Une publicité sur la boite mél incite à "Célébrer la fête des pères avec un parfum d'exception"
Attention, pas de confusion, car si vous célébrez la fêtes des paires avec un parfum d'exception, vous serez peut-être surpris/surprises par la fragrance...
Bientôt, les états généraux de la timidité, de l'effacement et de l'introversion. Nous ne communiquerons ni la date ni le lieu pour ne déranger personne... Venez nombreux !
En bord de mer, à certains endroits, pour préserver le littoral, certaines paillotes sont appelées à être détruites. Eh oui, on ne peut pas toujours avoir le bord et l'argent du bord...
Ce matin, il pleut.
Ce matin, je dois aller bosser.
Ce matin, c'est un membre de l'extrême brun qui est interviewé à la radio.
Il y a vraiment des semaines qui commencent mal.
Oups, j'ai failli louper l'heure de la déclaration d'impôt... je ferai ça tout à l'heure.
Si vous lisez ce post aujourd'hui, cela peut vous faire penser, si ce n'est fait à régulariser avant minuit.
Si vous lisez ce post après aujourd'hui, cela vous fera pleurer en pensant aux 10% supplémentaires...
Je plains les riches car 10% de 100 millions, ça fait beaucoup plus que 10% du SMIC... Pas facile, Dieu que la vie est injuste.
Y a pas, ça me fait toujours la même chose le lendemain d'un jour férié ou d'un dimanche, dès le saut du lit, la première pensée qui me vient c'est... vivement le week-end !
Elle a bon dos la loi du marché... les tarifs UBER qui doublent le soir d'un attentat, tout ça, parce que, explique la firme, c'est mécanique car il y a pléthore de demandes... Mon cul !
Pendant ce temps là, les taxis londoniens acheminaient gratos les gens terrorisés. Là, pas de mécanique, simplement du bon sens et de l'humanité. Grâce vous soit rendue, Mesdames et Messieurs qui avez fait cela.
Alors, même si au bout de deux heures, ladite mécanique a été stoppée, pendant deux heures, UBER s'en est foutu plein les fouilles sur le dos de la sidération et de la peur des passants effrayés ... scélérat !
UBER, la seule chose qui te reste à faire si tu veux regagner un peu de dignité, c'est de verser tout, je dis bien tout ce que tu a perçu pendant ces deux heures, aux victimes de cet attentat.
F, c'est l'initiale de Fric, mais aussi celle de Fraternité. A bon entendeur...
Fin d'année de terminale dans les lycées agricoles : plus la date approche, plus le bac affleure...
Une seule qualité pour être un canut au top : avoir une bonne estime de soie.
Il faut que je vous narre par le menu, et pas pour enfant, la suite de mes aventures néo-téléphoniques d'hier.
Ayant maintenant enfin compris comment joindre le quidam en quelque point du globe, et pas oculaire, qu'il se trouve, j'usai donc à l'envi, et pas de me soulager, de mon nouveau jouet pour téléphoner, smser, photographier, mmser...
Mmser, quel plaisir ! Hop, une photo inattendue de mon genou, car j'ai déclenché sans m'en apercevoir, hop une autre, de mes semis de surfinias, floue, parce que j'ai la tremblotte, une troisième de ma tronche, façon selfie, ce que je déteste, parce que je ne sais pas encore comment j'ai activé la fonction... et hop, aussitôt, tout de suite, sans attendre l'illico, un envoi à tel ou telle. Intimité reléguée aux oubliettes...
Donc, mon téléphone fonctionnait correctement et je savais m'en servir ! Youpi.
En conséquence, puisque ce nouvel objet adicto-ménager m'avait été offert par le premier et le dernier de mes fils qui sont au nombre de deux, ayant déjà largement communiqué avec l'aîné pour le remercier, quêter quelques informations, échanger sur la pluie, chez lui, et le beau temps, chez moi, je tentai l'appel en direction du cadet, et pas forcément Roussel.
