Dieu existe-t-il ?
La terre est-elle fatiguée ?
L'Homme est-il bête ?
Seule la réponse à une seule de ces questions me semble évidente !
Dieu existe-t-il ?
La terre est-elle fatiguée ?
L'Homme est-il bête ?
Seule la réponse à une seule de ces questions me semble évidente !
T'y vas ou t'y vas pas
T'y vas c'est bien
Si t'y vas pas tant pis
Si t'y vas pas
J'en f'rai pas une maladie
Oui mais voilà réponds-moi
Non ou bien oui
C'est comme ci ou comme ça
Ou t'y vas ou t'y vas pas
Lorsque je vous écoute, je retrouve ma fierté d'être français.
Gens de gauche, hésitants, repassez-vous en boucle ce que dit cet homme, à partir de la quatrième minute si vous ne voulez pas avoir à choisir entre brun clair et brun foncé en 2012.
Monsieur Badinter, Respect !
Mais qu'est-ce que j'ai à m'obstiner à regarder la cérémonie des Césars... alors que le palmarès est lu en moins de trois minutes dans la presse, sur le net...
C'est vrai, il y a des moments (rares, si rares) d'humour, d'émotion (mais souvent convenue), de prise de position (malheureusement sans effet)... Bref si on trie le bon grain de l'ivraie, il reste quoi... à tout casser quinze minutes utiles. Cela laisserait un temps d'antenne pour passer un excellent film, un de ces cinéastes à qui les Césars rendent hommage, ou mieux, une perle de cinéma, petit film par le budget, mal distribué mais si bien réalisé... Et pour les plus courageux, ça donnerait le temps de se rendre dans une salle obscure pour voir en vrai, une oeuvre cinématographique !
Et la grande godiche, et la patronne, et les totoches... feront quoi eux, pour nous débarasser de l'élu ?
Nous voilà dans de beaux draps, si j'ose dire. Donc, maintenant, soyons clairs, ne pratiquons pas en plus, la langue de bois.... pour éviter la surinfection avec les échardes.
Remercions le créateur, qui dans sa grande mansuetude, nous a donné une colonne vertébrale suffisament rigide pour nous préserver.
Mais la peur n'est pas complétement dissipée car, si la solitude est un des moyens d'éviter la pathologie citée, rien n'est dit, dans ce cas, sur un risque potentiel de cancer de la main !
Voir l'Histoire en marche est une chance.
La faire est-il un privilège ? Je ne crois pas.
C'est une question de volonté, de courage, d'abnégation.
Actifs ou passifs, nous sommes tous des artisans de l'Histoire.
Question de choix.
Sans compter l'hommage que nous devons à tous ceux qui meurent pour défendre la liberté, je vous demande de vous lever devant votre ordinateur et de respecter une minute de silence pour Ahmed Mohammed Mahmoud, reporter d'images, tué dans l'exercice de son métier pour faire savoir ce qui se passe et ainsi lutter contre l'oscurantisme.
Merci pour lui, merci pour eux.
Saint-Valentin par ci, Saint-Valentin par là, Saint-Valentin partout... et personne à qui offrir mes fleurs... ras le bol de la pub intrusive.
Bon, je veux bien accepter la pub qui vient de partout mais à une seule condition, c'est que les commerciaux de tous poils aient le culot de fêter la Saint Bathélémy. Ils pourraient utilement faire la promo du boudin, des tripes, du coeur... et du don du sang !
Des fois, la toile, c'est le bonheur...
Le prix de la bagnole... et à côté, un encart pour solliciter des dons afin de lutter contre la faim dans le monde
350 000 $ d'un côté, 5 de l'autre, soit la possibilité de 70 000 dons pour que de pauvres gens puissent ne pas crever de faim pendant que des bouffis de blé continuent d'esquinter la planète à coup de moteurs V12 !
Elle est pas belle la vie ? Dites moi qu'ils ont fait exprès, allez, dites le moi.
"Sois prompt à écouter, et lent à donner une réponse."
Ben Sira
Qu'elle est belle et tellement d'actualité cette citation de plus de 2000 ans.
