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Mon objectif est d'explorer l'inconnu d'une vie nouvelle, grâce, entre autres, à l'écriture. Le ton restera le même; souvent impertinent, parfois cynique mais toujours en tentant de garder ce qui nous permet encore de vivre dans ce drôle de monde, l'humour, dans tous ses états.
Nomination d'un premier sinistre, exercice particulièrement difficile si l'on en juge par la durée de l'accouchement.
La question est celle du qui ? Euh non, d'abord du quoi ou du que. Quoi que dont ne peur être exclus. Toutefois, nous avons des assurances sur le où, quant au quand... ça...
Après moult jours de privation de sornettes et coups de gueule en tous genres, faute d'accès à Internet en mon palais laxovien, je retrouve la civilisation du virtuel et de la toile à unir tous les lapins du monde. Non la fibre n'est pas encore arrivée à moi, c'est moi qui suis allé plus à l'Ouest pour retrouver la fibre... de l'écriture.
Alors, sachant que Plaisir de mots, durant ce jeune de posts postés, n'est pas resté les bras croisé et les doigts dans le fion - ce qui, cumulé est assez sportif - des posts ont été mis, à l'instar des ovocytes, au frais.
Du coup, c'est reparti, bienvenue à vous toutes, tous et autres pour reprendre le chemin de folie et/ou de rogne qui dure depuis plus de 10 ans et une fois encore, merci à vous.
Mes chers/chères collègues encore en activité, ouvriers/ouvrières aux mains dans le cambouis pédagogique quotidien de l'enseignement, je vous propose une citation que vous pourrez afficher dans votre classe et que vos supérieurs hiérarchiques de tous niveaux ne pourront vous contraindre de retirer sauf à vouloir passer pour des imbéciles incultes et des petits caporaux imbus d'un médiocre et dérisoire pouvoir.
" Les fonctionnaires sont un peu comme les livres d'une bibliothèque : ce sont les plus haut placés qui servent le moins "
Ah, j'oubliais, au cas où un esprit chagrin voudrait faire montre de sa sotte autorité, rappelez-lui que ladite citation est de Georges Clémenceau et qu'en conséquence, l'aphorisme est historique... Pouf pouf.
Que les agriculteurs en colère bloquent les routes et les structures sensibles, c'est le jeu. Qu'ils déversent du purin devant les édifices qui représentent la République, c'est le jeu. Qu'ils brûlent des palettes, c'est le jeu. Qu'ils mettent le feu à des pneus de tracteur, c'est aussi le jeu, mais à quel coût pour la nature...
Les agriculteurs manifestent. S'ils font comme lors du dernier épisode de la chose, ils retourneront les panneaux indicateurs d'entrée dans les communes.
Merde alors, on s'était habitué à les lire à l'envers. Pffff !
Cherchant comment faire des pâtes de fruit parfumées à base de pelure de pommes, je suis tombé sur une préparation dont la proportion des ingrédients était la suivante :
1kg de pommes à cuire (type chanteclaire)
800 gr de par kg de purée de fruits + un peu pour l'enrobage
2 citrons bergamote
Pour les pommes et les citrons bergamote, pas de problème. Mais pour les 800 g de la seconde ligne ???
Que mettre ? En réfléchissant, j'ai trouvé !
800 gr de boudin et un peu de saindoux pour l'enrobage.
Le 8 novembre dernier, aux «Rencontres de l’avenir» à Saint-Raphaël, le petit Nicolas aurait évalué la charge de travail des enseignants à «24 heures par semaine et six mois de l’année».