Flop ! Répondeur... Du coup, riche des enseignements du plus âgé de mes garçons et de ma capacité à comprendre quelques modes de fonctionnement, à la vitesse de l'éclair au galop, je slidai sur l'icône ad hoc afin de mmser. Message envoyé, la chose eût pour résultat qu'après quelque temps, je reçu, non pas une mms-réponse mais un appel téléphonique.
"Joie, allégresse, gratition et émotude, m'écriai-je, je vais pouvoir ouïr la voix de mon petit dernier" Je saisi donc la phablette, car c'est ainsi que sont maintenant nommés les portables, plus petits qu'une tablette mais trop grands pour être logés dans une poche de pantalon.
L'outil sonnait, vibrait, car j'avais ajouté cette fonction pour prévenir une attaque de surdité foudroyante, et sur l'écran, l'icône du petit téléphone blanc se voyait entourée de cercles concentriques qui évoluaient centrifugement à la façon des ondes provoquées par la pénétration du caillou dans l'eau calme du ruisseau bucolique, mais je m'égare, et pas forcément de l'Est.
Etant tout à fait performant, c'était ce que je pensai à ce moment là, j'effleurai le petit téléphone-caillou, portai le portable à mon oreille et prononçai, de façon simple mais sure le Sésame... "Allô !" Et là... Hélas... rien, malgré la réitération du mot magique. Qu'avais-je, ou que n'avais-je point fait pour que les dieux de la téléphonie mobile, me refusent la voix d'un enfant chéri ?
Un peu dépité mais têtu, j'activai la fonction d'appel du numéro qui venait de m'appeler. Trois sonneries, puis directement le répondeur. Foutrecul, m'exclamais-je, dans un moment où je ne parvins pas à garder mon sang ! L'invective passée, je laissai un message oral, et pas forcément du bac en cette saison.
Ce qui devait arriver arriva, après quelques minutes, la phablette, vibresonna derechef, je pris celle-ci deresouschef, pour ne pas nuire à la hiérarchie, me trouvant dans une situation identique à celle pré-citée, et pas forcément de Carcassonne. Cependant, puisqu'il est dit qu'on apprend de ses erreurs, étant moi-même adepte de cette maxime, je modifiai mon toucher, et pas forcément rectal, afin de pouvoir converser. Impulsion identique, mais à un autre endroit, sans rapport, je vous l'assure, avec ce que peut laisser supposer ce qui est écrit juste avant.
Bref, l'échec se profilait à nouveau, jusqu'au mat... décidément, je ne brillai pas par ma réussite. Têtu, je vous l'ai dit, je décidai à nouveau d'appeler. Les mêmes causes engendrant les mêmes effets, je tombai une fois de plus sur la boîte vocale.
Et le téléphone sonnevibra une fois encore après quelques temps. Avec fébrilité, je saisis l'appareil, affolait mon index sur l'écran tactile, ne sachant plus où le poindre afin qu'icelui réussisse à ouvrir la communication comme il excelle à ouvrir mon amante aux joies du rapprochement, le soir, à l'orée du bois, quand brame le grand cerf.
Une fois de plus, je dus accepter mon inaptitude, qui devenait chronique, à mettre en branle, si j'ose m'exprimer ainsi pour un tel acte manqué, mon nouveau jouet, et pas forcément sexuel. La turgescence digitale m'abandonnait, et mon enthousiasme baissait tout autant que la rage montait. Mais allez trouver un coquelet le dimanche après les vêpres...
Bref, je me résolus une fois de plus à remiser cet objet technologique moderne qui deux jours consécutifs avait entamé profondément mon narcissisme en pointant mon inaptitude récurrente. Faute de piscine, je plongeai donc dans l'alcool, constatant une fois encore que si ce dernier n'est toujours pas remboursé par la sécu, il apaise autant le stress et le mauvais poil que le séroplex et surtout, il est nettement plus agréable en bouche.
