
Elle dut faire mander le bout pour palier la trop forte chaleur de sa patte.
Spéciale dédicace à François
Elle dut faire mander le bout pour palier la trop forte chaleur de sa patte.
Spéciale dédicace à François
Quand une élève de CM2, alors que tu l'aides en géométrie, désigne du doigt l'angle d'une figure, cherche le nom mathématique et finit par dire... "le bout", tu hésites à lui demander si la figure a le bout aigu, obtus et pire encore, le bout droit...
Spéciale dédicace à mes collègues qui peinent à enseigner les sciences exactes
11 septembre... 18 ans déjà, funeste souvenir.
5 septembre 1789, il y a donc précisément 230 ans, Olympe de Gouges réclame l’égalité juridique et légale femmes/hommes dans sa Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, qui sera publiée en... 1986, soit 197 ans après.
On avance, on avance, à tous petits petits petits pas, mais on avance. Mesdames, un peu de patience que diable, d'ici 2250, on devrait avoir encore un peu progressé...
Attention, ami(e) du contrepet, tendre des pièges à mites dans les bois n'a jamais empêché de tendre des pièges...
Ami(e)s du contrepet, méfiez-vous des dates fétiches.
Quand le bon sens d'un élu est de mise, soutenons le.
Ci dessous, le lien pour accéder à la pétition de soutien à Monsieur le Maire de Langouët.
Si vous êtes pour une vie plus saine, signez et surtout, partagez le lien, si non... dommage.
Ah... au fait, mille mercis à vous, Monsieur le Maire.
Parfois un nom nous renvoie dans le passé, la prime enfance. Ce fut le cas pour moi ce matin. Aspro !
Ding ding, souvenirs au rendez-vous, un paquet de madeleines de Proust ; souvenir des couleurs, de la boîte, de l'écriture, des lieux, des moments.
Kalmine, cachets analgésiques, ancêtres des gélules puisque fabriqués avec une enveloppe façon hostie, avec la poudre dedans. Boîte métallique, récupérée par tous les bricoleurs une fois le médicament épuisé, boîte devenue boîte à vis, à bidouilles, rangée sur l'étagère de l'atelier, avec toutes les autres, vis de 5x30, de 4x20... A la maison, la boîte de Kalmine, c'était dans la chambre de ma mère, table de chevet, premier tiroir : petit trésor.
Pulmoll, la boîte à pastille, même usage pour les papas, car le bricolage, c'était leur truc, pas celui des mamans... à l'époque. Seuls les hommes savaient user du marteau, du tournevis, du ciseau à bois. Les femmes, c'était les aiguilles à tricoter, la cuisine... Les temps ont changé, et c'est tant mieux. Pulmoll, pour moi, c'était le petit bonbon mangé chez mes voisins d'en face. Pas de ça chez nous. Autres habitudes. Mais là aussi, petit bonheur de la sucrerie rare.
Et puis.. le Pschitt ! Pschitt citron, et encore meilleur, Pschitt orange. La boisson achetée à la buvette lors d'une visite au stade municipal. Compétition cycliste sur vélodrome. Les vélos... aucun souvenir, mais le Pschitt orange acquis grâce à la pièce offerte par ma mère, en allant seul demander timidement, petit garçon que j'étais : "Un Pschitt Orange s'il vous plait" Aucun soda, après le Pschitt, n'aura su me rendre aussi heureux. Saveur chimiquement orangée, pétillant d'une boisson qui ne franchissait jamais les portes de la maison. C'était ça le paradis.
Et vous... vos madeleines de Proust, comment se nommaient-elles ?
13 aout, journée internationale des gauchers... les 364 autres jours pour les droitiers. Cherchez l'erreur.
Ce 6 août, il y a précisément 74 ans, à Tinian, une île des Mariannes, ils s'étaient levés de bonne humeur
Ce même matin, à Hiroshima, beaucoup de gens s'étaient également réveillés avec le sourire... Ne l'oublions jamais.
Quand deux cars arrivent à la demi... c'est normal.
Si tu es très abattu, tu es déprimé, alors que si tu es abattu, tu es juste mort ; paradoxe adverbial de la langue française...
Avec le pourvoi en castration, finies les camisoles chimiques, mais bon...
"Il y a un abruti chaque jour qui dit qu'il veut être maire de Paris"
Propos éminemment rassurant du petit Benjamin Grigri qui, ce faisant, montre son vrai visage tout en oubliant qu'il fait lui même partie de ceux qui prétendent au trône.
Trop Drôle !
La nomination, hier, d'un nouveau sinistre pour remplacer le démissionnaire, tient de l'éjaculation précoce. Souhaitons que Marianne ne soit pas déçue, d'autant que l'élue va se taper deux maroquins à la fois.
