C'est fou comme le naturel parfois un peu pataud génère une réelle sympathie. Les grands de ce monde, lassés d'un guignol articifiel, ne sy sont pas trompés.
C'est fou comme le naturel parfois un peu pataud génère une réelle sympathie. Les grands de ce monde, lassés d'un guignol articifiel, ne sy sont pas trompés.
Hier,
Juste au moment
Où la lumière fuit,
J'ai entendu le merle
Joie d'un printemps nouveau
Plaisir des sens qui renaît
Bientôt le jaune narcisse
Et puis le bleu iris
La terre sentira bon
Le bois suivra de près
Le souffle de la brise
Portera la douceur
Pas encor la chaleur
Ces doux moments
De mars
Où le soleil décide
D'être un peu plus présent
De ranimer les âmes
Par l'hiver endormies
C'est bientôt le printemps
Et mon coeur s'en réjouit
Avec moiiiiii :
"Youplali youplala, youpla youpla youplalaaaaa
tralali, tralala, trala trala tralalaaaaa"
Moi aussi, quand je serai grand (le premier qui dit que c'est pas possible en prend une) je veux être singe-boucle d'oreille.
Finalement non... plutôt soutien gorge...
Que pensez-vous de la poussière ?
J'ai bien essayé de lui dire que nous n'étions pas amis...
Elle s'incruste !
Ben ??? Pourquoi ???
Une fois bien dressée, l'éponge fait tout ce qu'on lui demande, comme léviter au dessus d'une poêle à frire par exemple...
Important, toujours avoir l'air heureux d'être content pour le dresseur au chapeau en peau de champignon, ça fait tellement plaisir à l'éponge...
Joie, bonheur et félicité.
1000 ème post.
A cette occasion, je vous offre ce petit pestacle réalisé depuis mon bureau.
Pour que la fête soit complète, maintenant, vous pouvez ouvrir le champagne et écouter ça.
Et... merci à vous fidèles surfeuses, fidèles surfeurs
Dans la famille des sexpets, le rhinocéros serait assez ludo-exotique s'il ne prenait pas autant de place dans la baignoire.
Vous n'imaginez pas ma satisfaction... ça a marché. J'ai eu un retour de quelqu'un qui m'est cher... elle est tombée dans le piège... faut pas lire trop vite, faut pas, surtout quand on a l'esprit un peu mal tourné... hi hi hi.
Le 11 11 11 à 11:11 je pense qu'à la vision d'une telle série, je sentirai monter la turgescence... Cela complétera l'harmonieuse perfectitude de ces érections en portant leur nombre à... 11.
Avez-vous remarqué que même si on le retourne, un 69 reste un 69... Youpi !
Vous savez quoi... Je me suis fait draguer ! Par une femme, si si !
J'attendais l'ascenceur quand soudain j'ai ouï "Oh les belles jambes !" J'étais seul à attendre et de surcroît en short. Le commentaire m'était donc bien destiné. "Oui, vous avez des belles jambes !" insista la dame. C'était bien la première fois que ça m'arrivait, de ma vie d'homme, de me faire complimenter de la sorte, qui plus est pour mon corps d'Apollon. A 53 ans, on en espère pas tant. Quel émoi, une femme s'intéressait à moi. Ma vie reprenait un sens. Finie la solitude. A nous les virées amouro-sensuelles. J'étais sur un nuage. Seul bémol.... la dame me rendait au moins... 25 ans !
