merci

Nuit debout bientôt à Nancy ? Peut-être le samedi 9 avril, dommage, je ne pourrai y être, trop loin à ce moment là. Mais solidaire !

Surfeur, surfette, où que vous habitiez, ça m'intéresse de savoir si là où vous êtes, il y a aussi des gens qui se regroupent pour dire leur lassitude de notre actuelle société et de la gouvernance lamentable qui est.

Pour cela, dans la barre grise qui figure sous chaque post vous trouverez les inscriptions suivantes

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Merci.

C'est fait !

Alors là je dis "BRAVO"

25 mars 2016, jour de joie et de félicité.

Ce matin, au petit lever du roi, malgré la météo pourrie... 15 008 visiteurs uniques depuis la création de Plaisir de mots.

Le 15000ème est passé dans la nuit, comme le père Noël. Quel dommage qu'il ne soit pas venu me réveiller, je lui aurais payé un café.

Merci à vous tous, par votre assiduité, de me permettre de continuer à répandre les multiples propos, poétiques, rageurs ou goguenards, qui sortent de ma petite tête de dingue. Ecrire est une thérapie non remboursée par la sécu mais ô combien importante pour moi. Merci d'y contribuer.

Du coup, il faut que je tienne mon engagement des 4000 posts avant la fin du mois, allez, j'y retourne.... sinon je vous devrai un apéro de plus.

Mesdames, puisque les médias vous oublient, je vous rends ici hommage. Quel beau match vous nous avez montré, avec à la clé cette victoire qui vous conduit à gagner le tournoi féminin des six nations de rugby 2016. Merci à vous, ce fût un superbe spectacle et encore bravo.

Aragon a écrit : "L'avenir de l'homme, c'est la femme. Elle est la couleur de son âme."

Et si la femme était aussi l'avenir de l'Homme ?

Je pense à vous, Mesdames, vous les lauréates du prix Nobel, femmes de paix, de progrès, d'amour.

Je pense à vous, Mesdames, vous femmes du monde, qui élevez, protégez, chérissez vos enfants, nos enfants.

Je pense à vous, Mesdames, vous qui dans des pays en guerre militez pour l'arrêt des combats ou quand ce n'est plus possible, prenez les armes pour garantir la liberté de vos prochains.

Je pense à vous, Mesdames, que je fréquente au quotidien, femmes bienveillantes, à l'écoute, engagées pour que ce monde soit moins gris.

Je pense à vous, Mesdames, pas seulement ce jour...

Je pense à vous Mesdames, et je vous remercie.

Ce matin, L; en CP, me demande pourquoi le texte que je lui donne comporte des syllabes encadrées, des groupes de lettres colorées...

Je lui explique en disant simplement :

"C'est moi qui ai fabriqué ce texte... "

La réaction de sa part est immédiate... spontanée, avec un sourire qui lui fend le visage d'une oreille à l'autre :

"Bravoooooo !"

J'avoue que j'ai eu du mal à reprendre mon boulot sérieusement tant ce petit mot tellement frais m'a fait rire.

Merci L.

Hier, les César ont récompensé Demain... à juste titre.

Avec une telle reconnaissance de la profession, j'espère que ce film sur lequel j'ai déjà posté aura une vie longue, que beaucoup de spectateurs iront le voir, que beaucoup d'enseignants auront l'idée d'y emmener leurs élèves, que beaucoup de parents le montreront à leur progéniture, leur expliqueront ce qu'il y a d'espoir dans cet opus.

Au moment où nos politiques en place et leurs opposant sont rien moins que calamiteux, j'espère que Demain aura une influence sur la réflexion de tous...

Pour qu'aujourd'hui, Demain fasse envisager intelligemment des solutions alternatives aux problèmes d'hier, parlez en, retournez le voir, pratiquez la politique du coloibri en vous en inspirant, ça marchera... si si !

En ce week-end du sport féminin, Mesdames, ce soir, vous m'avez donné du plaisir.

Votre fougue, votre envie du contact, votre engagement dans l'action, votre savoir faire ont fait de ce premier match de rugby du tournoi féminin des six nations un beau spectacle sportif.

Mesdames, vous n'avez rien, je dis bien rien, à envier à vos collègues masculin tant la qualité de votre jeu est bonne.

Certes, vous aviez en face de vous une équipe d'Italie certainement moins féroce que seront les équipes d'outre Manche, mais tout de même, telles des lionnes, vous n'avez rien lâché, à aucun moment du match. Et s'il y a eu parfois quelques loupés, force est de reconnaître que vous jouez bien, vraiment très bien.

Votre vélocité, votre puissance, votre énergie ont fait de cette soirée un très bon moment.

A vous Mesdames, dont nous avons tant besoin, et pas seulement dans le sport, je rends ce soir un hommage particulier. Merci.

Juste parce que c'est beau...

Au fil du surf, parfois, il y a des belles découvertes.

Hôtel California du groupe Eagles... 40 ans, pas une ride. Et quand en plus c'est repris a capella et en beat box, ça scotche ! La preuve avec cette interprétation qui m'a laissée... sans voix !

