Publié le 27 Janvier 2018

Quand la radio annonce que les bourses s'envolent, j'ai toujours un petit moment de panique, alors pour me rassurer, je vérifie...
Le blog de plaisir-de-mots.over-blog.fr
Mon objectif est d'explorer l'inconnu d'une vie nouvelle, grâce, entre autres, à l'écriture. Le ton restera le même; souvent impertinent, parfois cynique mais toujours en tentant de garder ce qui nous permet encore de vivre dans ce drôle de monde, l'humour, dans tous ses états.
Publié le 27 Janvier 2018
Quand la radio annonce que les bourses s'envolent, j'ai toujours un petit moment de panique, alors pour me rassurer, je vérifie...
Publié le 27 Janvier 2018
Dans les sports divers, une nouvelle discipline : le ski zoo frêne !
Publié le 23 Janvier 2018
Monsieur Moix
Je vous ai entendu ce matin, interviewé par Léa Salamé sur France Inter, dans le 7-9 à propos de votre article récent dans Libé, concernant les migrants/les exilés de Calais.
Je viens de lire cette lettre ouverte que vous avez adressée à notre Président de la République, parue dans Libé et mise en ligne sur le site du journal.
Je ne suis pas allé à Calais, je n'ai ni vu ni filmé ces pauvres gens que vous évoquez. En revanche, au quotidien, je côtoie, dans les écoles dans lesquelles je travaille, des enfants qui arrivent de pays où eux et leurs parents ont été maltraités. Je tremble souvent à l'idée que ces enfants, ces parents, risquent d'être reconduits à la frontière, parce qu'une partie de notre pays ne veut pas d'eux. Je m'offusque de l'hypocrisie qui consiste à accepter la scolarisation des enfants alors que les parents vivent dans l'angoisse de décisions administratives funestes. Je m'insurge contre cette position pour le moins ambigüe. Je vois au quotidien des enfants qui font des efforts énormes pour s'intégrer, qui jouent le jeu de l'école française, apprennent notre langue... qui travaillent dur, et dans une grande dignité, en prenant ce que la France leur donne, sans rien réclamer. Ces gens, parqués dans des foyers qui ne sont que le moyen le plus facile de mettre la main sur eux pour les jeter dehors, sont des hommes, des femmes, des enfants qui n'aspirent qu'à une chose, vivre, vivre en paix.
Alors Monsieur Moix, je salue ici votre cran, votre courage, dont tant de politiques sont dépourvus. Votre texte est accablant pour le Président de notre pays. Votre indignation est salutaire, au moment où tant de gens se replient dans un individualisme aussi sectaire que dangereux.
Merci à vous Monsieur.
Publié le 15 Janvier 2018
Oui... deux jours sans post... c'est dur non ?
J'étais parti loin de la rédaction pour le week end mais pas de panique, les affaires reprennent.
Je vous ai rapporté d'une balade cette image, prise dans une vitrine Montmartroise de bondieuseries.
Après ça, comment voulez-vous que les curés n'aient pas des aspirations que la morale réprouve ???
Publié le 8 Janvier 2018
Bref, la métaphore du singe sur l'épaule a du plomb dans l'aile. Heureusement, puisqu'on n'arrête pas le progrès, il y a aujourd'hui une évolution iconique de la chose. Pour ne pas trop heurter le quidam, le singe est passé de l'épaule au rétroviseur d'une voiture, accélérant ainsi la cadence. Qui sait, au train (grande vitesse) où vont les choses, on verra peut-être un jour un singe sur le nez d'une fusée d'Elon Musk, prête à partir, à vitesse lumière, pour Mars.
"Ouais, ben en attendant, sur l'épaule, à petite vitesse,
je me se gelais nettement moins les cacahuètes ! "
Publié le 7 Janvier 2018
Trois ans... trois ans déjà. J'étais affligé d'une saloperie de lumbago.
Pourtant, ce jour là, sur le coup de 11h, ce n'est pas lui qui m'a fait le plus souffrir.
Trois ans après, mon émotion est intacte, identique à celle de la première seconde de l'annonce radiophonique. Marque indélébile.
Depuis, tant de gens sont partis, célèbres ou non, assassinés par des fous.
Ne pas oublier. Jamais !
Publié le 6 Janvier 2018
No comment !
Publié le 5 Janvier 2018
Une pensée très émue pour ce pompier volontaire, sexagénaire, disparu en réussissant à sauver la vie de ses prochains pendant la tempête Aléonor.
Monsieur, comme vos homologues sapeurs pompiers, volontaires ou professionnels, vous incarnez l'altruisme, l'abnégation.
Grand respect.
Publié le 4 Janvier 2018
Urbanisation vs nature...