Fin juillet, Paris, samedi, huit heures et quelques. Le soleil brille dans un ciel émaillé de quelques nuages bienveillants. Peu de monde dans la rue malgré l'heure, week end, vacances des aoûtiens qui débutent. J'évite l'eau ruisselante du trottoir propret. Aujourd'hui Karcher, hier, simple balai de branches qu'un homme en bleu maniait avec aisance, rapportant au caniveau les papiers gras qu'une onde artificielle convoyait vers l'égoût le plus proche. Hier, oui, c'était hier, ma première visite à Paris. J'avais neuf ans, l'âge des émerveillements, celui de la compréhension des choses et de l'infinie curiosité. Quarante quatre années se sont écoulées depuis mais c'était hier. La force évocatrice des images, des bruits, des odeurs. Tout a changé mais tout renvoit au souvenir. Celui des senteurs du poulet qui rôtit à la devanture du traiteur, celui de la fraîcheur du matin, parfum des arbres de l'avenue mélé à l'odeur de graisse des moteurs automobiles. Je suis petit garçon. Les images viennent à mon esprit, balades en bateau-mouche, immense enchevêtrement de métal de la fascinante Tour Eiffel, cires du Grévin où je trouve étrangement calme cet homme assis sur un banc dans la galerie , goûter au salon de thé de la maison de la radio, pour consoler la tristesse d'une visite manquée, premières initiations à la physique avec la cage de Faraday du palais de la découverte ou la cabine de pilotage de la moderne BB, fierté de la SNCF, rencontre avec l'Egypte par le truchement du masque de Toutânkhamon en visite au grand palais. Magie de la grande ville. Carrefour d'histoire, de science, d'art... Boulimie de connaissance, tout voir, tout découvrir, tout connaître. Petit provincial, j'absorbe tout, les commerces ouverts le dimanche, exceptionnel à l'époque, le désordre des puces de St Ouen, le bruit du métro initial, sur rail, le silence de celui qui, sur pneu, se subsitue progressivement au précédent, miracle du progrès, mort de la petite histoire, celle qui fût, par excellence, la vie. Qui n'a pas connu Paris étant enfant perd la dimension du gigantisme, celle du plus grand que soi. C'était hier. Maintenant, je me régale de cela, de cette double appréhension des choses, étrange fusion de deux temps qui se rencontrent. Marcher, déambuler, au gré des rues, au gré de la mémoire, regarder, sentir, écouter pour encore et encore, sans nostalgie, vivre le plaisir d'être à Paris.
Une porte qui s'ouvre
Un regard étonné
Un sourire de plaisir
Je garde l'inventeur de la lettre, celui du mot et de la phrase.
Je garde l'inventeur de l'esprit, celui de la beauté
Je garde l'inventeur du temps qui passe et panse les plaies
Je garde celui du renouveau de la vie
Je garde l'inventeur du bonheur de l'amour
Lame de fond
Fond de l'âme
Malheur...
Ou bonheur
Allez, le 628 ème post le vaut bien !
Orangé d'un soleil
Qui range ses rayons
Pour qu'à la fin du jour
Les amants se retrouvent
Attendant la fraicheur
D'une nouvelle nuit
Dans le secret espoir
De commencer encore
Cette si belle histoire
La douceur d'une peau
L'étreinte d'une main
La fougue d'un baiser
Fusion du ministère de l'équipement et des affaires sociales ?
Pourquoi faire compliqué alors qu'il y a des bonheurs si simples.
Je ne m'en lasse pas !
Après les tergiversassions autour du pot, la goutte d'eau qui met le feu aux poudres et l'étincelle qui fait déborder le vase... un petit bonheur radiophonique :
"C'est un cri d'alarme que je tire"
C'est peut-être mieux qu'une chevillette qu'on pousse, qui sait ?
Madame,
Afin de célébrer ce 8 mars, journée internationale de la femme, permettez-moi de vous offrir cette chronique de David Lowe, auteur britannique qui sévit sur France Inter.
Je m'engage devans vous à mettre cette chronique en lien dès qu'elle sera disponible.
En attendant, afin de vous faire patienter, rien ne vous empêche d'aller ici, afin d'avoir un aperçu du talent de l'homme.
Vous souhaitant de profiter au maximum de cette (trop rare) journée, je vous prie d'agréer, Madame, l'expression de mes douces et chaleureuses salutations.
Que choisir...
Mythique et les dragons-coeurs ?
ou
Meetic et les dragueurs cons ?