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Mon objectif est d'explorer l'inconnu d'une vie nouvelle, grâce, entre autres, à l'écriture. Le ton restera le même; souvent impertinent, parfois cynique mais toujours en tentant de garder ce qui nous permet encore de vivre dans ce drôle de monde, l'humour, dans tous ses états.
Si le tarif pour un sandwich en retard c'est une balle dans la peau, ça met l’œuf dur à une bastonnade en règle à coup de batte de base-ball et la poignée de cacahuètes à un bon coup de poing dans la gueule. Quant au demi, je n'ose même pas y penser. On vit vraiment une époque formidable. J'espère juste que la maréchaussée retrouvera le crétin criminel.
La bonté de Notre Drame de Paris a ses limites. Après l'incendie, un taux anormal de plomb a été retrouvé dans le corps de deux enfants. La Faculté s'est émue, les radiographies des bambins ne montrent aucun squelette !
Si la chose est avérée, ce serait à la fois assez drôle et positivement effrayant. Drôle parce que les USA, en abattant leur propre drône au dessus du détroit d'Ormuz, se seraient, comme on dit "tiré une balle dans le pied". Effrayant parce que l'Etat américain, un des plus puissants du monde, montre qu'à l'instar de son président, est capable de faire des très grosses boulettes dont les conséquences peuvent peser très lourd. Si les USA deviennent métonymiques de Trump, on est mal barrés...
Je suis loin de pleurer sur le sort actuel de François 2 mais le mur d'un logement tagué... Si je comprends la rogne sur le fond, je trouve inadmissible la forme de la réaction. Laissons les enquêteurs faire leur boulot. A quoi bon inscrire anonymement des insanités sur les murs ??? C'est bon, ça suffit ; c'est petit, débile, et ça ne fera pas avancer le schmilblick.
Ceci-dit, Monsieur le Député PS, qu'a fait le gouvernement socialiste quand il était aux manettes ? La régionalisation ? Une décentralisation qui a sévèrement affaibli l'Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes. Qu'avez vous fait ou dit, à cette époque ?
Alors, réagir maintenant, certes, mais la messe est dite.
Une fois de plus, entre accident mortel et vandalisme, l'actualité prouve que le foot rend un pourcentage non négligeable des supporters complètement con.
Trump a décidé que 150 morts iraniens pour un drône détruit, ça faisait beaucoup. Il a donc freiné des quatre fers au dernier moment avant de lancer un bombardement.
Cela pose une question de fond. A combien le seuil acceptable ? Une vie contre un robot ? Deux ? Dix ?
Bon... question de timing, Manupiter n'aurait pas pu lire l'intégralité de la lettre d'Henri Fertet aux célébrations du D Day... certes, mais il aurait pu dire qu'il n'en livrait des extraits.
Version caviardée... aucune allusion à l'aspect religieux et à la foi catholique de celui qui écrit.
Catho ou pas catho, qu'importe.
Ré-écoutez cette lecture. C'est fou comme elle correspond aux aspirations présidentielles du moment.
Malhonnêteté intellectuelle de première bourre, démagogie écœurante, clientélisme à gerber...
Pratiques d'enfoiré !
Pour info, voici le texte intégral... à vous de juger.
"Chers Parents,
Ma lettre va vous causer une grande peine, mais je vous ai vus si pleins de courage que, je n’en doute pas, vous voudrez encore le garder, ne serait-ce que par amour pour moi. Vous ne pouvez savoir ce que moralement j’ai souffert dans ma cellule, ce que j’ai souffert de ne plus vous voir, de ne plus sentir peser sur moi votre tendre sollicitude que de loin. Pendant ces 87 jours de cellule, votre amour m’a manqué plus que vos colis, et souvent je vous ai demandé de me pardonner le mal que je vous ai fait, tout le mal que je vous ai fait. Vous ne pouvez vous douter de ce que je vous aime aujourd’hui car, avant, je vous aimais plutôt par routine, mais maintenant je comprends tout ce que vous avez fait pour moi et je crois être arrivé à l’amour filial véritable, au vrai amour filial. Peut-être après la guerre, un camarade vous parlera-t-il de moi, de cet amour que je lui ai communiqué. J’espère qu’il ne faillira pas à cette mission sacrée.
