#Balance ton porc... Pas toujours simple.
"Bah oui, faut ben choisir, sinon c'est l'procès pour discrimination... "
#Balance ton porc... Pas toujours simple.
"Bah oui, faut ben choisir, sinon c'est l'procès pour discrimination... "
Moi aussi, je sius très proche de mon animal de compagnie, mais quand je me suis couché sur lui...
... il n'a pas aimé du tout, mais alors là, pas du tout. En même temps, mon animal de compagnie, c'est un hamster...
Oups... j'ai loupé d'un jour un sujet d'importance : la journée mondiale contre l'excision.
J'm'en foutisme ? Certainement pas. Machisme ? Pas plus, bien au contraire.
Et de toute façon, si excuses il doit y avoir, c'est moins les miennes pour cet oubli que celles de tous ceux, de toutes celles, qui continuent d'imposer ces mutilations à des fillettes, à des adolescentes, à des femmes qui n'ont rien demandé.
Ce matin, Mariette et Glinglin réfléchissaient un peu écolo, voire végane.
"Ma bonne Mariette, laissons les moutons à l'herbage. Point de laine pour nous réchauffer les pieds. Un bon composteur et c'est gagné"
"Comme tu es inventif et respectueux de la nature, mais attention à ne point écraser ces milliers de petits cloportes lucifuges et détritiphages qui nous chatouillent les orteils dans cette intense nécromasse"
Dans la vie, il faut faire des choix.
"Avant, j'étais cornac en Inde, mais j'ai laissé tomber... Trop crevant !"
Le priapisme, c'est pénible...
"Edgar, si tu pouvais te retirer, j'ai un rendez-vous chez l'esthéticienne... "
"C'est pas gagné, Mireille. Vraiment désolé"
Ce matin, Mariette prévenait contre la bise et les frimas.
"Alors mon bon Glinglin, ce chandail confectionné par mes soins te sied-il ?"
"A merveille, chère Mariette, ce tricot à la laine fraiche me semble bien sardanapalesque ; je suis complètement emballé"
Si tu as jeté l'éponge avant que la goutte d'eau fasse déborder le vase... t'es mal !
Le médecin m'a dit "le traitement de la grippe, c'est moitié sous la couette" J'applique ! Bon, c'est pas facile pour écrire mais je fais avec.
"Le gratouillage de nombril, c'est le petit plus, mais pas pris en charge par la sécu... Dommage"
Tellement pris par les salauds de pauvres, je ne me suis pas méfié de cet enfoiré de virus ! Insidieux, fourbe, sournois, vil, faux cul, il m'a sauté dessus entre 11h02 et 11h31 dimanche. Paf, comme ça, sans prévenir.
Jambes en coton, tête dans le coton, nez qui pleure et yeux qui coulent. La sensation, quand on te parle, d'entendre ton interlocutrice comme si t'étais au fond du gouffre de Padirac. Seul point commun, stalactite au pif. Du mal à rassembler les idées.
Le beau corps d'athlète n'a plus, soudain, que le charisme d'une serpillère. Pantin désarticulé, battu par l'invisible. Froid, puis chaud. Chaud et froid. Vite, un sweater, vite, l'enlever. Bégaiement vestimentaire. Tu veux ou tu veux pas. Je voudrais bien vouloir, mais je ne peux pas. Neurones à plat.
Sommeil en berne, trop fatigué pour dormir, trop fatigué pour tenir éveillé. Situation paradoxale. Pas de bonne place dans le lit. Ici, non, là, non plus. Dessus ou dessous. Corps qui tourne et se retourne, douloureux.
Ouf, le flux nasal s'arrête. Respirer. Impossible. Zut. Glaciation. Nez bouché. Démangeaisons insupportables, impossible à apaiser. Éternuer, une fois, deux. Encore, pas d'arrêt. Pfff, crevé, dormir... pas possible. Gorge qui racle.
Insomnie, une heure, puis deux, puis trois, et quatre... C'est long, nuit noire. Allumer ? Lire ? Pas question, photophobie au menu. Cinéma intérieur, boulot, photo, bricolage, écriture et encore boulot. Penser à envoyer ce document, où est-il, pourquoi le veulent-ils ? Sommeil parti, fatigue présente. Bouger, changer de lieu, changer d'idées, tout à l'heure se lever, pour le travail. Assis, canapé, plaid, tête lourde, bouche sèche.