Elle m'aura inspiré..., en voici donc le fruit :
Prendre le temps
Il est vrai qu’aujourd’hui la vitesse prévaut,
La réponse dans l’heure, et cela sans défaut
N’en peut être autrement au risque de déplaire
Réagir aussitôt que l’info va se faire
Sans prendre quelque temps, celui de réfléchir
De mettre la distance, pour mieux la prévenir
Action et réaction, voilà les maîtres mots
D’un monde où tout est fou, d’un monde où tous les maux
Doivent sans plus tarder, trouver la solution
Fi de la réflexion, il nous faut de l’action
Déjà l’enfant le sait, puisque tout arbrisseau
Il comprend qu’il est roi, que tout lui est cadeau
Que ses parents ne savent comment il leur faut faire
Pour que la tête blonde fruit de leur propre chair
Accepte qu’on refuse ce qui lui est désir,
Comprenne qu’il y a parfois du déplaisir
Mais qu’il est constructif, même s’il a le cœur gros
Que papa et maman refusent le crédo
De l’enfant qui s’emporte dès que la frustration
Le prend au dépourvu, force l’acceptation
Quand assis au bureau, sage comme un agneau
Je vois tout en furie, entrer comme un taureau
Mon collègue d’en face, souvent atrabilaire
Le cheveu en bataille et l’air autoritaire
Sans même me saluer, et tout ça pour me dire
« As-tu reçu le mél ? Je viens de le finir
Et j’attends ta réponse, très vite il me la faut
Cela ne peut attendre… Voilà donc le fléau
De la rapidité. Voilà donc l’abjection
Du manque de répit pour répondre aux questions.
Bien sur si la vitesse, nous amène aussitôt
A l’autre bout du mode, cela prestissimo
Il n’en reste pas moins que cela m’exaspère
Ne n’avoir plus le temps, parce que tout accélère
D’apprécier les choses, de pouvoir acquérir
Une philosophie qui pourrait abonnir
Ce que je vis des choses, ce que je trouve beau
Et si célérité devient le seul ruisseau
De tout ce qui nous fait, c’est une abjuration
Du plaisir de la vie, une abomination.
Aussi le politique, à son plus haut niveau
N’a plus capacité de trouver le repos
Celui qui nous protège de la crise de nerfs
Et nous permet ainsi d’avoir l’esprit plus clair
Afin de distinguer ce qui sera le pire
Trouver la solution ou bien céder à l’ire
Et pourtant on le sait, la colère ne vaut
Surtout pas qu’on y tombe, car elle a le défaut
D’empêcher de penser, de nuire à l’attention
De tous nous révolter, de créer la tension.
Aussi, je vous le dis, allez decrescendo
Pour qu’au bout de la vie vous soyez en écho
De la force du vent, de celle de la terre
Et de celles de l’eau, du feu qui nous sont chères
Pour qu’ainsi vous puissiez, enfin vous accomplir
Etres de la nature, humains en devenir.
Habitants de la terre, votre si beau berceau,
Réagissez au mieux, préparez vos cerveaux
Sans partir en arrière, engagez votre action
Pour enfin accepter la décélération.
La lenteur a du bon, observez l’escargot
Qui toujours à la peine, traîne son lourd fardeau
Sachez vous inspirer, sachez en prendre l’air
Car même s’il ne va pas si vite que l’éclair
Il arrive à son but, et cela sans courir
Sans jamais s’arrêter, sans jamais s’assoupir
Hommes de la vitesse, arrêtez vos assauts
Prenez le temps de vivre, prenez celui qu’il faut
Pour qu’icelui vous porte l’amélioration
Sur le champ, tout de suite, sans autre digression
Devenez fainéant, refusez le monceau
Des actes qu’il vous faudra traiter illico
Prenez de la distance, sachez garder vos nerfs
Et sans hésitation, sachez bien vous abstraire
Des réponses immédiates, sachez les abolir
Au jeu de la durée, sachez-vous convertir.
