En période de sécheresse, souvenons-nous des paroles de Don Diègue dans le CID pour nous redonner une raison de croire qu'il finira bien par pleuvoir :
"Orage, eau des espoirs... "
Pour sauver ses emplois, Kindy chaussette fait du pied aux candidat en leur offrant des paires de chaussettes.
Afin de ne pas être plus accablé, Fifi-Gigi a déjà rendu les costumes et UNE chaussette.
Il faut rendre les DEUX, Fifi-Gigi ! Les DEUX !!!
"Pénéééééé, laisse tomber les emplois fictifs, remets toi vite au tricot"
Faudrait savoir...
Quand certains français refusent la légion d'honneur, ils la refusent et puis c'est tout. Mais toi Bob, qu'est ce que tu nous fait avec le prix Nobel ???
Si tu n'en veux pas, tu le dis clairement, tu ne vas pas le chercher en douce, alors que tous les médias nous pompent l'air avec cette mauvaise série à épisode, et basta.
Mais là, quelle que soit la valeur de tes textes, de ta musique, de ta poésie, ton attitude capricieuse m'exaspère, et pas qu'un peu...
En avril, ne te découvre pas d'un fil... prends en au moins deux !
Aujourd'hui, c'est dimanche, si tu vas à la piscine lundi, tu mets ton maillot d'main
Fifi-Gigi, tu prétends que Macron et Hollande ont ourdi le complot, qu'il fallait faire semblant d'être dissident... Et toi, tu fais semblant d'être honnête, propre , que dis-je... probe ?
J'en pousse un à l'heure, mais lequel ? Jean Poule Tard ou Jean Coq Tôt..
Si on applique aux égyptiens le propos de St Exupéry : "Aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction" on réalise, au regard de la gravure ci-dessous, que la moitié de la population regardait à droite et l'autre à gauche.
Ainsi opposés, aucun égyptien n'a jamais pu dire à une égyptienne : "T'as d'beaux yeux tu sais ! " En revanche, la flatterie fonctionnait bien, à la condition que l'un soit derrière l'autre, pour les cheveux, le dos, le fessier. Quand aux rapports intimes...
S'envoyer en l'air, c'est finalement faire le grand saut pour voyager dans les spasmes.
Tu es dyslexique, tu confonds les c avec les s, pire encore, avec les b ou les p, si tu veux sentir bon pour pécho, par sur que ça marche avec l'eau de Sologne, de Bologne ou de Pologne...
Bon... 1er avril obligeait, il fallait bien trouver quelque chose pour hier.
Entre l'hésitation d'un quart de seconde avant de réaliser la supercherie, la crédulité, les encouragements, vous avez été nombreux à venir lire ce pseudo dernier post. Merci à vous.
Donc, vous l'aurez compris, ma grande immodestie m'incline à penser que je suis encore capable d'écrire, ce que je vais faire.
Comme je vous l'ai déjà expliqué, à l'instar de l'alcool, des médicaments, des substances illicites, éditer quotidiennement des posts, plus ou moins bons, j'en suis conscient, est devenu une addiction.
Mon état psychique joue sur la quantité et la qualité mais je ne peux plus me passer d'écrire. Vous êtes d'ailleurs partie-prenante de la chose en lisant régulièrement ma production, en la commentant parfois et même, nouveauté depuis quelques temps, en cliquant sur le lien ad hoc pour suivre le blog.
Une fois encore, merci à vous toutes et tous. A l'instar des rendez-vous géants qui ont été en vogue sur face de bouc il y a quelques années, je rêve de pouvoir un jour vous réunir pour boire un bon coup sous l'égide de l'humour et du vivre ensemble pour employer un terme très prisé en ce moment.
De ce pas, je vais écrire d'autres posts puisque comme je le note souvent, ça va mieux en le disant, en le riant et même en le criant.
Je vous embrasse toutes et tous ici, là et là.
Chers surfeurs, chères surfettes.
Voilà... devant une chute spectaculaire de la fréquentation du blog Plaisir de mots depuis le début d'année, après des mois et des mois d'augmentation, force m'est de constater que les âneries et autres jeux de mots douteux, voire scabreux n'attirent plus.
Juste avant les 5000 posts, j'avais écrit que je me poserai la question de la continuation.
Il est aujourd'hui clair, et je suis bien conscient de la chose, que mon imagination stagne et même s'épuise.
Aussi, je prends la décision, certes, difficile car écrire est devenu pour moi une nécessité vitale, d'arrêter de poster sur Plaisir de mots.
Coup de mou, besoin de renouveau... je ne sais pas. Une chose est sure, c'est que la baisse de fréquentation me conforte dans l'idée de départ de mettre un terme à ce qui aura été pour moi, grâce à vous, une véritable thérapie après l'accident de la vie que j'ai vécu il y a presque une décennie.
Ne soyez pas inquiets, si j'ai décidé d'en¨finir avec Plaisir de mots, je ne mettrai un terme qu'à cela, et rien d'autre.
Pour ce blog, the show must'n go on. Merci à vous.
Respectons tous les cultes... les gros comme les petits. Ainsi soit-il !