La fatigue l'emporte, enfin.
Canonifié ou béatisé, c'est la même différence, c'est ni plus ni moins que de la sanctificatude...
Ah ben ça alors, jour de la chandeleur, un fabriquant de crêpes dans le hall de gare régale gratos les voyageurs.
Vivement la Saint Vincent qu'on nous offre un canon de rouge.
Parfois, la parole des enfants est cruelle. Il y a quelques jours, j'ai pris un groupe d'élèves de CE1 pour travailler en résolution de problèmes.
Au moment de sortir de la salle, une petite fille est venue vers moi et m'a dit, très spontanée "J'aime bien travailler avec toi".
"Ah bon ? Et pourquoi ?" m'étonnais-je.
"Parce que j'aime bien les maîtresses... "
Terrassé par le propos, je lui ai donné à résoudre une équation à mille inconnues.
Ce matin, Glinglin se lançait dans l'aventure.
"D'abord, dans cette jungle d'une densité insensée, éviter les prédateurs, penser à trouver une eau claire pour se désaltérer, du bois sec pour le feu, des... "
"Alors, mon bon Glinglin, je languis d'attendre... quand te décideras-tu à m'apporter ce bouquet de persil ??? "
Voilà une façon claire et élégante de signifier sa pensée.
Bien d'accord avec vous, Madame.
Les inondations, terrible !
Ceci dit, en toute humilité, moi aussi je sors de mon lit tout les matins...
Ce matin, SGDPME se confie.
"Depuis que j'ai endossé ces attributs, je vole... mais pas des mobylettes !"
Aujourd'hui, mon père aurait 95 ans.
Il est parti en ayant quasiment toute sa tête.
Il est parti en ayant eu la chance de rester chez lui jusqu'au bout.
Partir à l'heure, sans mourir avant l'heure, esprit ailleurs dans un corps prison.
Partir à l'heure, dans la douceur, la sérénité, que rêver de mieux.
Aujourd'hui, je souhaite la même chose à toutes et tous.
Paparazza ?
"Dans la campagne #balance... c'est le détail qui est croustillant, alors je me lance dans la photo d'épaule de porc"
What a surprise !
"Raymond ?"
"Félix ?"
Concerto gluant en beurk majeur.
" Je connais un pays on dirait un jardin
Je peux y vivre nue sans avoir jamais froid
Quand j'y ferme les yeux je trouve sous mes doigts
Tous les chemins
J'ai le fond de tes yeux pour y chercher de l'or
La couleur de ta peau pour lire les saisons
Le creux de ton épaule pour ligne d'horizon
Et tout autour de moi tes bras font le décor
Au pays de ton corps
Au pays de ton corps
Au pays de ton corps... "
Le pays de ton corps - Paroles Catherine Le Forestier
C'est fou comme les gens sont méfiants.
"Comme j'te l'dis René... les voisins, i'z'ont une drôle de gueule.
M'étonnerait pas qu'i' soyent pas d'chez nous."
Un gamin de 8 ans porteur de kippa agressé ici, là un père qui menace de mort des personnes à l'entrée d'une école élémentaire, encore ailleurs
des ados réfugiés gazés...
C'est ça la civilisation ? C'est ça le 21ème siècle ?
Comme disait Pierre Desproges : "Plus je connais les hommes, plus j'aime mon chien"
C'est vraiment con... j'ai pas d'chien !
Ce matin, Mariette était estomaquée.
"Glinglin ?"
"Non ma bonne Mariette, SGDPME ! Super Glinglin Des Petites Ménagères Enamourées ! Bras droit de Dyonisos. Héros de l'Eros... "
"Saperlipopette... je répond à l'un des critères... viendras-tu à moi, Super Glinglin Des PME ?"
L'état gris pâle actuel de beaucoup de gens est lié au manque de soleil, c'est sur !
Spéciale dédicace à Blandine et aux autres virussé(e)s... et bon rétablissement !