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Monsieur Douglas, vous voici parti.
Je garde de vous le souvenir d'enfant devant 20 000 lieues sous les mers de Richard Fleischer dans lequel vous incarniez le fougueux Ned Land.
Merci de m'avoir fait rêver.
L'évasion de Carlos Ghosn vue par Christophe Alévèque... prenez les 27 minutes pour regarder en cliquant Là Il y en a pour tout le monde ! Trop drôle. Merci Monsieur Alévèque.
Bon... les gars des syndicats la RATP ont décidé de lever le pied. OK, je comprends. Mais si ils reprennent la grève à partir du 24 janvier... je vais être dans la merde.
Eh, les gars, si vous leviez le pied le 31 janvier, de 18h à 20h30, ça m'arrangerait bien. Pour rejoindre ma belle, j'ai moins de 2 h pour aller de la gare de l'Est à la gare Montparnasse.
Certes, je le joue perso, mais... Allez les gars, soyez sympas. D'autant que pour le retour, si je suis bloqué à Paris et que je ne peux reprendre le boulot le lendemain, je m'en fous complètement.
13 janvier, journée nationale de l’hypersensibilité en France ET journée mondiale sans pantalon.
Il est donc préconisé que les palpations se fassent avec la plus grande délicatesse... Merci pour elles, merci pour eux.
Plaisir de Mots externalise ses services et fait appel à autrui pour la traditionnelle cérémonie des vœux. Ainsi, cette année, c'est l'AKàCS qui, en famille, vous remercie de votre fidélité et vous la souhaite bonne et pépère pour 2020.
"Nous aurions aimé vous la souhaiter bonne et mémère mais cette dernière a eu le mauvais goût de caner hier soir !"
AKàCS : Amicale des Kékés à Charlotte Stupide
Merci à toutes et tous d'avoir été si nombreux à visiter Plaisir de mots en novembre. Un moyenne de 21, 1 au quotidien. Vraiment, merci très beaucoup 
Une petite citation de Jean Yanne avec qui je suis assez d'accord
"Corrida, les bouchers à l'arène !"
Emmaüs, c'est bien, je rentre à l'instant avec une collection de dix livres que je n'ai pas payé dix livres...
Dans celle-ci, il y a un opus intitulé Cavanna présente L'univers impitoyable de Gary Larson. Gary Larson est un dessinateur un tantinet déjanté qui peint notre société et en particulier les humains à l'acide d'une plume acérée.
C'est extrêmement drôle, dessins et texte ; mais parfois le texte est tellement décapant qu'il se suffit à lui même.
L'exemple le plus frappant et je n'ai pas mis l'image exprès, c'est cette légende :
"Bien sur, vivre dans une maison de verre a bien des petits désavantages... Mais si tu voyais les oiseaux s'écrabouiller la gueule dessus !... "
Un cynisme absolument réjouissant, renforcé, bien sur par le dessin, à moins que ce ne soit le texte qui renforce l'image. Peu importe, ça me fait beaucoup rire.
Merci Monsieur Larson, merci Cavanna
Aujourd'hui 11 novembre 2019.
Je ne vous dirai pas qu'en 43 avant Jésus Christ, un triumvirat a succédé à César.
Je ne vous dirai pas qu'en 397, Saint Martin fut inhumé à Tours.
Je ne vous dirai pas qu'en 1215, le pape Innocent III ouvre le quatrième concile du Latran.
Je ne vous dirai pas qu'en 1417, à Constance, un concile met fin au Grand Schisme d'Occident.
Je ne vous dirai pas qu'en 1831, l'esclave Nat Turner est pendu en Virginie.
Je ne vous dirai pas qu'en 1887, le Black Friday, quatre militants anarchistes sont pendus.
Je ne vous dirai pas qu'en 1918, un armistice met fin à la première guerre mondiale.
Je ne vous dirai pas que ce même jour, la Pologne retrouve son indépendance.
Je ne vous dirai pas non plus que, toujours ce même jour, l’empereur d’Autriche renonce au pouvoir.
Je ne vous dirai pas qu'en 1920, le Soldat inconnu est inhumé sous l'Arc de Triomphe.
Je ne vous dirai pas qu'en 1940, des lycéens parisiens défient Pétain et l'occupant.
Je ne vous dirai pas qu'en 1942, Hitler décide d'occuper la zone libre.
Je ne vous dirai pas qu'en 1946, le premier avion à réaction français effectue son premier vol.
Je ne vous dirai pas qu'en 1982, la navette Columbia effectue sa première mission opérationnelle.
