:
Mon objectif est d'explorer l'inconnu d'une vie nouvelle, grâce, entre autres, à l'écriture. Le ton restera le même; souvent impertinent, parfois cynique mais toujours en tentant de garder ce qui nous permet encore de vivre dans ce drôle de monde, l'humour, dans tous ses états.
Madame Jessy Trémoulière, joueuse française de rugby féminin, est demi d'ouverture ou arrière au Stade rennais rugby ainsi qu'en équipe de France à XV et VII. Elle vient d'être désignée meilleure joueuse de l'année 2018 par la Fédération internationale de Rugby.
Je vous ai vue, Madame, évoluer lors de matchs fort intéressants contre l'Irlande, l'Angleterre, le Pays de Galles, l’Écosse, l'Italie lors du dernier tournoi des six nations et j'avoue que j'ai eu grand plaisir à vous voir jouer, au sein d'une superbe équipe auprès de laquelle vos homologues masculins auraient bien des leçons à prendre. La Fédération internationale de Rugby ne s'y est d'ailleurs pas trompée ; pour ce trophée sportif, sur 5 joueuses en lice, 4 étaient françaises...
Alors, bravo à vous Madame pour ce titre, bravo aussi à vos collègues de jeu en équipe de France. Je continuerai à regarder vos matchs avec grand enthousiasme tant la qualité du jeu et l'intelligence sont au rendez-vous. Merci !
le 27 décembre 2017, il y a donc moins d'un an, le Président de la FFR*, Monsieur Laporte, ex secrétaire d'état à la jeunesse et aux sports sous Sarko, limogeait Guy Novès, alors sélectionneur de l'équipe de France, pour mettre à sa place un de ses potes, Jacques Brunel pour redorer le blason d'une équipe en peine de résultats.
Moins d'un an après, le petit copain de Bernard n'a toujours pas trouvé la solution pour que nos rugbymen soient opérationnels... Et pourtant, quand on les regarde sur le terrain, il y a des choses intéressantes. Alors... incapacité du nouveau sélectionneur ? Et pourtant, il est toujours là. Toujours intéressant d'être un proche du président... moins de risque de sauter.
Il serait grand temps qu'un vrai ménage soit fait, en dégageant en premier lieu un président de fédé, plus affairiste qu'intéressé par la noblesse du sport.
25 novembre, journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes.
Ceci dit... à quand une journée internationale, qui reviendrait 365 jours par an, et un de plus pour les années bissextiles, pour l'élimination pure et simple de la violence ???
Il fait froid, vous souhaitez manifester contre la hausse du prix de l'essence, soyez coquet, ne mettez pas un vieux pull, allez-y avec un gilet jeune !
T'es militante féministe avec un foulard violet mais tu soutiens les gilets jaunes et les bonnets rouges tout en étant dans la mouvance arc en ciel des LGBT, tu deviens dingue quand tu dois te fringuer...
Aujourd'hui, à nouveau des manifestations en jaune et des barrages filtrant sur les routes.
Autant je soutiens celles et ceux qui en bavent parce que dans l'impossibilité d'acheter leur pain quotidien, de se loger en ayant un travail et je comprends leur ras le bol et leur colère, autant je trouve insupportable la récupération de ce mouvement spontané par les extrêmes politiques et l'utilisation de ces manifestations à des fins destructrices, homophobes, racistes, intolérantes...
Alors, si le premier outil était un filtre anticon, ce serait tellement mieux car le message y gagnerait.
Je me souviens d'un temps, comme disait Charles, où fut déclarée la grève générale. Il y a 50 ans de cela... en mai. La chose fut suivie d'effets. Et si il n'y avait plus qu'à ???
Autant il fut une époque où, économiquement parlant, Carlos a été très présent sur la scène internationale, mais depuis le début de semaine, ce serait plutôt "Ghosn with the wind... "
Finalement, comme l'a écrit cet excellent dessinateur de BD, mais aussi chercheur en intelligence artificielle et enseignant à Paris VIII, Daniel Goossens :
A mesure de mes trajets automobiles, je vois fleurir des gilets jaunes dans les voitures qui me croisent.
Étant plutôt non violent, enfin, tout au moins en apparence, je pense lancer un mouvement alternatif, c'est le mot... pour dire ma désapprobation, mais dans la gaité, la bonne humeur et une certaine relaxation.
Ainsi, tant qu'à se faire mettre régulièrement par ceux qui nous gouvernent, si nous pouvions régler nos différents à la façon des Bonobos, ce serait nettement plus cool.
Deux alternatives en termes de résultats :
- la négociation n'aboutit pas, c'est triste, mais au moins, on aura passé un moment agréable
- la négociation aboutit et là, c'est du gagnant gagnant !
Dès demain, je file chez ma marchande de lingerie sexy et j'arbore un string rose sur la plage avant de mon véhicule.