publié le 27 Novembre 2019
On dit parfois qu'on blanchit de l'argent.
Et parfois même au marché noir.
Publié le 27 Novembre 2019
Le 27 novembre 1827 John Walker, un chimiste anglais, mit au point un mélange chimique pouvant s’enflammer sur une surface rugueuse. Content de lui il a allumé une cigarette avec 29 allumettes...
... le pronostique vital est toujours engagé !
Publié le 27 Novembre 2019
Dicton du jour
A la Saint-Severin, chauffe tes reins.
et tes mains
et tes seins
et ton bain
sans oublier ton pain
et ton brin
...
Publié le 26 Novembre 2019
Fallait y penser avant...
"Ce qui est pénible, c'est qu'à chaque fois qu'on les invite, nos amis ne peuvent s'empêcher de mettre les pieds dans le plat. On vit dans un monde bien incivil... "
Publié le 26 Novembre 2019
Les petits poissons font des rondes sous ma main dans les mondes sous-marins.
Publié le 26 Novembre 2019
Bon anniversaire à la place Stanislas dont je ne dirai pas qu'elle est la plus belle du monde mais bon !
"Encore un chauvin qui a raison... "
Publié le 26 Novembre 2019
Dicton du jour
"Jeux de doigts fait souvent joie de deux"
Publié le 26 Novembre 2019
Stanislas Leszczynski chaussait grand, la preuve, le 26 novembre 1755, il y a donc précisément 264 ans, il inaugurait en grandes pompes la place éponyme à Nancy.
Publié le 26 Novembre 2019
Quand les statues s'y mettent
"Merci mon Dieu, gnagnagna gnagnagna gnagnagna... "
"Quel faux cul tu fais Edmond, après la vie dissolue qui fut la tienne !"
Publié le 26 Novembre 2019
Les sens, c'est vraiment curieux.
Quand je fais une recherche sur la toile
mon ouïe ne dit rien
mon odorat ne dit rien
mon toucher ne dit rien
ma vue ne dit rien, bizarement
mais mon goût gueule...
Publié le 25 Novembre 2019
Pour Saint-Martin, la neige est en chemin, pour Sainte-Catherine, elle est à la courtine.
Sainte-Catherine amène la couétine.
Sainte-Catherine, amène la farine.
À la Sainte-Catherine, les sardines tournent l’échine.
À la Saint-Blaise, elles reparaissent.
À la Sainte-Catherine, le porc couine.
À la Sainte-Catherine tout bois prend racine.
À la Sainte-Catherine, les sardines tournent l'échine ; à la Saint-Blaise, elles reparaissent.
À la Sainte-Catherine, l'hiver s'aberline ; à la Saint-André, il est aberliné.
À la Sainte-Catherine, elle m'a touché la... Euh, je vous laisse finir, il faut que je parte au boulot.
Publié le 25 Novembre 2019
On dit parfois que Dieu reconnaitra les siens.
Chez les Ch'tis, la faune canine sera privilégiée.
Publié le 25 Novembre 2019
Ivre tigre libre
vibre et migre,
pour survivre sans bruire
à Vouivre en fibre ou hydre en givre.
Puis suivre Tibre
en boire litres, eau arbitre,
qui délivre
de guivre.
Alors à la vitre
félibre pitre
au pupitre calibre titre
et clos chapitre
Bigre bigre !