Fermer ou non Fessenheim ? Une décision à prendre qui n'est pas fissile...
Fermer ou non Fessenheim ? Une décision à prendre qui n'est pas fissile...
Syrie... au menu des négociations russo-américaines
- langue de bois pour élaguer les propositions.
- planche en piscine pour la détente.
Alors oui, je n'ai pas regardé le débat des onze candidats présidentiables. Pour autant, l'information aidant, j'ai entendu l'intervention de Philippe Poutou sur l'immunité ouvrière et j'ai déjà écrit sur ce sujet.
Depuis, je ne me lasse pas de regarder sur ce lien l'intervention du candidat du NPA, moins maintenant pour le propos que je connais par coeur, que pour le plaisir de voir la tronche de la représentante de l'extrême brun dont le bec est cloué. C'est assez rare pôur en faire un moment jouissif.
La chose l'est d'autant plus que le public applaudit, montrant ainsi l'adhésion, si ce n'est au candidat, au moins à l'idée exprimée sur la nécessaire probité des politiques.
Il faut regarder l'extrait dans son entier afin d'entendre également les propos tenus sur les nantis de la politique pour constater que ces idées, simples, honnêtes, pleines de bon sens, gênent... car la réalité de la France, c'est ça aussi.
Un train peut en cacher un autre mais finalement, on finit toujours par voir le caché... parfois trop tard.
Il faut donc prendre garde, du côté de l'extrême brun, quand on entend un sifflet sur la rafle du Vel d'hiv' qui rappelle celui nauséabond du papa sur l'inexistence des chambres à gaz par exemple, de ne surtout pas s'engager sur cette voie et encore moins sur cette voix.
Ma très chère Maryse,
du premier avril ma prise
que ce beau livre offert
et sans attendre ouvert
m'a donné du plaisir
et moins que m'abêtir
m'a permis de rêver
et puis aussi d'errer
de sourire et de rire
d'avoir envie d'écrire
encore avec passion
et pour toute ambition
ce bonheur infini
de savoir que l'on rit
de mes absurdités
de mes ires et faux nez.
Petites choses de la vie
m'a tout à fait réjoui
quelle belle écriture
vraie joie d'une lecture
de grande gourmandise
le mot en friandise
rêve et réalité
en belle agilité
maitrise rhétorique
parfois amphigourique
des lignes ciselées
d'un beau choix des idées.
A toi un grand merci
Pour ces morceaux choisis.
*Petites choses de la vie, Nouvelles de Laurent Devismes, Ed. Cockritudes
Spéciale dédicace, vous l'aurez compris, à Maryse
La vérité est enfin rétablie
"Je vous demande pardon, contrairement à
ce que j'ai dit dans le post SALLE AFFAIRE,
le casse était en réalité grand comme ça... "
Fifi-Gigi, aujourd'hui, devant la foule rassemblée pour t'écouter, tu as dit que tu as senti monter en toi une force.
Chez monsieur tout le monde, on appelle ça une érection, en toute simplicité.
Et en même temps (private joke) monsieur tout le monde n'a pas besoin de plusieurs centaines de personnes pour y arriver.
A chacun son viagra.
L'ascèse.
Là seize...
Las aise ?
Lacet zzz !
Les sosies, c'est troublant. Imaginez rencontrer le double de votre moitié...Hein !... pas simple.
Du coup, le double de votre demi-frère ferait de lui votre frère. Pfff.
Est-ce plus agréable de boire un demi de bière ou un quart de rouge avec un tiers plutôt qu'avec sa moitié ? Réfléchissez un dixième de seconde...
Je suis arrivé avant les autres... mais je n'ai pas bu une bière en les attendant.
L'ensemble des convives étant réunis, je n'ai pas bu d'apéritif alors que d'autres dans le groupe avaient passé commande.
Je me suis régalé du repas, même si le poivron m'a rappelé son existence longtemps après son ingestion, mais je n'ai pas bu une goutte d'alcool, vin rouge ou rosé, qui auraient pourtant bien bien accompagné les plats dont le nom se prononce avec un chausse pied.
Forcément, le ZEUGMA, restaurant turc fraichement ouvert à Nancy, est halal ne sert pas d'alcool... Tout ça à l'insu de notre plein gré... Shit !
Du coup, j'ai senti monter le nervous break-down chez certaines de mes amies, la tentation de la fuite chez d'autres, la résignation dépressive chez certaines, un sentiment de culpabilité énoooorme pour qui nous avait recommandé le restau, et il faut le dire, beaucoup de tristesse et de dépit chez les représentants de la gent masculine.
Ceci dit, un restau sans alcool offre quelques avantages : celui de sortir tôt et phénomène particulièrement étonnant, la sensation plus que curieuse de pouvoir se lever normalement, sans tituber...
A la sortie du restau, certaines amies en crise parce que sevrées, n'ont eu de cesse que de trouver un lieu pour trouver une boisson fermentée, autre que ce putain de yaourt aigre, afin de pouvoir parler normalement, sans baver.
Comme l'épisode miam miam s'était trouvé écourté, car en plus du moins (d'alcool), quatre convives sur neuf ont vu leur commande tronquée... ont été mis ou mises en demeure de prendre comme dessert ce qui devait accompagner leur plat de résistance. Pas fun, d'autant que dans ce cas, le patron refuse d'ajouter de la chantilly sur les aubergines grillées à l'ail halal.
Bref, après avoir mis les voiles, nous nous sommes retrouvés dans un rad sympa où chacun/chacune a pu compenser le manque. Petit dessert sucré pour les uns, tonneau de bière pour l'autre.
Bon, après avoir vertement tancé notre amie, nommée K. afin de vous égarer sur le prénom de Cathy, nous avons juré qu'on ne nous y reprendrait plus.
Ceci dit, entre amis et amies, nous avons réellement passé un super moment. Dommage qu'il n'y ait pas eu de bière ou de vin...
Spéciale dédicace à la bande de doux dingues avec qui j'ai passé une bonne soirée, pleine d'humour.