Tudieu... ma note est dégradée... 2 lecteurs ces derniers jours...
Après la dégradation de l'andouillette triple A par Standard and Poor's, je vois mon lectorat s'éroder....
Aaaarghhh, je me meurs. Faites quelques chose.
Tudieu... ma note est dégradée... 2 lecteurs ces derniers jours...
Après la dégradation de l'andouillette triple A par Standard and Poor's, je vois mon lectorat s'éroder....
Aaaarghhh, je me meurs. Faites quelques chose.
Trophée Jules Verne : record battu.
Trophée verge nulle : au rythme où vont les choses, je ne désespère pas...
Il y a trois semaines, la première m'a regardé intensément et a lancé sans faiblesse : "tu es beau"
Une deuxième ce matin, souscrivant à la syntaxe moderne m'a déclaré : "t'es trop beau"
Une troisième enfin, quelques temps après m'a serré fort dans ses bras et m'a dit "je t'aime".
Pourquoi... mais pourquoi faut qu'à chaque fois qu'une femme me fait une déclaration enflammée, elle soit encore en maternelle ???
Après réflexion, j'ai compris, en fait à deux mois de Noël, puisque mon ventre rond et ma barbe blanche fournie me font ressembler au généreux donateur du 25 décembre, elle ne m'aiment pas pour ce que je suis... elles fayottent.... rien de plus !
La bulle duo a éclaté.
La solitude est de retour,
Mais l'amitié un grand secours !
Aaaaaahhhhh si la mère Noëlle n'existait pas, que deviendrais-je ?
Merci mère Noëlle, de ton indéfectible soutien, de ta fidélité, Que de choses précieuses. Mais, même sans ce blog, je sais que tu es cela, tout cela.
J'apprends ce jour la mort d'Amy Whinehouse...
Curieuse femme, déjantée au possible, dont j'ai découvert la voix un jour par hasard. Mais quelle voix ! Quelle musique ! Amy nous embarquait loin, très loin dans l'espace jazzy. Musique chair de poule, frisson d'aisance, on aime ou on n'aime pas mais si on aime, on aime tout... rien à jeter.
Le seul hommage qu'on puisse lui rendre est d'écouter encore et encore sa voix, sa musique, son style.
Fat Boy Slim à fond la caisse sur la chaîne HI-FI, satisfaction d'une année de travail qui s'achève sur la confiance, l'envie de faire malgré la connerie des décideurs-petits épiciers (ceux qui pourraient dire un jour avec l'air imbécile des crétins décerébrés : "j'avais des ordres... "), plaisir d'oser enfin décider seul, de choisir ce que sera demain, capacité naissante à regarder hier sans pleurer, bonheur de cette envie retrouvée de vivre, pleinement, ce qui reste de notre si court passage en ce monde. Merci à qui ? A vous tous, bien sur mais plus encore à toi, toi qui sais !
J'écrirai pour toi
Encore
Et encore
Ecrivons notre histoire
Comme un cadavre exquis
En prenant chaque jour
Ce que la vie nous donne
Une larme, un fou rire
Un rayon de soleil
Quelques gouttes de pluie
Solitude d'un temps
Douceur de la rencontre
Ainsi va le bonheur
Relevé des victimes
- si c'est vrai... elles
- si c'est faux, lui
- dans les deux cas, nous
Seul à la maison
Promenade de fin d'après-midi pluvieuse
Quelques asperges rapidement épluchées
Frémissement de l'eau qui boue
Haut Médoc Fournas Bernadotte à température
Fumet d'un reste de légumes épicés
Qui chauffe
Evocation radiophonique de Jean-Louis Bori
De Georges Charensol
Souvenirs d'enfance du Masque et la plume
Perspective du repas dominical
Restaurant au menu
Retrouvailles
Trois femmes
Le bonheur m'envahit
Spéciale Minouche
Mesdames, si vous voulez briller sur les divans lacaniens, ne dites pas
"cherche Rocco, avidement"
mais plutôt
"j'ai le surmoi en vacance... à bon entendeur !"
Si vous voulez briller sur les divans lacaniens, ne dites pas
"depuis que je suis seul, je me sens nettement plus moi, mais nettement moins turgescent !"
mais plutôt
"actuellement j'ai une vie d'ego sans trique"
Copain : étymologie, celui qui partage le pain !
Je crois que je vais augmenter conséquemment le nombre de mes copines !
Bienvenue demain, à vous mesdames, pour chercher les oeufs dans mon jardin secret...
Rencontres
Penser l'Homme autrement
Accepter
Essence de la vie
Douceur d'une main
Chaleur d'un souffle
Tant de désir
Vide en l'âme
Soleil refroidi
Amis... si importants
à A. et H. qui se reconnaîtront
Déferlante de tristesse
Nécessité de lutter
Incapacité de le faire
Pourquoi...
Besoin d'écrire les mots,
mais ils ne viennent pas.
Les larmes les remplacent,
gonflées d'un sens profond
que la raison ignore,
que l'esprit ne peut pas
coucher sur le papier.
La tristesse envahit
mon être tout entier.
La mort est là aussi
au plus profond de moi.
Je suis encor vivant
et pourtant je me sens
empli d'un vide intense
qui refroidit mon âme.
Pourquoi celui qui part
nous laisse dans l'effroi,
dans la peine absolue,
dans l'infinie détresse ?
La mort est un miroir
qui au delà du mal
que j'éprouve céant
d'avoir perdu ma soeur
me renvoit à la vie
et me rappelle tout
ce que je n'ai su faire
ce que je n'ai su dire.
Quand la mort rôde... l'inspiration de terre. Saloperie de camarde !
Avec les femmes, je suis esclave de ma timidité... on n'est jamais si bien asservi que par soi même.
"Ce n'est pas le doute qui rend fou, c'est la certitude"
Nietzsche
C'est celle de finir mes jours auprès d'elle qui m'aura perdu.
Le ça, pourquoi pas
Le moi, évidemment
Le surmoi, c'est si je le vEux bien...
Roissy ne manque pas d'idée : l'avion est remplacé par la galère...