Prenez donc bien le temps, tout comme le bateau
Qui va sur l’onde claire, navigue au fil des flots
Et qui toujours au port, sans précipitation
Amène les colis, livre les provisions
Apprenez aux enfants, qui sortent du berceau
Ce que veut dire attendre, que signifie repos
Ce faisant vous saurez ménager vos arrières
Pas de fessées de trop, de claques sur le derrière
Vous aurez fait passer comme bon souvenir
Celui du temps qui passe et qu’on laisse advenir
Joie de se réveiller alors qu’il n’est plus tôt
De lézarder un peu quand dehors il fait chaud
De prendre tout son temps pour faire ses ablutions
D’avec le paresseux être en adéquation
Et si la nonchalance ne fait admiration
Prenez la chose bien, ce sera la caution
De votre attachement à ce qui là prévaut :
Indolence de l’aï, celle du cachalot
Flegme de la tortue, qui peine à déguerpir
Chantres de la durée qui lentement s’étirent
Enfin, si vous trouvez que la chose est austère
Mon propos hors sujet, mes phrases cavalières
Alors n’hésitez pas, allez-y allegro
Choisissez la vitesse, celle de l’escargot !
Ayons une pensée pour toutes les victimes, passées, présentes et futures des régimes autoritaires. Celles qui n'ont d'autre choix que de vivre dans ces pays, celles qui par professionnalisme et conviction, font leur métier. Je pense à ce jeune qui s'immole en Tunisie, à ce journaliste victime d'un tir tendu de grenade, à ces deux jeunes gens pris en otage...
Sachons aussi faire notre mea culpa, la France n'est pas blanche dans toutes ces affaires, au présent comme au passé !
"Quand le sage montre la lune, le sot regarde le doigt"
Confucius
Quand Stéphane Hessel s'indigne, Fifi répond que "l'indignation pour l'indignation n'est pas un mode de pensée"
1) Stéphane Hessel ne revendique en rien l'indignation comme mode pensée. Il invite à la réflexion en rappelant certains fondamentaux édictés par le CNR durant la dernière année des ignominies de la seconde guerre mondiale.
2) Stéphane Hessel est un vieux Monsieur mais quelle clairvoyante jeunesse, quelle perspicacité dans ses propos, quelle belle conscience.
3) Certes, le monde évolue et change. C'est pour cela qu'il est fondamental que des Stéphane Hessel, qui ne sont pas des enfants nés de la dernière pluie, mais bien des sages nourris de l'expérience de la vie, nous rappellent ce que les hommes ont pensé pour l'Homme il y a plus d'un demi siècle.
Quant à la lucidité, je préfère celle du sage à celle du sot !
Ah les Antilles...
Régalez-vous de ces couleurs.
Appréciez ces parfums.
Goûtez ces saveurs.
Aimez ces airs.
A l'heure de la crise,
sans grand espoir d'éclaircie à court terme,
force est de constater
qu'on ne peut que
prendre les messies pour des gens ternes.
Ayant trouvé l'âme soeur dans le Nord, je croyais vivre une nouvelle vie de couple.
Quand elle a réalisé mon incapacité pathologique à ranger mes affaires, elle s'est enfuie.
J'ai pris le taureau par les cornes, me suis mis au boulot...
Et j'ai trié, triééééé, à Lille, pour qu'elle revienne !
Merci cap'tain Ad hoc pour la matière première...
31 décembre, cause rupture de stock sur l'article, prière de se replier sur la dinde...
Pour éviter de froisser le Dr Freudyoungovitsch, votre psy
dites
"Fais passer la colère qui me hante !
plutôt que
"Tire l'ire de mon coeur"
Est ce la capacité à réfléchir, à rire ou à faire souffrir au nom d'intérêts personnels qui différencie l'homme de l'animal ?
Rien de tout ça... C'est sa capacité à réussir à trier les papiers administratifs entassés depuis plus de six mois sur la même table !
Pour briller dans les salons gascons
ne dites pas
"J'aime le combat de palmidèdes"
mais
"Excellent ce conflit de canard"
Merci à Jo dit "C A H"
Si au temps de Pascal, il est prouvé que les mathématiciens portèrent un intérêt certain à sa machine, rien ne dit si leurs femmes furent plutôt attirée par son machin.
Dans le monde du journalisme, toutes les femmes sont égales, surtout certaines !
La reine Christine est arrivée à RFI grâce aux accointances girouettesques de son Nanar.
La belle Audrey dégage parce que son compagnon se déclare candidat pour les prochaines.
Cherchez l'erreur...
Les salariés montrent l'exemple, aux grands patrons bouffis de fric de faire de même.
J'ai plein d'idées pour la redistribution, contactez moi...
C'est petit joueur ça... c'est bien les vieux ! Quel manque d'ambition.
En glissant sur la salade complète... c'était le Jackpot assuré, au moins une demie patate !