Le blog de plaisir-de-mots.over-blog.fr

Mesdames, hier soir encore, vous étiez nombreuses, quinze, avec des roulements quand la fatigue arrivait, et vraiment, vous m'avez fait jouir, presque deux heures durant.

Alors, Mesdames, comme disait Valérie T. dont je cacherai le nom par respect pour François Hollande, merci pour ce moment.

C'était bien organisé, chacune d'entre vous a su, quand il le fallait, ce qu'il convenait de faire pour me donner du plaisir ; ça n'a pas toujours fonctionné mais huit fois quand même, ça a été l'apothéose. Que demander de plus.

Ce matin, je me suis éveillé, certainement bien moins harassé que vous qui m'avez tant donné, avec une fougue indicible. J'en ai encore le sourire aux lèvres en repensant à cette soirée.

J'attends avec une grande impatience la prochaine soirée que je passerai avec vous, dans quinze jours. D'avance, j'en frémis d'aise.

Alors d'avance, merci à vous pour le si beau rugby que vous pratiquez.

Chers surfeurs, chères surfaites, je vous présente ici toutes mes confuses.

Je raille l'erreur orthographo-grammairo-sémantique tout en ne faisant pas moi-même attention quand j'écris. Cf mon post agacé http://plaisir-de-mots.over-blog.fr/2021/03/lard-n.a.c.html

Certes, je me relis, mais pas assez, d'où l'arrosage de l'arroseur, et pas forcément d'été. Ledit post a donc été revu et nettoyé de toutes les scories.

Cela grâce une partie d'entre vous ; car heureusement, chers surfeurs, chères surfaites, il y a parmi vous des correcteurs et des correctrices qui correctionnent et me mettent le nez dans mes bouses scripturales.

Grâce leur soit rendue. Voire même Grasse, s'ils/elles résident près de la Côte d'Azur. Jamais je ne serai assez reconnaissant et je suis même prêt à leur payer l'apéro.

Les giboulées de Mars
Nous reviennent enfin.
Déferlante des eaux
Qui tombent vraiment dru,
Mais dans un temps si court
Qu'on leur pardonne tout :
Le froid, la goutte au nez,
La grande éclaboussure,
Les chaussures trempées ;
Car les gouttes glacées
D'un printemps qui arrive
Se font le messager.
Encore un peu de temps
Attendre patiemment.
Et puis finalement
Sentir, voir, et goûter
Cette nature si belle
Qui revient à la vie
Le parfum de la terre
Qui se réveille aussi
Entendre les oiseaux
Qui se disputent un nid
Revoir tous les bourgeons
Les arbres et les fleurs
Jouir de ces belles couleurs
Qui effacent le gris
D'un hiver qui s'achève.
Alors merci la pluie.

Vous aimez que les images vous racontent des histoires, alors filez vite voir les photographies de Sabine Weiss, photographe de 95 ans. Magnifique.

Pour toutes ces images qui nous emmènent, grand merci Madame.

Je ne résiste pas au plaisir de partager la phrase d'Alex Vizorek entendue à l'instant à la radio :

"Pour l'achat de deux bières Corona, on t'offre une Mort subite"

Je viens de tomber sur une citation de ce bon Pierre Desproges...  je ne résiste pas à vous en faire profiter.

"Parler à un con, c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat"

Même outre tombe, Monsieur Desborges, vous réjouissez encore mon esprit. Merci à vous.

Il est 17h55, heure de Paris.

Comme en 2012 avec la mise à la porte du petit Nicolas, quelques minutes après la promulgation des résultats aux USA, je trouve un sens plutôt plaisant à cette saillie

"Casse toi pauv'con !"

Merci aux électeurs démocrates

Il y a deux jours, Michael Lonsdale, aujourd'hui, Juliette Gréco...

Comme on dit, ce sont les meilleurs qui partent les premiers.

Merci Monsieur, Merci Madame pour ce que vous m'avez apporté de culture, de poésie.

Bah alors Monsieur Bedos...

Pourquoi êtes-vous parti ? Je l'apprends à l'instant.

C'est trop tôt. Pas vous... Je suis triste.

Ceci dit, tout ça pour piquer la vedette à Goasguen... Chapeau !

Vous qui n'avez jamais caché votre amour de l'homme, du social, quel beau pied de nez à un ancien du mouvement Occident !

Et pour m'avoir fait tellement rire et avez nourri mon appétence pour les bons mots, mille mercis.

De profundis...

En ce 22 mai de l'an deux mil vingt, ils se sont tus, comme tant de victimes du covid19, mais sans souffrance.

Les applaudissements de 20 h aux fenêtres de mes voisins ont cessé d'être, les miens aussi.

Puissent feus ces applaudissements avoir réchauffé le cœur des soignants, des petites mains qui passaient dans la rue à ce moment là, jour après jour en partant au travail, ou en en revenant, peut-être la peur au ventre, mais toujours le courage et l'engagement en tête.

Je ne sais pas pour les autres, mais moi, je n'oublierai jamais, qu'à l'automne de ma vie, les petits, les sans grade, jour après jour, sans se poser de question, ont été là pour nous tous, ont été si importants.

Merci à elles, à eux, et grand respect.

Entendu aujourd'hui sur les ondes, de Pierre Perret :

"Je préfère être ridicule que salaud "

Je partage.

Merci Monsieur.

A vava inouva

Il y a si longtemps...

40 ans peut-être, peut-être plus.

Lorsque j'ai entendu cette chanson, j'ai été sous le charme.

La douceur des voix, le rythme tangible mais apaisé de la musique.

La douceur de cette si jolie tessiture féminine, le ton grave de la voix masculine.

La sérénité du phrasé commun.

Et cette langue nouvelle, que je ne comprenais pas.

Peu importait, j'étais envouté.

Je l'avais enregistrée, sur cassette... un objet que les moins de 20 ans...

Je l'ai écoutée, écoutée encore, et encore, avec le même plaisir.

Aujourd'hui, si longtemps après avoir été séduit par le chant, j'ai découvert les paroles en français.

Monsieur, vous avez décidé d'aller chanter dans l'au delà.

Merci à vous de m'avoir fait connaitre votre musique, votre belle langue.