Je ne vous dirai pas qu'en 2000, un incendie dans le tunnel du funiculaire de Kaprun, en Autriche, fait 155 victimes.
Je ne vous dirai pas qu'en 2009, pour la 1ère fois, un chancelier allemand assiste aux commémorations de l’Armistice de 1918.
Je ne vous dirai pas qu'en 2019, c'est le centenaire de l’armistice de 1918 avec de nombreuses commémorations.
Non...
Aujourd'hui, 11 novembre 2019, je vous dirai simplement l'immense plaisir que j'ai eu d'apprendre qu'en mai prochain, j'accéderai au rang de papy. Un bonheur que je veux partager avec vous toutes et tous.
N'était mon manque de souplesse actuelle, je vous aurai bien dansé ça pour fêter la chose
"Yaaaaaoouuh !"
Spéciale dédicace à Amél et Val qui pouponnent et m'offrent un si merveilleux cadeau
Fouiner dans le rayons livre des compagnons d'Emmaüs permet parfois de belles acquisitions, par exemple, Alphonse Allais, Les pensées, France Loisirs
Livre acquis à vil prix, déposé dans un coin, en attente d'une lecture ultérieure, après avoir achevé celles d'autres ouvrages.
Et un jour, alors qu'oublié sous une pile d'autres livres, celui-ci ressurgit au bénéfice d'un tri.
Alors... alors, je feuillette, milieu d'ouvrage, début, fin... puis je me discipline et décide de commencer, comme il se doit, par le début.
Dès les premières lignes, c'est le bonheur, comme La première gorgée de bière... de Delerm, ou la première fois que la terre, au printemps, décide d'exhaler son parfum, que le vin ravit les papilles à la première lippée, que le paysage fascine à la première vue. Le bonheur vous dis-je.
Je ne résiste donc pas à vous offrir cette première pensée d'Alphonse Allais, qui ce jour, vient d'entrer au Panthéon de mes pères d'écriture :
"Dieu a sagement agi en plaçant la naissance avant la mort, sans cela, que saurait-on de la vie ?"
Allez, une petite dernière pour finir les vacances. Merci Monsieur Ricet Barrier
Les gens qu'on finit par oublier se rappellent à nous lorsqu'ils partent.
Marie Laforêt vient de me faire faire un bon dans le temps.
Je me souviens, gosse, avoir aimé ses chansons entrainantes, de les avoir fredonnées même si je n'en connaissais que quelques phrases. C'était dans la fin des années 60, j'avais une dizaine d'années.
Je me souviens aussi de sa beauté qui exerçait sur le gamin que j'étais une certaine fascination.
Pour cette plongée dans le passé, pour ces souvenirs sonores et visuels bien agréables, merci Madame.
Aujourd'hui, dernier jour de mes dernières vacances de Toussaint de ma dernière année de travail, il faut bien fêter ça
"Babeliuoubab !
9 ans... ça fait aujourd'hui 9 ans, jour pour jour, qu'existe Plaisir de mots ; ça fait 9 ans que, grâce à vous, toutes et tous, qui surfez, qui suivez ce blog dingo, gai, triste, énervé... l'envie d'écrire au quotidien ne me quitte pas. Alors, un immense merci à vous, toutes et tous.
Vous ne pouvez imaginer combien votre fréquentation de ce blog m'a aidé à remonter la pente, après ce qu'on appelle un accident de la vie.
Si j'avais la possibilité de toutes et tous vous inviter à cet anniversaire pour partager un verre de Pouilly fumé, de Sancerre rouge, de bière, de jus de fruit ou autres boissons qui vous réjouissent... je le ferais bien volontiers. Malheureusement, si je connais beaucoup d'entre vous, je ne vous connais pas toutes et tous.
Encore merci. Vous êtes l'énergie de mon écriture, bonne ou mauvaise, triste ou gaie, humoristique ou sérieuse, engagée ou détachée; mais vous me donnez, jour après jour, ce bonheur d'écrire.
Bonheur indicible.
Ce matin, des migrants recueillis par l’Ocean-Viking ont pu débarquer sur l’île de Lampedusa.
Merci l'Italie SANS Salvini.
Dans la vie, il faut savoir changer de point de vue pour voir les choses autrement, ou comprendre ce qui semble fort étrange. C'est tellement vrai pour la photo. Quelques exemples étonnants qui dérangent un peu l'esprit. Il suffit simplement de tourner votre écran d'un quart de tour ou d'un demi-tour à droite ou à gauche pour vous rassurer
Un chien volant...
Les abysses... ?
