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Mon objectif est d'explorer l'inconnu d'une vie nouvelle, grâce, entre autres, à l'écriture. Le ton restera le même; souvent impertinent, parfois cynique mais toujours en tentant de garder ce qui nous permet encore de vivre dans ce drôle de monde, l'humour, dans tous ses états.
Après moult jours de privation de sornettes et coups de gueule en tous genres, faute d'accès à Internet en mon palais laxovien, je retrouve la civilisation du virtuel et de la toile à unir tous les lapins du monde. Non la fibre n'est pas encore arrivée à moi, c'est moi qui suis allé plus à l'Ouest pour retrouver la fibre... de l'écriture.
Alors, sachant que Plaisir de mots, durant ce jeune de posts postés, n'est pas resté les bras croisé et les doigts dans le fion - ce qui, cumulé est assez sportif - des posts ont été mis, à l'instar des ovocytes, au frais.
Du coup, c'est reparti, bienvenue à vous toutes, tous et autres pour reprendre le chemin de folie et/ou de rogne qui dure depuis plus de 10 ans et une fois encore, merci à vous.
Certes, les J.O sont toujours affaire de gros sous, mais pour autant, aujourd'hui, dans le climat mondial délétère et après la dissolution imbécile de l'Assemblée Nationale, les jeux de Paris m'ont apporté un moment de répit.
J'aime le sport et suivre les J.O m'a permis d'échapper pour un temps au stress que nous vivons maintenant depuis plusieurs années, avec les guerres, le COVID, l'inflation...
Merci à tous ces compétiteurs/compétitrices, de quelque pays dont ils/elles sont originaires. Merci pour leur sportivité (dans la grande majorité des cas) Merci aux organisateurs. Merci pour toutes ces belles performances et ces résultats parfois inattendus. Merci à nos athlètes - blacks blancs beurs ! - de nous avoir mis le sourire aux lèvres et fabriqué de beaux souvenirs.
Il reste les jeux paralympiques pour prolonger ce moment, ne manquons pas d'en profiter.
Je ne suis pas un grand lecteur. Cependant, fidèle auditeur de France Inter depuis plus de cinquante ans, j'appréciais d'écouter parfois votre émission en début de samedi après-midi, mon jour préféré du week-end car j'avais l'esprit libéré pour un temps de mon travail d'enseignant spécialisé.
J'avoue que je vous écoutais parfois d'une oreille distraite, en faisant autre chose, mais j'écoutais, grappillant ici et là des idées pour offrir un livre ou plus simplement pour avoir l'envie et la curiosité de fouiller un peu plus sur le sujet ou l'auteur de tel ou tel ouvrage. Ainsi, petit à petit, j'enrichissais ma connaissance.
Aujourd'hui, j'ai été particulièrement touché par votre émotion silencieuse mais tellement perceptible au moment où vous avez évoqué Cabu et Jean Teulé, tous deux disparus.
Je l'avais perçue aussi samedi dernier, lors des réactions des libraires attristés ou en colère.
Je sais, pour l'avoir vécu, qu'il est possible de se relever des moments très difficiles de la vie. L'entourage, les proches vous y aident.
Moi qui, durant les dix dernières années de ma carrière, ai aidé des enfants en difficulté à accéder à la lecture, je reste attaché à votre combat pour la culture. La lecture est une clé pour la vie, et quand elle touche à la littérature, c'est une source inépuisable et jouissive d'enrichissement personnel. Dans les deux cas, elle ouvre au monde.
Pour votre émission, merci.
Messieurs Turam, Mbappé, footballeurs de haut niveau, Monsieur Henry, sélectionneur foot pour les prochains JO de Paris, pour vos déclarations à propos des élections législatives à venir, pour votre engagement et votre courage de dire les choses, grand merci.
J'ai écouté l'émission en question qui a envoyé du lourd, et pas qu'un peu. Au rythme où vont les choses, si la direction ne supporte pas ce qu'ont dit les humoristes présents ce soir, et qu'elle les suspend ou les dégage, la prochaine émission sera réduite de moitié, la suivant de la moitié de la moitié et ainsi de suite.
Cela suivrait donc la logique énoncée par Zénon d'Élée dans le paradoxe d'Achille et la tortue, et le temps de l'émission tendra vers zéro mais ne sera jamais nul, laissant toujours un espace de parole pour signifier à Sybile Veil, directrice de Radio France, qu'elle a commis une bourde magistrale avec l'affaire Meurice.
Même si je ne suis pas forcément d'accord avec tout ce qui est dit dans Le grand dimanche soir, j'aime l'impertinence et l'humour, alors pour que la liberté de parole perdure, je soutiens Charline Vanhoenacker ainsi que son équipe de zonzons et vous invite, si vous avez une heure à tuer*, à écouter l'émission du jour en cliquant ici. Indispensable.
Et encore... merci au Grand dimanche soir.
* mieux vaut tuer une heure que des innocents au Moyen Orient...
A la fin de l'interview ce matin sur France Inter, Léa Salamé pose à Bérénice Béjo l'ultime question " Et Dieu dans tout ça ". La réponse tombe sans hésitation, et qui me plait beaucoup : " Bah... il ferait mieux de rester chez lui ! "
8 mars 2024, un grand jour pour les femmes qui voient l'IVG inscrite dans la constitution française. Merci à tous les parlementaires qui ont permis cela.
Mais des anti-IVG ont manifesté leur désapprobation ; des Imbéciles Vraiment Graves.
Je suis allé voir L'Empire, dernier opus de Bruno Dumont.
Je me suis régalé.
Tous les avis sont dans la nature humaine ; chacun a le droit de ne pas apprécier, ou au contraire, de goûter le décalage du film de Bruno Dumont.
Cependant, à lire quelques critiques de spectateurs, majoritairement agacées, je constate que l'appréhension du second, de troisième, du n ième degré n'est pas le fort de ces gens qui au mieux, disent ne pas avoir eu goût au film, ou au pire le dézinguent.
Quel dommage.
Quoi qu'il en soit, si vous suivez Plaisir de mots, je crois que vous pourriez passer un bon moment en allant vous installer dans une salle de ciné pour voir L'Empire.
Dans tous les cas, merci Monsieur Dumont, merci à toute votre équipe.
Il y a presque 6 ans, j'avais posté ceci. (que vous devriez revoir pour comparer avec ce qui suit)
Au gré de mes pérégrinations sur la toile je suis donc tombé sur la vidéo ci-dessous. Même acteur, même air, mais gestuelle encore plus dingue.
Alors, pour lutter contre la morosité ambiante, la crise économique, la guerre, l'intolérance... regardez, une fois, deux, trois... délirant, cet acteur est aussi fou que génial. Non remboursé par la Sécu mais qu'est ce que ça fait du bien.
Monsieur Petit Jésus, vous qui êtes né la nuit dernière à Bethléem, pourriez vous aller faire un tour du côté de Gaza, histoire de calmer le jeu et de laisser en paix tous les innocents, de quelque confession qu'ils soient.
Si vous pouviez faire vite, ce serait top.
Merci d'avance.
PS : si vous avez envie de rappeler à vous tous les crétins meurtriers, n'hésitez surtout pas, et faites en sorte qu'au jour de la réincarnation, ils soient transformés en pissotières.