:
Mon objectif est d'explorer l'inconnu d'une vie nouvelle, grâce, entre autres, à l'écriture. Le ton restera le même; souvent impertinent, parfois cynique mais toujours en tentant de garder ce qui nous permet encore de vivre dans ce drôle de monde, l'humour, dans tous ses états.
Il y a force âneries sur ce blog, ce qui n'empêche que de temps à autres, il est bon de faire un travail de mémoire ; 27 janvier, journée mondiale de la mémoire de l'Holocauste et de la prévention des crimes contre l'humanité.
Cette citation nous rappelle bien cela
"Le bourreau tue toujours deux fois, la seconde fois par l'oubli"
Ce matin Mariette et Glinglin faisaient un constat bien plaisant.
"Glinglin, le jardin sent bon la terre, les oiseaux se remettent à chanter, les fleurs graciles nous offrent leurs couleurs chatoyantes et leurs savoureuses fragrances... le printemps point !"
"Ooh oui Mariette, je sens bien raidir la tige, monter la sève et turgescer le bourgeon... "
"Alors, Glinglin, profitons de l'instant, jouissons de la nature"
"S'il vous plait, dessinez moi un mouton" ou "S'il te plait, dessine moi... " mais pas "Sil vous plait, dessine moi un mouton"
On voit bien là que ce bambin, dont on se demande bien ce qu'il traîne au milieu du désert à une heure pareille, a eu une scolarisation bien lacunaire.
Non seulement, sous des apparences d'enfant bien élevé, ce gosse importune un pauvre gars paumé dans le désert, occupé à réparer un avion en carafe; mais en plus, il ne sait pas s'exprimer correctement.
Qui plus est, je le trouve un peu gonflé. Utiliser la forme impérative plutôt qu'un conditionnel, relève de l'enfant roi, ce qui est très prétentieux d'un la part d'un mouflet qui n'est que prince, et en plus petit.
Sale môme ! Quand aux parents... pfff !
Franchement, je ne vois pas pourquoi on fait autant de succès au récit de cet aviateur-écrivain, ou de cet écrivain qui plane...
Le matin quand tu rentres dans tes toilettes et que tu vois ça... fait un effort en rappel de mémoire pour te souvenir de ce que tu as bu, ou fumé, ou les deux, la veille.
"Si tu embêtes nous, nous venir marcher dans ta tête"