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J'étais debout et j'ai tout de même failli tomber de ma chaise en entendant que le sinistre des petits n'enfants et des maîcresses serait pour un retour plus fréquent au redoublement et que la décision appartiennent en dernier lieu aux enseignants plutôt qu'aux parents. Pas étonnant qu'il pleuve !

J'espère que, outre l'avis de l'enseignant de la classe de l'élève concerné, celui des tous enseignants et personnels spécialisés impliqués ainsi que celui des psy scolaires sera pris en compte sans que les inspecteurs/caporaux de l'Education Nationale ne viennent contrer leur choix.

Pendant des années, je me suis battu pour faire entendre que le redoublement bien pensé, bien réfléchi, cohérent, pouvait être la moins mauvaise des solutions pour des enfants en difficulté. Certes, il n'est jamais facile de décider de l'avenir d'un enfant car c'est une décision qui, de toute façon engendre des conséquences pour l'élève.

Quand un élève est en souffrance dans un niveau donné, en fin d'année se pose la question. Quel sera le choix, non pas le meilleur, mais le plus judicieux pour l'enfant ? Le maintenir dans le niveau afin de lui donner plus de temps pour mieux arriver aux compétences attendues avec le risque d'un traumatisme dû à la séparation des copains et à la frustration ressentie de l'arrêt d'un parcours normé ? Le faire passer pour qu'il continue, au risque de creuser plus encore les nids de poule qui parsèment son chemin scolaire et augmenter la souffrance déjà ressentie de l'échec ?.. La liste des pour et des contre est longue.

Rien n'est simple. C'est toujours un pari. Les enseignants, pour une grande majorité, ne prennent pas la décision du redoublement à la légère. Si le redoublement est une frustration pour l'enfant, c'est aussi un choix complexe pour l'adulte qui doit peser toutes les conséquences de celui-ci, avec parfois le risque de l'erreur. Il ne peut en être autrement. Le plus grand challenge est bien de réduire le plus possible l'erreur pour proposer à l'enfant une solution qui lui convienne, l'aide à l'épanouir, à progresser.

Il y a 40 ans, La marche pour l'égalité et contre le racisme arrivait à Paris.

40 ans... Aujourd'hui, ces espoirs se sont réduits comme peau de chagrin.

Relisons cet article de l'Huma en nous arrêtant sur des mots comme égalité, espérance, solidarité, changer,  et demandons-nous ce que nous avons loupé pour que d'autres comme racisme, rejet, cancer, violences banalisées aient relégué les premiers aux oubliettes.

Relisons, réfléchissons...  et dans la mesure de nos moyens, agissons pour permettre à nos jeune de " ... mieux vivre et ... de ne pas mourir ».

J'ai dû subir une petite intervention chirurgicale qui nécessitait une anesthésie locale.

Au moment de l'anesthésie, le produit injecté en sous cutané m'a procuré une forte sensation de brûlure.

J'ai été tenté, pendant quelques secondes, de demander au médecin une anesthésie à côté du point d'injection pour le pas éprouver ce très désagréable effet de l'anesthésiant premier mais j'étais circonspect...

Le réchauffement climatique risque de réveiller les volcans ?!?

Mais alors, si le réchauffement climatique réveille les volcans, les volcans vont réchauffer le réchauffement climatique ?!

Du coup, le réchauffement climatique réchauffé risque de réveiller encore plus de volcans qui vont accentuer le réchauffement du réchauffement climatique déjà réchauffé. Etc etc...

Si par chance, on réussit a éviter ça, on pourra dire qu'on a eu chaud.

Après l'Argentine, la Hollande.

Oh les politiques modérés de tous pays, faudrait peut-être se remuer le cul pour faire barre à l'extrême beurk.

Quant à nous français, il nous reste moins de 4 ans pour trouver la solution... pas simple.

Liberté, Égalité, Fraternité.

On y a ajouté ce temps-ci

Laïcité

Pour ma part, j'y adjoins

Viens prendre le thé

Pour qu'on puisse en causer.

Martin Fourcade, champion olympique de ski de fond a dit ce matin à la radio à propos d'une course qu'il avait perdue :

" Ça M'a fait quelque chose À MOI "

Baaaaah oui. Normal, sauf pour les schizophrènes qui sont obligés de dire :

" Ça M'a fait quelque chose À MOI et aussi À MOI "

Plaisir de mots raconte beaucoup de bêtises, mais pas que.

Au gré du surf sur le net, il arrive parfois de tomber sur des articles fort intéressants, comme celui-ci, traitant d'un sujet scientifique : la supraconductivité.

Certes, toutes les notions évoquées ne sont pas toujours simples à comprendre, mais pour autant, l'effort de vulgarisation est efficace et rend le propos attrayant et accessible en grande partie.

Alors, grâce à Plaisir de mots, cliquez sur le lien ci-dessus pour en apprendre plus sur ce qui un jour, pourrait révolutionner tout ce qui concerne cette conduction électrique dont au quotidien, nous pouvons de moins en moins nous passer.

Si tu prends ton courage à deux mains, ça va être difficile de prendre les jambes à ton cou.

Pas de regrets...

" Mon petit Félix, au regard de la violence et de la connerie humaine, il n'y a pas à déplorer d'être né singe "

Le sujet peut sembler tellement futile au regard de ce qui se passe au proche Orient mais bon.

J'aime la rugby, pour l'avoir pratiqué quand j'étais jeune et du coup, je suis la coupe du monde aujourd'hui.

Forcément je suis content de voir notre équipe en quart de finale, mais je reste dubitatif quant à la participation d'Antoine Dupont à ce match et à ceux qui, je le souhaite, suivront.

Certes, j'imagine que pour tout joueur, une coupe du monde, ça ne se loupe pas, même blessé ou en convalescence.

Pour autant, qu'y a-t-il de plus important ? Gagner un titre mondial ou risquer le reste de sa vie ?

Je peux comprendre l'envie de l'homme impliqué au premier chef, mais comme spectateur, simple spectateur, je ne peux m'empêcher de penser que la vie vaut mieux que la gloire.

Monsieur Dupont, ce sera votre choix et je le respecterai.

Après la réception à l’Élysée mardi soir dernier, il y a eu une projection de film pour remercier les ministres : Le dîner de cons.

Qui connait le nom de l'interprète de la Bête dans le film de Jean Cocteau La Belle et la Bête devrait trouver facilement la contrepèterie qui se niche dans Jean-Marie Le Pen