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Mon objectif est d'explorer l'inconnu d'une vie nouvelle, grâce, entre autres, à l'écriture. Le ton restera le même; souvent impertinent, parfois cynique mais toujours en tentant de garder ce qui nous permet encore de vivre dans ce drôle de monde, l'humour, dans tous ses états.
"Le sel en lui même est trop salé, on doit le mélanger pour qu'il le soit moins. C'est con d'être trop salé quand on est tout seul... "
10 000 brèves de comptoir, J. M. Gouriot Ed. Michel Lafon
1g, 2g ? ou plus, 7g peut-être...
Le plus affligeant n'est pas que le sel soit trop salé quand il est seul, ça... c'est son problème ; non... c'est qu'il existe des gens qui réussissent à tenir des propos pareils. Et en plus, ils votent...
Allez, pour le régal, une petite recette expérimentée ce jour...
Un peu de poitrine d'agneau mise à suer doucement au wook, ,sans graisse additionnelle...
Une fois que les morceaux ont jeté leur propre graisse, en augmentant un peu la température, dorer les en les retournant régulièrement afin qu'ils prennent une couleur dorée sans brûler.
La chose faite, ajouter en quantité qui vous sied, de l'oignon cipollotto tranché finement ainsi que de l'ail frais découpé en éclats. Laisser mijoter doucement, de façon à ce que l'oignon et l'ail fondent doucement en se colorant.
Ajouter ensuite le zeste d'un demi citron jaune, non traité, débarrassé de son ziste (partie blanche sous le zeste). Saler, ajouter un peu d'herbes de Provence. Pas de poivre pour la cuisson, afin d'éviter l'amertume.
Laisser cuire doucement, très doucement, sans adjonction d'eau.
En milieu de cuisson, ajouter des fèves fraiches, laisser cuire à nouveau doucement, jusqu'à ce que les fèves soient cuites à cœur et que le tégument soit tendre. Il faudra peut-être ajouter un demi verre d'eau, en fonction de la quantité de jus obtenue lors de la cuisson
Le plat est prêt. Il reste donc à servir, bien chaud, en ayant préalablement poivré et recouvert d'un hachis de coriandre fraiche.
Pour parfaire la chose, le tout sera accompagné d'un vin bien charpenté (cuvée Prestige des Costières de Nîmes, Saint Chinian... )
Un môme qui réagit comme ça... une bonne tarte dans la tronche et il se remet au pas. Mais Trump... ?!?! Je cherche désespérément les mots mais en fouillant dans les dictionnaires du monde entier... rien, absolument rien pour le qualifier. Les seuls qu'on peut trouver sont si faibles...
Il y a des jours où je me dis que si la vie n'est pas éternelle... c'est tant mieux !
Chez les cyclopes, seuls les jumeaux peuvent être affectés par un strabisme. celui ci est variable, convergent ou divergent... en fonction de la position relative des jumeaux.
Cela doit faire sérieusement réfléchir à l'idée défendue par les détracteurs du Mariage pour tous : les parents c'est un papa et une maman...
Oui, mais quel papa, quelle maman ???
Quelles que soient les raisons qui ont conduit la maman citée à être complètement ivre et dangereuse pour sa progéniture et son entourage, je me dis qu'il vaut mieux qu'un enfant ait un papa et un papa, ou une maman et une mamans, les uns comme les autres sains de corps et d'esprit plutôt que des parents de genres différents complètement irresponsables.
Avec ses toutes petites pattes avant, le T Rex ne pouvait pas se donner du plaisir. Avec ça, pas étonnant qu'il ait passé sa vie à être très grognon et à faire la gueule.
Hier Antoine de Caunes recevait Karim Madani dans son émission Popopop sur France Inter.
Alors que Karim Madani évoquait Eddy Mitchell dans la seule émission que son père l'autorisait à regarder, à dire La dernière séance. Il disait ceci : "C'est vrai que j'aime bien Eddy Mitchell (... ) il était toujours en plus super bien entouré, il avait toujours deux bonnasses... "
A ce moment, l'interviewé hésita, se reprit et dit à de Caunes "Je ne sais pas si on peut dire ça... " Ce à quoi, de Caunes répondit, goguenard, "Mais bien sur qu'on peut le dire... "
Là !!! Je me suis posé des questions car lors de l'émission Popopop du 11 octobre 2017, l'animateur, père de l'actrice Emma, révéla qu'elle avait eu maille à partir avec Harvey Weinstein et avait dit ceci «...Mais il arrive que ces femmes se rebiffent et rendent public de tels agissements. C’est ce que vient de faire ma fille, (... ) en dévoilant les turpitudes d’un tout-puissant producteur hollywoodien. Ce gros porc puant d’Harvey Weinstein pour bien le nommer. Tout le monde le sait, il faut du courage quand on est une femme pour mettre sur la place publique de telles histoires et j’espère que l’exemple de cet aréopage de comédiennes aidera à libérer la parole d’autres victimes plus anonymes.»
Cette réaction ne m'avait pas choqué le moins du monde, au contraire.
Mais hier, en entendant la réponse "Mais bien sur qu'on peut le dire"... je suis resté pantois. Certes, entre les agissements du producteur américain et les propos de Madani, il y a un monde. Cependant, avant les gestes déplacés, les propos peuvent l'être et pire encore, l'agrément de ceux ci.
Alors Monsieur de Caunes... vous vous offusquez lorsqu'il s'agit de votre fille, à juste raison d'ailleurs, mais quand on vise des inconnues, le mépris ne vous choque pas et traiter des femmes de bonnasses ne vous émeut pas ?!?
Pour conclure, loin de défendre le producteur incriminé, loin d'être un moralisateur, je veux ici parler de cohérence ; faites attention Monsieur de Caunes, avec la légèreté dont vous avez fait montre lors de l"émission d'hier, vous cautionnez les attitudes de gros porcs puants et risquez peut-être un jour, d'en devenir un.
Vous voulez briller par votre esprit de synthèse dans les salons de justice en charge des affaires de drogue ET de mœurs, alors ne dites pas : "Condamnons les vieux pervers juvénophiles qui consomment des tarpés" mais plutôt "Haro sur les bédophiles !"
Spéciale dédicace à Ingrid, en souvenir d'une matinée où on se demandait ce qu'avaient consommé les Stroumpfs au petit déjeuner.