Remerciez toutes les personnes qui se sont intéressées à moi, et particulièrement nos plus proches parents et amis ; dites-leur ma confiance en la France éternelle. Embrassez très fort mes grands-parents, mes oncles, tantes et cousins, Henriette. Donnez une bonne poignée de main chez M. Duvernet ; dites un petit mot à chacun. Dites à M. le Curé que je pense aussi particulièrement à lui et aux siens. Je remercie Monseigneur du grand honneur qu’il m’a fait, honneur dont, je crois, je me suis montré digne. Je salue aussi en tombant, mes camarades de lycée. À ce propos, Hennemann me doit un paquet de cigarettes, Jacquin mon livre sur les hommes préhistoriques. Rendez « Le Comte de Monte-Cristo » à Émourgeon, 3 chemin Français, derrière la gare. Donnez à Maurice André, de la Maltournée, 40 grammes de tabac que je lui dois. Je lègue ma petite bibliothèque à Pierre, mes livres de classe à mon petit papa, mes collections à ma chère petite maman, mais qu’elle se méfie de la hache préhistorique et du fourreau d’épée gaulois.
Je meurs pour ma Patrie. Je veux une France libre et des Français heureux. Non pas une France orgueilleuse, première nation du monde, mais une France travailleuse, laborieuse et honnête. Que les Français soient heureux, voilà l’essentiel. Dans la vie, il faut savoir cueillir le bonheur.
Pour moi, ne vous faites pas de soucis. Je garde mon courage et ma belle humeur jusqu’au bout, et je chanterai « Sambre et Meuse » parce que c’est toi, ma chère petite maman, qui me l’as apprise.
Avec Pierre, soyez sévères et tendres. Vérifiez son travail et forcez-le à travailler. N’admettez pas de négligence. Il doit se montrer digne de moi. Sur trois petits nègres, il en reste un. Il doit réussir.
Les soldats viennent me chercher. Je hâte le pas. Mon écriture est peut-être tremblée ; mais c'est parce que j'ai un petit crayon. Je n'ai pas peur de la mort ; j'ai la conscience tellement tranquille.
Papa, je t'en supplie, prie. Songe que, si je meurs, c'est pour mon bien. Quelle mort sera plus honorable pour moi que celle-là ? Je meurs volontairement pour ma Patrie. Nous nous retrouverons tous les quatre, bientôt au Ciel. Qu'est-ce que cent ans ? Maman, rappelle-toi : « Et ces vengeurs auront de nouveaux défenseurs qui, après leur mort, auront des successeurs. »
Adieu, la mort m'appelle. Je ne veux ni bandeau, ni être attaché. Je vous embrasse tous. C'est dur quand même de mourir.
Message sur mon répondeur... je décroche, j'écoute... et là, je tombe sur le cul, une voix connue, celle du Merluchon marseillais ! Il vient chez moi, dans ma maison, pour me causer de sa tête de liste aux européennes. Le Merluchon m'a causé ! Je deviens un personnage important, je sors de l'anonymat... je n'en reviens pas. Ceci dit j'ai raccroché très vite, trop peur qu'il me pète les tympans en hurlant que la République c'est lui.
Bande de trous du cul merdeux... que vous pensiez que la famille, c'est un papa, une maman, c'est votre droit, mais ce n'est pas une norme, alors foutez la paix à celles et ceux qui ne pensent pas comme vous. Petit rappel pour vous qui semblez l'avoir oublié, au fronton de la République française figure le mot LIBERTÉ.
A terme, l'argent électronique remplacera les espèces. Du coup, plus besoin de poches aux vêtements pour y loger la menue monnaie. Mais alors, comment les Balkani feront-ils pour vivre ? Vite, une tirelire...