J'en pousse un à l'heure, mais lequel ? Jean Poule Tard ou Jean Coq Tôt..
J'en pousse un à l'heure, mais lequel ? Jean Poule Tard ou Jean Coq Tôt..
Si on applique aux égyptiens le propos de St Exupéry : "Aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre, c'est regarder ensemble dans la même direction" on réalise, au regard de la gravure ci-dessous, que la moitié de la population regardait à droite et l'autre à gauche.
Ainsi opposés, aucun égyptien n'a jamais pu dire à une égyptienne : "T'as d'beaux yeux tu sais ! " En revanche, la flatterie fonctionnait bien, à la condition que l'un soit derrière l'autre, pour les cheveux, le dos, le fessier. Quand aux rapports intimes...
S'envoyer en l'air, c'est finalement faire le grand saut pour voyager dans les spasmes.
Tu es dyslexique, tu confonds les c avec les s, pire encore, avec les b ou les p, si tu veux sentir bon pour pécho, par sur que ça marche avec l'eau de Sologne, de Bologne ou de Pologne...
Bon... 1er avril obligeait, il fallait bien trouver quelque chose pour hier.
Entre l'hésitation d'un quart de seconde avant de réaliser la supercherie, la crédulité, les encouragements, vous avez été nombreux à venir lire ce pseudo dernier post. Merci à vous.
Donc, vous l'aurez compris, ma grande immodestie m'incline à penser que je suis encore capable d'écrire, ce que je vais faire.
Comme je vous l'ai déjà expliqué, à l'instar de l'alcool, des médicaments, des substances illicites, éditer quotidiennement des posts, plus ou moins bons, j'en suis conscient, est devenu une addiction.
Mon état psychique joue sur la quantité et la qualité mais je ne peux plus me passer d'écrire. Vous êtes d'ailleurs partie-prenante de la chose en lisant régulièrement ma production, en la commentant parfois et même, nouveauté depuis quelques temps, en cliquant sur le lien ad hoc pour suivre le blog.
Une fois encore, merci à vous toutes et tous. A l'instar des rendez-vous géants qui ont été en vogue sur face de bouc il y a quelques années, je rêve de pouvoir un jour vous réunir pour boire un bon coup sous l'égide de l'humour et du vivre ensemble pour employer un terme très prisé en ce moment.
De ce pas, je vais écrire d'autres posts puisque comme je le note souvent, ça va mieux en le disant, en le riant et même en le criant.
Je vous embrasse toutes et tous ici, là et là.
Chers surfeurs, chères surfettes.
Voilà... devant une chute spectaculaire de la fréquentation du blog Plaisir de mots depuis le début d'année, après des mois et des mois d'augmentation, force m'est de constater que les âneries et autres jeux de mots douteux, voire scabreux n'attirent plus.
Juste avant les 5000 posts, j'avais écrit que je me poserai la question de la continuation.
Il est aujourd'hui clair, et je suis bien conscient de la chose, que mon imagination stagne et même s'épuise.
Aussi, je prends la décision, certes, difficile car écrire est devenu pour moi une nécessité vitale, d'arrêter de poster sur Plaisir de mots.
Coup de mou, besoin de renouveau... je ne sais pas. Une chose est sure, c'est que la baisse de fréquentation me conforte dans l'idée de départ de mettre un terme à ce qui aura été pour moi, grâce à vous, une véritable thérapie après l'accident de la vie que j'ai vécu il y a presque une décennie.
Ne soyez pas inquiets, si j'ai décidé d'en¨finir avec Plaisir de mots, je ne mettrai un terme qu'à cela, et rien d'autre.
Pour ce blog, the show must'n go on. Merci à vous.
Respectons tous les cultes... les gros comme les petits. Ainsi soit-il !
Différence entre le lapin sauvage et le lapin d'élevage ?
Le second est, même contre son gré, pour le développement du râble.
Les ustensiles de cuisine, ça sert à tout.
"Oscar, rentre à la maison, j'ai besoin des spatules pour préparer la Bolognaise... "
Spéciale dédicace à Nath !
Au soir du second tour des primaires de la gauche qui a vu Hamon sortir vainqueur, les deux candidats se sont présentés côte à côte pour sceller le soutien du perdant au gagnant.
Benoît à tendu la main à Manu en lui disant "Viens qu'on s'la serre"
Il semble aujourd'hui que le vaincu ait mal compris l'invitation et ait plutôt entendu "Viens qu'on s'lacère... "
Ayant le bonheur d'être propriétaire du bien qui m'abrite, dans une co-propriété, je suis assujetti, cela va de soi, aux charges à payer quatre fois l'an pour mon appartement.