Je crois maintenant aux contes de Noël. Cela m'a pris avant-hier, après avoir ouvert mon courrier postal. Sur les deux lettres qui garnissaient ma boîte, la première aurait pu illustrer un conte en forme de mythe de Sisyphe puisque j'y ai trouvé la récurrente facture de charges pour mon logement. Mais non, cela ne convient pas à l'idée de conte, sinon maléfique.
A l'ouverture de la seconde lettre, j'ai pu lire un courrier m'expliquant pourquoi celui-ci était accompagné d'un don. Sensibilisés par l'appel lancé sur ce même blog il y a quelques jours à propos de deux enfants de mon école, en situation sociale plus que difficile, les expéditeurs du courrier, des potes, des amis, ont décidé d'apporter leur aide à ces deux gosses par mon entremise.
Une fois remis de ma surprise et de mon extrême émotion, je me suis dit qu'il existait encore en ce bas monde des gens de bien. Merci à eux qui ont fait ce geste, merci pour ceux qui pourront en bénéficier.
Au jour où certains tuent au soi disant nom d'un dieu, au jour où d'autres profitent de façon ignoble de la misère humaine, au jour où d'autres encore regardent cette humanité dans le besoin et la détresse sans la moindre empathie, sans le moindre scrupule, il existe ces gens, avec leurs joies et leurs peines, leurs réussites et leurs difficultés, qui savent aller au delà de ce qu'ils sont, de ce qu'ils vivent, pour regarder les autres, pour se soucier de l'autre. Après la seconde guerre mondiale, des hommes et des femmes ont été nommés "des justes". Je crois que ces potes, ces amis, méritent aussi, par leur grandeur d'âme, d'être qualifiés comme tels. Et si leur geste est réel et tangible, en ces temps de fête je l'ai trouvé merveilleux... comme un conte de Noël.

Vous aurez remarqué qu'à nouveau ce blog aussi stupide qu'inutile a retrouvé sa forme première.
Ouf et pouf, merci mon Tom !

Elections régionales, 13 décembre 2015, 20h

Marrrrréchal.... tu r'passeras ! Hi hi hi !

Au moment d'expliquer la complexité de notre chant national, j'ai ouï ma collègue déclarer, après que le sang impur eût abreuvé les sillons de la révolution : "Abreuver... !?! Abreuver... c'est un peu comme apporter de l'eau au moulin de quelque chose."

Ben oui, forcément, un moulin, des fois, ça a soif... alors faut l'abreuver.

Et pour abreuver un moulin, faut plus qu'un verre, faut au moins une cruche. Mais faut faire gaffe, parce que la cruche, c'est fragile.

Alors, abreuver oui, mais doucement, sinon on risque d'être obligé d'expliquer que tant va la cruche du moulin à l'eau dont la goutte peut éventuellement faire déborder le vase qu'à la fin elle laisse tomber la poire pour la soif du pouvoir ! C'est vrai quoi...

Évidemment qu'il faut aller voter dimanche.

Bien sur ça fait suer biscotte il n'y a pas un parti qui puisse nous satisfaire.

Bien sur on nous la refait à l'envers régulièrement, mais nous n'avons, malheureusement pas le choix, ou plutôt si, nous l'avons.

Certes, nous aimerions tant pouvoir dire oui à qui représenterait nos valeurs, mais bon... ça, c'est rapé, alors !

Alors, il nous reste le choix de dire non à ce que nous ne voulons pas. Et ça, bon dieu, c'est pas rien.

Ne vous dites pas "on va essayer, on verra bien"... C'est tout vu !

Souvenons-nous des années sombres de la France d'avant guerre (la seconde, mondiale)

Regardons un peu les dérives des endroits où le brun, telle la marée de pétrole, a souillé la plage de nos valeurs humanistes et culturelles.

Il nous reste le choix d'aller voter car plus nous serons, moins la France réactionnaire pourra se targuer d'afficher des pourcentages forts.

France du ras le bol (celle qui ne supporte plus bien les politiques en place mais qui pour autant ne pense pas en bleu marine), France de la tentation piscicole, France du bof, France de la pensée du tous pourris (c'est pas forcément faux), bouge toi, fait l'effort d'aller glisser ton bulletin dans l'urne dimanche. Juste pour montrer que tu existes encore, que tu n'es pas prête à accepter n'importe quel régime politique.

Oui, celui en place nous fait tous râler... France de l'abstention, pense à ce que ça sera si tu ne te remues pas les fesses. J'ai confiance en toi... alors, je ne m'allie pas à ceux que j'ai conspués dans un de mes précédents posts, je te demande juste d'user d'un droit que la République t'a offert : le vote !

Et d'avance... Merci !

Un mot d'enfant qui m'a fait plaisir au sortir d'un travail avec 4 élèves de CE1 bien sympathiques.

"Tous les soirs j'ai du mal à me réveiller le matin !"

Boudiou, pas étonnant que ça fatigue...