... une vision qui ne manque pas de réalisme.
Publié le 31 Décembre 2017
Hein ? Quoi ? On est le 31 décembre ? Et alors ? Les voeux ? Ah oui les voeux... ! Un vrai marronnier ça, les voeux...
Bon, je fais quoi ? Je vous les souhaite ou pas ?
Si je m'écoute, je ne vous les souhaite pas. C'est vrai quoi, le nombre de personnes à qui on a dit en faisant la bise sous le gui : "... et la santé hein, surtout la santé !" qui sont passées de vie à trépas dans l'année. Et puis, en faisant moins dramatique, on a aussi le simplissime "Bonne année ! " suivi d'un licenciement, d'un divorce... Il y a aussi "Meilleurs voeux" simple, pratique, mais qui ne signifie rien. Voeux de quoi ? De réussite, d'enrichissement, de chasteté ???
Mais si je ne m'écoute pas... je vous souhaite des voeux, malgré tout ce que j'ai écrit auparavant.
Ainsi, pour 2018 j'ai décidé de vous décliner cela en Espéranto.
Tout ça pour que vous et moi pensions encore et encore à la chance que nous avons de ne pas espérer une hypothétique embarcation aussi peu sure qu'onéreuse pour rejoindre des terres imaginées de salut où une bonne partie de la population n'a guère envie de voir l'étranger lui prendre ce qu'il a...
Tout ça pour que vous et moi, nous puissions accueillir sans haine et sans crainte, celles et ceux qui viennent nous demander simplement à vivre sans peur.
Tout ça parce, comme vous et moi, celles et ceux qui souffrent sont des hommes et des femmes, des adultes et des enfants.
Tout ça pour que vous et moi fassions de la vie qui est si courte, quelque chose de beau.
Donc :
Plej bonaj deziroj por 2018
Publié le 18 Décembre 2017
La prime de Noël va être distribuée aux plus démunis. Environ 150 euros. J'entendais ce matin aux infos une dame, ravie de pouvoir, avec cette somme, s'offrir du bois pour se chauffer... 3 stères, pas plus. Et dans le même temps, surabondance de biens superflus dans les magasins à la veille des fêtes, et en même temps, des actionnaires de grandes industries qui se gavent, et en même temps... Pour le coup, moi, j'ai froid dans le dos !
Publié le 14 Décembre 2017
La Camarde, vu comme ça, c'est plus festif... mais gaffe quand même... c'est un aller sans retour.
Publié le 14 Décembre 2017
Face book
Fake book
Face bug
Farce look
...
Le réseau social s'emballe, deviendrait-il une hydre incontrôlable ?
Publié le 13 Décembre 2017
Pour passer de l'encore à l'encre, il suffit d'enlever l'O !
Publié le 10 Décembre 2017
De tous temps la photographie convoque Thanatos car elle momifie l'instant. Pourquoi en rajouter ? Quelle morbidité dans cet effacement de la mère pour magnifier l'enfant !
Publié le 10 Décembre 2017
Virelangue, casse-langue, fourchelangue, et même trompe-oreilles, c'est toujours un plaisir de faire danser les mots, quitte à faire un faux pas.
Trouvé sur le net, un exemple que je ne connaissais pas encore et qui m'a ravi pour la forme... et le fond !
"C’est pas beau mais tentant de tenter de tâter, de téter les tétons de tata quand tonton n’est pas là."
Publié le 10 Décembre 2017
S'il n'étaient question de vies humaines, l 'émotion rend parfois drôlatiques les évocations initialement dramatiques.
Ainsi, hier, j'ai entendu à la radio un militant basque expliquer, à propos de l'action de l'ETA et des emprisonnements de certains de ses membres, que les GAL* avaient, quand ils sévissaient, tué 26 morts !
Si c'est déjà inacceptable d'assassiner des vivants, c'est carrément ignoble de tuer des morts...
*GAL : Grupos Antiterroristas de Liberación, commandos para-policiers et paramilitaires espagnols, actifs de 1983 à 1987, ayant comme objectif la lutte contre l'ETA, principalement sur le territoire français.
Publié le 9 Décembre 2017
Rapide cours de cinéma par F. Truffaut
Publié le 6 Décembre 2017
En ce jour de deuil qui semble, du point de vue français, interstellaire, il me semble indispensable que tous les citoyens de l'univers aient une pensée pour... les anonymes dont la vie s'est, elle aussi, arrêtée la nuit dernière.
Publié le 4 Décembre 2017
Essoufflement de ma part ? Lassitude de la votre ? La fréquentation du blog est comme la température... en baisse.
Non non, ce n'est pas un premier avril précoce. Je dois donc m'interroger...