Par plaisir-de-mots.over-blog.fr
Il me revient à l'esprit un conte entendu dans l'enfance : La bergère et le ramoneur.
Tiens tiens... Une bergère... un ramoneur... n'y aurait-il pas sous-entendus libidineux dans la chose ? Car dans libidineux, il y a libidi, mais pas que, et quand je dis que...
Les deux figurines de porcelaine seraient éprises l'une de l'autre, on voit bien pourquoi...; mais un vieux Chinois, lui aussi de porcelaine, et dans porcelaine il y a celaine, mais pas que, affirme être le grand-père de la bergère et veut marier celle-ci à un satyre surnommé le « sergent major général commandant aux pieds de bouc » Satyre, bouc, chinois...
Je vois bien d'ici la bergère proposer au ramoneur de lui faire profiter moins de la toison des moutons que de la sienne.
Je vois bien d'ici le ramoneur proposer à la bergère de lui expliquer son métier, travaux pratiques à l'appui.
Je vois bien d'ici le sergent major proposer sa plume à la bergère ou en tailler une au ramoneur.
Je vois bien d'ici le chinois, et pas celui qu'on croit, proposer de se faire polir par le ramoneur ou le satyre, avec le choix dans la date.
Pas de doute, on voit bien ici que ce bon Monsieur Anderson, ce vieux salace, sans que ça lasse, a fait dans la rhétorique subliminale.
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