Cette façon de faire n'augure rien de bon. Il ne faudrait pas qu'un autre sinistre démissionne, sauf à considérer que l’État veut faire des économies sur les salaires en collant à la même personne un portefeuille supplémentaire.
Dans l'histoire, si Manupiter et son monde nouveau y perdent en crédibilité, celle qui va en pâtir le plus sera bien l'écologie, malgré toutes les déclarations politiques visant à séduire les électeurs.
Alors, il n'y a qu'une façon de faire : celle du terrain, celle des petits colibris conscients et actifs que nous sommes ou pouvons être.
Écologie selon le monde ancien : si il y a du homard, j'arrive.
Écologie selon le monde nouveau : si il y a du homard, je pars !
Ras le bol des lobbys.
Il est grand temps de mettre en place un lobby anti-lobbys, et pis c'est tout !
Monsieur Lambert, RIP...
Le plus étonnant, c'est qu'en anglais rip signifie déchirure...
Entendu aux infos hier soir :
"Virginie, vous êtes entourée de gens derrière vous..."
Alors bon. Entouré... je vois bien. Des gens tout autour, façon contrevallation, qui empêcheraient Virginie de quitter le cercle humain dans lequel elle est inscrite.
Derrière... je vois bien aussi. Des gens à la suite, à la queue leu leu ou en groupe, mais qui ne débordent Virginie ni par tribord ni par bâbord.
Mais entourée de gens... derrière... j'ai un peu du mal. Je ne vois pas bien quand, cantonné à l'arrière d'une personne, un groupe donné peu être en même temps autour de ladite personne !?! A moins que le groupe soit uniquement constitué du père, du fils et du saint esprit, qui, prouesse remarquable, réussissent à ne faire qu'un en étant trois. Ce qui permet à l'un ou l'autre de pouvoir aller derrière lui même pour se botter le cul ou encore plus fort, cerner, de part et d'autre, le tiers restant qui, dans cette occurrence est un tiers du tout qui ne fait qu'un, situation éminemment schizophrénique s'il en est.
Bref, à l'heure qu'il est, compte tenu qu'en même temps qu'il fut le père, abandonnant le fils, qu'il était itou, pendant que le troisième tiers du tout qui était un, lui aussi, était parti voir là bas si les deux autres tiers y étaient, il me semble bien difficile, malgré ce don pathologique inénarrable qui a fait florès dans les milieux chrétiens, de supposer que Virginie fût entourée de gens derrière elle, le quidam contemporain étant assez peu doué pour la supercherie christique.
J'en conclus, Madame la journaliste, qu'il vous reste deux options pour dire la chose juste, ou vous actualisez vos connaissances bibliques ou vous révisez toutes vos notions de topographie. Et surtout, faites vous aider, on n'est jamais mieux entouré(e) que par des proches qui sont derrière vous.
Mais enfin... de quoi se plaignent les écologistes gazés sur le pont de Sully vendredi dernier ? Le gaz propulseur des bombes lacrimo n'était pas du chlorofluorocarbure, dont pas de problème pour la couche d'ozone ET le réchauffement climatique. Les écolos sont toujours en train de pleurer... Incroyable.
"Aussi profond que soient nos différends et nos désaccords, ce sont les mots qui permettent de le dire"
Quelle magnifique phrase dite par vous aujourd'hui, sur France Inter, Mme Taubira.
Qu'elle vole au dessus des belliqueux et des extrémistes assassins. Qu'elle pénètre leur âme. Qu'elle les aide à parler plutôt que de tuer, de détruire le monde par la haine.
Merci Madame.
Quand l'horreur idéologique est portée par l'esthétisme photographique...
... il y a juste à regarder... et réfléchir.
Spéciale dédicace à toutes les femmes asservie, physiquement, moralement, idéologiquement
Il y a quelques jours, première célébration à Notre Dame depuis l'incendie du 15 avril. Les fidèles, des prêtres pour la plupart, portaient casque de chantier.
Pour cette fois, ils n'étaient pas en curé avec une calotte...
On se protège comme on peut.
Quand on dit qu'on fait un barbecue avec des gens... on n'utilise pas les gens comme combustible. C'est juste qu'on partage un barbecue. Enfin, quand je dis on partage un barbecue avec des gens, ça ne veut pas dire que chacun repart avec un bout du barbecue. C'est compliqué de faire simple !
Des fois, en écrivant les choses, il faut faire attention ; ça évite l'ire des concerné(e)s
Ce matin à la radio :
Les françaises joueront ce soir leur dernier match de pool.
Oui, certes, mais à l'oral... on pourrait facilement penser que :
Les françaises joueront ce soir leur dernier match de poules.
Ce qui change la donne.
Enfin, personnellement, j'ai de suite opté pour la première occurrence, cela pour éviter l'ire des cons cernés...