Evolution technologique oblige, la demande réclamant ce dû qui arrivait par voie postale suit maintenant les arcanes de la toile. Du coup, la facture arrive directement sur mon ordinateur personnel. Jusque là... rein à dire.
Mais quand je lis le contenu du message auquel est attaché un fichier .pdf facturant ce que je dois, je bondis.
"Monsieur,
Notre agence adopte une attitude éco-responsable, aussi, vous trouverez en pièce jointe votre appel de fonds.
Vous en souhaitant bonne réception, nous vous prions d'agréer, Monsieur, nos sincères salutations.
Pas à pas, agissons au quotidien pour préserver notre environnement.
N'imprimez cet email et les documents joints que si nécessaire."
Prendre le prétexte de l'éco-responsabilité... cher syndic, ne prendrais-tu pas aussi tes co-propriétaires pour des sots.
Du coup, après avoir réglé la facture, je me suis fendu d'une brève réponse que je vous livre ici :
"Bonjour
Je suis sensible à la démarche éco-responsable de votre syndic.
La charge est donc maintenant répartie sur l’ensemble des co-propriétaires qui doivent utiliser un ordinateur, une imprimante, du papier et de l’encre pour éditer le coupon à joindre au règlement.
Je ne suis pas sur que la somme des charges réparties ainsi aille dans le sens de l’éco-responsabilité et j’ose espérer que cette démarche, puisque votre société en décidé ainsi, aura aussi une incidence sur les coûts de gestion qui devraient normalement diminuer (papier, manipulation, frais postaux... )
En vous remerciant de m’avoir lu.
Salutations"
Quelle que soit la réaction, s'il y en a une, quand on n'est pas dupe, ça va mieux en le disant.
Je crois que j'ai trouvé mon homme... Jean Lassalle !
Boudiou, un gars qui donne de sa personne pour obtenir des choses pour ses administrés, ça change.
Juste en chantant à l'Assemblée Nationale, il sauve une gendarmerie qui devait fermer près du tunnel du Somport. L'histoire ne dit pas si c'est un comma trop bas qui, en agressant les oreilles sensibles des députés lui a fait obtenir ça.
En arrêtant de becqueter pendant 39 jours, il sauve une industrie, certes à capitaux japonais, mais où travaillent 150 personnes quand même. Là non plus, rien sur ce qui a motivé nos amis du soleil levant à maintenir l'usine si ce n'est la rumeur d'un nouvel Hiroshima à coup de bombe nucléaire bricolée dans l'élevage de brebis du frère cadet du député.
Bon, sa marche à travers la France, où il rencontre des tas de gens de la France d'en bas, d'en haut, de là et d'ici et même du milieu en incarnant "la voix des sans voix" alors que d'autres parlent des sans dents alors qu'on ne sait même pas le nombre de leur caries, ça incite à l'écouter. Réfléchissez une seconde, écouter ceux qui prêtent leur voix aux sans voix est bien plus facile que d'écouter ceux qui ne prêtent même pas leurs dents aux sans dents.
Vous les avez vu, vous, tous les autres, se bouger les miches, s'agiter de la guibole, jouer les rossignol en assemblée plénière, se priver de tête de veau ou de caviar ? Non. Moi non plus. A part agiter les mandibules pour faire des promesses qu'ils s'empresseront de ne pas honorer ou de les oublier. Nada, que dalle !
Et puis, quand même, un gars qui réussit, dans ses meetings de 27 personnes, à faire s'applaudir les gens eux mêmes... C'est impressionnant ; c'est vrai, c'est important des fois de s'applaudir soi -même. Je confesse que parfois, dans le huis clos de ma salle de bain, il m'arrive de m'applaudir à tout rompre, avant d'aller boire un verre de l'amitié avec moi-même.
Un gars qui porte le béret, un vrai français en somme, et dans dans les autres départements, tout ça sans maugréer contre l'étranger comme celle et ceux qui le font sans même chausser des charentaises, ni porter une baguette sous le bras, ça donne confiance.
Enfin, un gars qui a déjà recruté son ministre de l'intérieur, et qui ose le présenter avant d'être élu, car il le sera, il l'a dit ; ça en impose non ?
C'est décidé, juste pour continuer à rigoler, au milieu des dix autres clowns, c'est à lui que j'apporte mon soutien.