Good year. Que la violence soit répréhensible, il n'y a aucun doute. Cependant, si aujourd'hui la justice condamne des syndicalistes pour ce qu'ils ont fait à de la prison ferme, que fera-t-on demain ?
Ce n'est pas nouveau mais à travers des actes tels que ceux-ci, le gouvernement met à bas le droit du travail et la justice sociale.
Je ne suis pas d'accord avec le violence contre les personnes, même si parfois me prend l'envie de distribuer des mandales à certains politiques, capitaines d'industries et affidés ou encore aux actionnaires gavés de royalties produites par la sueur des "petits".
Messieurs les grands et même prétendument de gauche... violence pour violence. Celle que votre assujettissement au pouvoir du fric nous fait vivre au quotidien est bien digne d'être condamnée elle aussi et si possible à perpét'
Réfléchissez un peu avant de produire de telles choses car à ce rythme, quand le manche du râteau vous remontera en pleine gueule, ce sera pour le coup avec la violence sourde de l'extrémisme politique... mais il sera trop tard.
Une pétition intitulée "L'appel des good year" est en ligne... à chacun de prendre ses responsabilités.
Le 9 janvier 1590 naissait Simon Vouet... Je constate que personne n'en a rien à foutre... Bravo ! Pourtant, il a peint des choses importantes, la preuve.
"Et M'man, j'ai oublié d'éteindre le gaz avant de partir"
"Mon Dieu... le râgout va brûler"
"Doux Jésus, il va falloir passer à la superette, je n'ai plus rien dans le frigo"
Et bien et bien ami surfeur, amie surfaite, qu'est ce qu'il vous arrive-t'il ? Entorse de l'index ? Arthrite rhumatoïde du segment poignet-coude-épaule ? Cécité purulente ? Encéphalite spongiforme bovine ? Gastro-entérite fulgurante ? Panne d'ordinateur ? Coupure d'électricité ? Rupture de fournisseur internet ?
Bref, le commentaire ne commente plus, alors que je vois bien que vous venez sur ce blog idiot, vous abreuver de mes sottises. Big brother veille, il dénonce, délate... tel le mouchard pleutre à béret du 7 mai 45, devenu résistant de la première heure le 8, il balance !
Etes-vous touché, au lendemain du vingtième anniversaire de la mort de Tonton, et en réaction, par un analphabétisme foudroyant ? Si c'est le cas, je ne comprends pas comment vous avez réussi à lire jusqu'ici et vous dispense de lire la suite, je n'aime pas qu'on fasse semblant.
Alors ? Faut-il que je missionne la BRI, le GIGN, la DGSI afin de vous contraindre à commenter.
Faut-il vous rappeler que la France est en état d'urgence et moi-même de choc si le commentaire ne commente plus ?
En conséquence, je vous demande solennellement de rechatouiller la souris afin que je redonne un sens, et pas forcément unique, à ma vie d'écriveur stupide.
Merci-t-à vous.
Il existe dans notre belle éducation nationale un exercice qui consiste à faire travailler les élèves en production d'écrits sur le poème de René de Obaldia que je vous le livre (le poème, pas René !) :
Charlotte fait de la compote
Charlotte fait de la compote
Bertrand suce des harengs
Cunégonde se teint en blonde
Epaminondas cire ses godasses
Thérèse souffle sur la braise
Léon peint des potirons
Brigitte s'agite, s'agite
Adhémar dit qu'il en a marre
La pendule fabrique des virgules
Et moi dans tout cha ?
Et moi dans tout cha ?
Moi, ze ne bouze pas
Sur ma langue z'ai un chat
Le travail consiste à faire comprendre aux élèves ce que sont les rimes et d'en produire ensuite avec leur propre prénom. Pour cela, on peut commencer par demander ce qui pourrait aussi rimer avec les prénoms déjà utilisé par De Obaldia.
Quand on sait
- que capote, carotte, bigotte, camelote, tremblotte, chochotte, culotte, crotte, menotte ou simplement motte riment avec Charlotte.
- que maman, chenapan, courtisan, divan, faisan, forban, gitan, gourmand ou gland s'accordent avec Bertrand
- que ronde, sonde, féconde riment avec Cunégonde
- que pétasse, grognasse, dégueulasse, radasse, blondasse, bonasse, paillasse, tignasse et vinasse conviennent au final de Epaminondas
- que baise, fraise, fournaise, foutaise, mortaise vont avec Thèrèse
- que con, aiguillon, Apollon, bouton, téton, champignon, cochon, côlon, croupion et même fion siéent à Léon
- que coït, cuite, bitte, marguerite, Sybarite s'associent bien au final de Brigitte
- que bazar, falzar, dard, couguar, connard, pendard, paillard riment avec Adhémar
- que bascule, bidule, capsule, Ursule, Hercule et testicule vont de pair, si j'ose dire, avec pendule
on se dit qu'on a évité le pire, qui lui même rime avec... écrire,sourire, souscrire !