Ne fâchez pas la couturière, elle risque de vouloir en découdre... ça peut tenir à un fil.
Ne fâchez pas la couturière, elle risque de vouloir en découdre... ça peut tenir à un fil.
Ce matin, Mariette et Glinglin se sentaient fripons
"Ooooooohhhh Glinglin, cette tour... "
"J'en conviens Mariette, cela donne des idées... "
"Qu'alliez-vous imaginez, surfeurs/surfettes à l'esprit décalé, ho ho ho ?"
"Ooooh Glinglin, qu'ils sont grivois, hi hi hi !"
Merci Cassandre pour les images
Petits métiers : nurses de chapeaux de paille en vacances. L'équipe au complet, deux de garde, deux au repos.
"Et pour les sandales, on fait quoi ?"
"Elles se démerdent, on n'est pas payées pour... "
Dans un lunch, les canapés, vus comme ça... ça me va bien.
Arrêtez de faire des chichis pour promener votre klebs, ça le fait flipper.
"Et encore, j'évite les entrechats, ça le rend fou"
Euuuhhh ? Irma ?
"Non, arthrose !"
C'est bien, encore une qui se laissera pas emmerder par les phallocrates.
Je suis avec vous les filles !
France insoumise.
Merluchon cite Robespierre.
Alexis Corbière cite Saint Just.
Mes souvenirs de lycéen remontent à la surface.
Je cherche... la nation n'a jamais honoré ces révolutionnaires il me semble.
16 ans déjà... Demain 11 septembre... les images sont gravées dans ma mémoire, précises, sidérantes.
Mariette et Glinglin étaient fort heureux de recevoir dans leur superbe demeure sarthoise cet hôte de marque qu'était Syphon Maître Décolle.
"Diantre, quel magnifique canidé vous avez là, est-il féroce ?"
"Non, ne vous laissez pas submerger par l'épouvante, Syphon. Son père étant de Saumur et sa mère de Bourgueil, il est d'une douceur angevine"
"Me voilà donc rasséréné... "
Petits métiers : coupe des cure-dents gargantuesques par les scieurs de long de l'Office National des Forêts du Haut Jura.
"Et on respecte le quota fonctionnaire : pour un qui bosse, il y en a deux qui foutent rien"
Petits métiers : séchage de la beu par les chichonneurs et chichonneuses de la Creuse.
"Seule qualité pour être recruté(e), éviter d'avoir un gros pétard... "
Ah bravo les enfants, et merci... le taux de fréquentation remonte. C'est Oncle Patrick qui est content. On voit que la rentrée est faite.
Vous savez que vous pouvez commentez, en cliquant sur Commenter cet article qui figure dans le petit bandeau gris sous les posts. Surtout n'hésitez pas, les surfeurs/surfettes lisent itou ces propos. J'ajoute que la plupart du temps, c'est aussi délirant que le post, voire plus que le post lui-même. Dans tous les cas, ça résonne bien avec. Alors surtout, lâchez-vous, sauf si vous êtes suspendu(e) au dessus du vide ; ça me ferait peine de vous perdre.
Continuez mes petits, continuez. De mon côté, je ne mollirai pas.
C'est dans mon lit mi-long que l'on mit limon ?
Au music-hall, quand le metteur en scène n'est pas satisfait par l'exécution de la chorégraphie, il pousse un coup de girl ?
Je vous ai parlé, il y a quelques posts, du livre Les contes du grand père Zig, d'Alexandre Breffort.
Je ne résiste pas au plaisir de vous en recopier ici un extrait. Vous comprendrez mieux pourquoi Breffort est une réelle source d'inspiration pour ce blog aussi sot que grenu.
La clef du mystère
Dans la rue, un inconnu bouscula l'inspecteur Zig, qui avait repris son vrai visage. Dérangé dans sa méditation, l'inspecteur grommela sourdement. Deux minutes plus tard, il trouvait dans sa poche un billet avec ces simples mots : "Venez au 0 bis, rue Caumartin, deuxième étage à droite. La Clef du mystère sera sous le paillasson" Il n'y avait pas de signature.
Le détective n'hésita pas et se rendit au rendez-vous. Au deuxième étage, il allait soulever le paillasson quand la porte s'ouvrit. Rididine parut.
Quatre cris de surprise s'entrecroisèrent :
"Vous ?
- Moi.
-Toi ?
- Nous.
- Tiens, ça rime ! " dit l'inspecteur Zig qui s'était ressaisi le premier.
Zig contre Fantômas - deuxième épisode - Les contes du grand père Zig, Alexandre Breffort - livre de poche 2459
Il n'y a pas à dire, ce monde irrationnel et loufoque me ravit. D'ailleurs, je vous laisse, je n'ai pas fini de lire... et de rire.
Avec les perturbateurs endocriniens, on assiste à des mutations de plus en plus voyantes.
Après le poil aux orteils...
... et le poils aux yeux...
... les esthéticiennes vont anticiper en achetant des nouveaux outils pour faire le maillot. Mieux vaut prévenir que pêter sa petite tondeuse.
"Vroum vroum vrououououm ! "
H1... N1... grippe aviaire.
H1... Hénin... Beaumont... peste brune.
Vocabulaire adapté
"Euh... ta voiture a été vandalisée"
"Chiotte !"
Après Irma, dans les pilleurs, on peut distinguer les pauvres gens et les pauv'cons.
Les pauvres gens pillent de la bouffe, de l'eau, des produits de première nécessité et si je n'approuve pas forcément, je peux comprendre.
Les pauv'cons volent des écrans plats... alors qu'il n'y a même plus l'électricité ! No comment...
Ce matin, Glinglin n'était pas peu fier de montrer qu'il avait acquis du lexique..
"Aaaahhh Mariette, ce matin, je me sens en grande forme. J'oserais même dire que j'ai la fraise ! "
"Non mon pauvre Glinglin, tu te méprends derechef... c'est la pêche... pas la fraise... la pêche. Doux Jésus ! "
Heulà... avec une invention pareille, tu serres les miches à chaque aiguillage.
L'autre jour, en ouvrant ma boîte mél, je vois un message du sinistre des p'tits nenfants qui vont z'à l'école en tablier blanc.
"Tiens ? I'm'connais perso ? " me dis-je. Alors j'ouvre la missive.
Outch ! je tombe direct sur ça
Et là, je me dis que si ça commence comme ça, les mains quasi jointes, le sourire de circonstance dont on sent bien qu'il est plus inspiré par l'obligation type sermon que par l'empathie... ça va me le faire moyen.
Je sens d'ici qu'à chaque projet péda, il faudra demander la bénédiction d'une hiérarchie hiérarchique plus qu'à l'écoute... du terrain.
"Sous les pavés, la plage"
Et sous les pavages... la plaie ???
"Sous les pavés, la plage... "
Quand on vous dit que les plages sont souillées !!!