Ce matin, quelle ne fût pas ma joie de réussir enfin l'opération moult fois échouée la veille. La nuit durant, m'étais-je transformé, les fées, et pas forcément du logis, s'étaient-elles nuitamment penchées sur ma couche, avais-je été touché par la grâce, et pas forcément de Monaco ?
Non, cette réussite, je la dois, et pas forcément d'honneur, à ma compagne. Après m'être confié à elle, lui expliquant la peine, et pas à perpétuité, dans laquelle j'étais, elle me proposa d'expérimenter en live un appel via nos portables respectifs. Il y a fort à parier qu'en même temps que les ondes magnétiques, une charge d'intuition me parvint car au moment de saisir la phablette, je sus in petto comment procéder, décrochant sur le champ, et pas forcément de blé.
"Alléluia" m'exclamais-je, car c'était approprié. L'aide n'était pas forcément où on voulait bien la croire et j'en ai déduit immédiatement que si Allah est grand, il est de bien peu d'utilité alors que si Nicole est petite, elle est bien plus aidante et efficace. Comme dit la fable : "on a souvent besoin d'un plus petit que soi" Boudiou, c'est bien vrai.
Quant au coquelet... il court toujours.
Monsieur Eric Coquerel, coordinateur du Parti de gauche, sur France Inter ce jour, prône une coalition universelle pour lutter contre daech... universelle, universelle... et si on commençait déjà par une coalition mondiale, car pour l'instant rien ne prouve jusqu'à présent que les crétins terroristes soient allés sur la lune ou sur Mars.
Recette improvisée ce matin... envie de tester la cuisson d'un coquelet au wok.
Sans apport de matière grasse, faire dorer doucement le coquelet de tous les côtés dans le wok.
Quand la peau est bien colorée et un peu craquante, ajouter quelques toutes petites branches ciselées de céleri vert (le haut des branches, effeuillé, convient parfaitement) une poignée de tomates séchées finement ciselées également, une gousse d'ail frais et même la peau qui entoure la tête d'ail, un bel oignon découpé, des herbes de Provence, une pincée de gros sel.
Saupoudrer généreusement le tout de paprika doux. Mouiller légèrement à l'eau. Arroser d'un demi verre de vinaigre balsamique.
Laisser mijoter doucement à couvert jusqu'à cuisson complète du coquelet. Je ne donne pas de temps, il faut vérifier régulièrement. Si l'évaporation est trop forte, réduire la température et/ou ajouter un peu d'eau.
Pourquoi ce titre me direz vous ?
Hier, j'ai tenté pendant un temps incalculable de paramétrer mon nouveau téléphone, offert par mes enfants...
Ne sortant pas de polytechnique, n'ayant plus 20 ans, et bien que relativement patient de coutume sur le bricolage, les réglages etc etc, après m'être bousillé les yeux sur l'écran du portable, sur celui de l'ordi pour trouver des solutions, après m'être pété les oreilles au téléphone portable, l'ancien, pour que mon fils ainé m'aide à 300 km de là, l'affaire a commencé à me péter... je vous laisse deviner.
Aussi, lorsque que j'ai été pris par l'envie destructrice et assassine de générer un rapprochement bref mais violent entre le téléphone et le mur, je me suis dis qu'après, j'aurais non seulement des regrets, en plus des remords d'avoir détruit mon cadeau, mais surtout beaucoup de mal à téléphoner avec les débris...
J'ai donc pris une sage décision : sortir et aller faire quelques courses, à la fois pour sortir du virtuel et revenir à une saine réalité, remplir mon frigo mais aussi faire passer cette rogne qui m'avait envahie... garce !
Du coup, j'ai acheté un coquelet, et cela a calmé ma colère. Dommage que ce ne soit pas remboursé par la sécu...
Aahh Monsieur Bill le rapide alias Jupi le lifteur, la plaisanterie sur les kwassa-kwassas c'est pas malin malin... Monsieur Bill le rapide alias Jupi le lobeur, vous pouvez faire des vannes, mais "Pas ça, pas ça, pas ça !"