Un cri qui tue... ?
Marcher, ou presque, sur l'eau... ?
Ou encore, et c'est l'image que je préfère, concert'eau... ?
Comme disait ce bon Pierre Desproges : "Étonnant non ?"
Merci à ce photographe, dont j'ai perdu le nom... mais je vais rechercher.
Joyeux aaaaanniversaire, joyeux aanniveeeeeersaire, joyeux aanniveeeersaiiiiiire, mon canard, joyeux aaaaanniiiiveeeeersaire.
10 septembre 1915, soit il y a 104 ans, paraissait le n° 1 du Canard Enchainé. Pour mémoire, cet excellent organe de presse est le seul, en France, à vivre depuis plus d'un siècle sans publicité, et mieux encore, sans aucune subvention de l’État. C'est pas beau ça ?
Bravo mon canard, tu es drôle, grinçant, pinçant. Tu as été et reste une référence pour mon blog, mes coups de gueule, l'amour des mots et des contrepèteries en particulier ; je t'aime et continuerai à lire tes lignes.
Joyeux aaaaanniversaire !
9000ème post.
Plus que 991 000 pour atteindre le million !
Autrement dit, puisque j'ai commencé en septembre 2010, cela fait 9 ans que je poste une moyenne de 1000 posts par an. Le million serait atteint, à ce rythme, dans 991 ans.
Il y a donc deux solutions :
- j'augmente la cadence et passe à 100 000 posts par an pour tenir la distance sur les dix prochaines années ; cela représente une moyenne de 273 posts par jour. Si je ne dors pas, ne mange pas, ne pisse pas, me prive de tous les plaisirs du corps, ça fait un posts à écrire toutes les six minutes... ça va être chaud.
- vous cherchez dès maintenant un fournisseur d'accès branché sur l'eau delà, car en 3010, cela fera quelques années que j'aurai les dents sèches ce qui, je l'espère ne m'empêchera pas de continuer mes délires et coups de gueule divers et variés.
Mais j'y pense... vous aussi, peut-être, aurez été envoyé ad patres. du coup, no problem, on continue comme ça.
Et encore un grand merci de continuer à honorer ce blog de vos surfs.
Vous arrive-t-il d'écouter l'émission Par Jupiter, sur France Inter à 17h ? On y entend régulièrement des interviews faites par Guillaume Meurice. J'avoue avoir été réjoui en écoutant l'interview des prouts prouts qui ont des avis sur tout et surtout des avis, comme disait ce bon Coluche.
Si on remonte aux origines de l'expression, en théologie, la « science infuse » représente les connaissances que Dieu a insufflées à Adam, sans que celui-ci ne les apprenne. Ainsi, on réalise ici qu'il ne suffit pas seulement de connaitre l'origine de l'expression, encore faut-il que la justesse lexicale infuse...
Merci Monsieur Meurice et merci à toutes ces mesdames et tous ces messieurs prout prout qui ont des avis (circonstanciés) sur tout...
Et pour rester dans le ton... "Après moi le démiurge !"
Le gouvernement sera à terme obligé de se bouger les miches en terme d'écologie, plutôt que d'en rester aux déclarations.
Hardies les filles, hardis les gars ! Vous n'êtes pas seul(e)s
Monsieur Giuseppe Conte, après l'acte de mardi, je n'aurai qu'un seul mot : bravo !
Libération de Carola Rackete par une juge italienne. Une bonne claque sur le pif du populisme. Et c'est tant mieux. Merci Madame la juge, merci Madame Rackete, pour votre cran et vos actions respectives
La dernière fois que j'ai planté un clou, je me suis appliqué, et il n'a pas dévié d'un pouce. Tout ça parce que la fois d'avant, le clou à moitié enfoncé avait dévié... d'un pouce. Alors, pour rectifier le tir, j'ai essayer de taper un peu de côté, pour le redresser. Je me suis fait très mal car j'ai tapé... sur le pouce. Quel vice !
Spéciale dédicace à ce cher Raymond Devos, un maître absolu du dressage de mots, merci Monsieur.
Parce que l'époque devient de plus en plus sauvage, parce que l'empathie est de plus en plus mise à mal, parce que la bienveillance n'est plus de mise, ou si rarement, parce que l'individualisme conduit chacun à refuser de regarder son prochain, parce que les politiques actuelles de santé, d'éducation, de police ne nous permettent plus de considérer l'humain pour ce qu'il est, je vous invite à lire cette pétition qui me touche particulièrement et à la signer.
Pour Marc, pour ses parents, pour l'Homme, merci.
