Publié le 20 Août 2019

Grève des capilliculteurs-bio-cosméticiens

"On sait pu coiffeur"
Mon objectif est d'explorer l'inconnu d'une vie nouvelle, grâce, entre autres, à l'écriture. Le ton restera le même; souvent impertinent, parfois cynique mais toujours en tentant de garder ce qui nous permet encore de vivre dans ce drôle de monde, l'humour, dans tous ses états.
Publié le 20 Août 2019
Grève des capilliculteurs-bio-cosméticiens
"On sait pu coiffeur"
Publié le 20 Août 2019
Ce qui est surprenant dans un bref duel sur le pré, c'est qu'on est tué sur le champ.
Publié le 20 Août 2019
Mais quel sérieux ce chat
"Je réfléchis à l'avenir du monde... vraiment pas de quoi rire !"
Publié le 20 Août 2019
Moïse se la jouait un peu m'as-tu vu avec sa liste de course
"Et si vous oubliez un truc, ça va chier, c'est l'autre là haut qui l'a dit"
Publié le 20 Août 2019
Prolapsus envahissant ?
"Du coup, je m'assieds à plat ventre"
Publié le 20 Août 2019
Cause constipation chronique, peintre hollandais vends gogues.
Publié le 19 Août 2019
Le chat est un animal sage, mais pas vraiment touché par la chose administrative
"Hein, quoi, fallait pas niquer toutes tes déclarations ???"
Publié le 19 Août 2019
Ce n'est pas parce qu'on est un échassier qu'on n'a pas le droit de penser
"Tu vois Régine, que Poutine soit exclu du G7 à Biarritz, c'est une chose, mais que Manupiter le reçoive juste avant à Brégançon, je trouve ça un peu faux cul"
"Je souscris Armande, c'est petit !"
Publié le 19 Août 2019
Il faut ce qu'il faut
"Cette année, la chute des flocons de neige sera ordonnée en quinconce ou ne sera pas !"
Publié le 19 Août 2019
Ce matin, Mariette s'esbaudissait sur la générosité du potager
"Quelle récolte mon bon Glinglin, un seau de fraises et un de tomates, nous pourrons aller jusqu'à la Noël sans pâtir de la faim"
"Abondance de bien ne nuit pas ma chère Mariette, jouissons des largesses de Dame Nature"
Publié le 17 Août 2019
Mort de Mariam, empoisonnée par des déchets plastiques. Amadou n'a toujours pas réagit ; le chanteur n'avait jamais vu que sa compagne était un bébé dugong.
Publié le 17 Août 2019
Si le tarif pour un sandwich en retard c'est une balle dans la peau, ça met l’œuf dur à une bastonnade en règle à coup de batte de base-ball et la poignée de cacahuètes à un bon coup de poing dans la gueule. Quant au demi, je n'ose même pas y penser. On vit vraiment une époque formidable. J'espère juste que la maréchaussée retrouvera le crétin criminel.
Publié le 17 Août 2019
On sait aujourd'hui, preuve à l'appui, que si la connerie n'est pas énergétique, et c'est bien dommage, elle est infinie. Avec son idée d'acheter le Groenland, Trump vient encore d'en faire une démonstration éclatante.
Publié le 17 Août 2019
Mais qu'allait-il faire dans cette galère ?
"J'm'ai gouré... "
Publié le 15 Août 2019
Entre les deux kilts... j'hésite
"Moi pas !"
Publié le 15 Août 2019
Si tu es une pieuvre anxieuse de l'avenir, tu te demandes à quoi le temps t'accule...
Publié le 14 Août 2019
Parfois un nom nous renvoie dans le passé, la prime enfance. Ce fut le cas pour moi ce matin. Aspro !
Ding ding, souvenirs au rendez-vous, un paquet de madeleines de Proust ; souvenir des couleurs, de la boîte, de l'écriture, des lieux, des moments.
Kalmine, cachets analgésiques, ancêtres des gélules puisque fabriqués avec une enveloppe façon hostie, avec la poudre dedans. Boîte métallique, récupérée par tous les bricoleurs une fois le médicament épuisé, boîte devenue boîte à vis, à bidouilles, rangée sur l'étagère de l'atelier, avec toutes les autres, vis de 5x30, de 4x20... A la maison, la boîte de Kalmine, c'était dans la chambre de ma mère, table de chevet, premier tiroir : petit trésor.
Pulmoll, la boîte à pastille, même usage pour les papas, car le bricolage, c'était leur truc, pas celui des mamans... à l'époque. Seuls les hommes savaient user du marteau, du tournevis, du ciseau à bois. Les femmes, c'était les aiguilles à tricoter, la cuisine... Les temps ont changé, et c'est tant mieux. Pulmoll, pour moi, c'était le petit bonbon mangé chez mes voisins d'en face. Pas de ça chez nous. Autres habitudes. Mais là aussi, petit bonheur de la sucrerie rare.
Et puis.. le Pschitt ! Pschitt citron, et encore meilleur, Pschitt orange. La boisson achetée à la buvette lors d'une visite au stade municipal. Compétition cycliste sur vélodrome. Les vélos... aucun souvenir, mais le Pschitt orange acquis grâce à la pièce offerte par ma mère, en allant seul demander timidement, petit garçon que j'étais : "Un Pschitt Orange s'il vous plait" Aucun soda, après le Pschitt, n'aura su me rendre aussi heureux. Saveur chimiquement orangée, pétillant d'une boisson qui ne franchissait jamais les portes de la maison. C'était ça le paradis.
Et vous... vos madeleines de Proust, comment se nommaient-elles ?
Publié le 13 Août 2019
13 aout, journée internationale des gauchers... les 364 autres jours pour les droitiers. Cherchez l'erreur.
Publié le 13 Août 2019
Le sinistre des petits n'enfants, adepte des chorales dans toutes les écoles, se met lui même à pousser la chansonnette en reprenant les grands interprètes du répertoire français, Fernandel par exemple
"On m'appelle... "
Publié le 13 Août 2019
L'amour platonique, pourquoi pas avec un calamar géant
"T'as d'beaux yeux tu sais"
"... embrasse moi"