Aïe aïe aïe Bill le rapide alias Jupi la balle jaune, voilà-t-y pas que tu trébuches... Oeuf corse, c'est dur de tenir la ligne de la probité, de la droiture et de ne pas dire de connerie. Oups, l'épisode comorien nous montre que tu es aussi faillible que les autres. Le théâtre partiqué dans ta jeunesse t'a donné des compétences, mais jamais il ne faut lâcher quand on est le premier des Français... jamais, sinon, ça te remonte en pleine gueule, comme maintenant. Rude métier, mais tu l'as choisi. Maintenant, faut assumer... et assurer !
Action/réaction vs temps de la réflexion... une vraie question. Si je peux admettre que les montées au filet de Bill le rapide alias Jupi le tennisman, notre tout frais Président, ont une certaine efficacité en terme de communication médiatique, je crains toujours que cette façon de faire ne prenne toute la place, privant l'homo sapiens du temps de la réflexion, de la prise de distance.
Peut-être est ce parce que je vieillis et que les neurones des plus jeunes que moi sont plus véloces ? Je me rends bien compte que je réagis avec moins de célérité à l'événement, que j'essaie de me distancier de celui-ci, même si mon post actuel tendrait à prouver le contraire.
Je suis soucieux de cette accélération des choses même si elle est immanente au progrès. J'ai pris conscience, et je l'ai déjà écrit sur ce blog, de ce phénomène avec l'arrivée des courriers électroniques. A cette époque, j'ai eu l'occasion de vivre une chose qui m'a effaré : un de mes collègues a traversé le couloir qui séparait son bureau du mien, y est entré comme un possédé pour me demander d'un air patibulaire si j'avais reçu son mél dont j'ai appris qu'il l'avait envoyé... 10 minutes avant !!!
Depuis, on a pu rire de la phrase "Action... réaction !" proférée par Rachin (François Berléand) le directeur tyrannique du film Les choristes. On a nettement moins ri quand le Petit Nico a mis en application politique le principe, annonçant une loi pour le lendemain de chaque actualité brûlante.
Depuis, les réseaux sociaux ont monté en puissance et je serais malhonnête de nier l'aspect positif de ceux-ci dans le déplacement d'un certain pouvoir vers Madame ou Monsieur Tout le monde. Cependant, la médaille a son revers et le guignol élu aux dernières élections des USA nous en donne au quotidien l'exemple désastreux avec des tweets dont je finis par penser qu'ils sont métonymiques de toute sa pensée non pas en termes de concision mais bien de pauvreté intellectuelle.
Il n'est pas question de rester les bras croisés face à ce qui menace notre monde, que ce soit dans la problématique écologique ou dans celle de la pollution politique de l'extrémisme et du repli sur soi, que ce soit dans d'autres façons de penser le progrès ou dans celles d'une prise en compte a minima des individus...
Il faut faire vite, certes, mais il est urgent de ne pas se précipiter. L'avenir de l'homme tiendra autant dans notre capacité à agir sans tarder que dans celle, indispensable, d'y réfléchir préalablement.
Aujourd'hui rien... mais avec intensité !
Préoccupation sur le climat relégué aux oubliettes par DT.
Les américains qui, à terme, se retrouveront les pieds dans l'eau apprécieront, c'est sur.
Accords de Paris sur le climat.
Trump, avec un T comme TANATOS...
A toi l'abruti qui vient de décider que les USA se retireraient des accords de Paris sur la COP 21, que les yeux te brûlent et que le cul te pèle, que les vers te bouffent doucement les intestins et que la galle te ronge à n'en plus pouvoir rien supporter, et ce jusqu'à la fin des temps... et encore un peu après tant qu'on y est.
Quand je pense que tes géniteurs t'ont prénommé Donald... quelle erreur, c'est plutôt Dingo qui te convient.