Stromae.
Nouvel opus.
Toujours aussi bien.
Alors, pour la forme et le fond, Santé !
Et surtout... Mille mercis Monsieur pour votre oeuvre.
Stromae.
Nouvel opus.
Toujours aussi bien.
Alors, pour la forme et le fond, Santé !
Et surtout... Mille mercis Monsieur pour votre oeuvre.
André Wilms nous a quitté... trop tôt.
En mémoire de Pierre Dac, mort le 9 février 1975, buvons un coup en nous souvenant que
“ Les bons crus font les bonnes cuites "
Pour tous les moments où vos mots m'ont pisser de rire, merci Monsieur.
Il est des gens que j'aime écouter.
Thierry Marx est de ceux-là.
Votre calme, votre réflexion, vos propositions, vos actions m'agréent.
Merci Monsieur.
Y aurait-il du nous dans la corde à meuh. Voici trois jours que, surfeurs, surfettes, la quantité de visiteurs, visiteuses uniques que vous êtes s'amoindrit tel le nombre d'électeurs volontaires pour se déplacer afin de glisser leur bulletin dans l'urne en avril prochain.
Diable ! Seriez-vous touché(e)s par Coco19 avarié ?
Ou peut-être Plaisir de mots serait-il devenu asthénique variant ta mère ?
La campagne des j'y vais pas j'y vais j'y vais plus j'y revais mais tout seul... vous aurait-elle passé l'envie de surfer ?
Et, qui sait, pourquoi pas par l'un ET EN MÊME TEMPS par l'autre, voire par le troisième.
Allez, le ciel est gris, Allah est grand, Magdeleine dite le Siphon est grue, le rédacteur est gros, et Plaisir de mots vous sera gré de fréquenter le blog derechef.
Merci d'avance.
Un test PCR gratuit au premier, à la première, qui dégaine.
S'il n'avait pas eu la déplorable idée de nous quitter précocement, Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, aurait aujourd'hui 400 ans pile.
Ceci dit, son décès nous épargne l'achat d'un gâteau suffisamment grand pour y piquer 400 bougies.
Bon anniversaire tout de même et merci Monsieur pour votre clairvoyance.
Bonne nouvelle ce matin. Au blind test olfactif, repérage de l'anis, de la clémentine, de l'ail (un peu), du gingembre et du fromage qui sent fort. La chose est fugace, mais elle est, donc réjouissons nous mes frères et mes sœurs, l'anosmie se meurt, lentement mais surement. Merci mon corps.
Absolument excellent. A regarder en plein écran, et jusqu'au bout.
Colibri, garde ta larme pour éteindre l'incendie.
Ainsi l'aurait certainement voulu Pierre Rabhi, qui vient de nous quitter ce jour.
23 novembre, Les Restos du Coeur, c'est parti pour la 37ème campagne. Pensez-y, pensez à eux.
Merci d'avance.
Le bâtiment manque de main d’œuvre et on fout dehors ceux qui font l'effort de s'intégrer et veulent s'engager... ras le bol de cette politique à la noix.
Si ça vous révulse aussi, alors une signature peut aider Ibrahima, apprenti carreleur, à continuer d'apprendre puis à exercer son métier.
Un clic suffit.
Merci pour lui.
Stromae revient. Youpi, youpi !
Aujourd'hui, c'est le quarantième anniversaire de l'abolition de la peine de mort.
Pour ce combat que vous avez mené et gagné, merci Monsieur Badinter.
Avec une perceuse dans les mains, tu bousilles les touches A S D et R qui sont quand même bien utiles pour écrire des bétises.
Avec une scie circulaire dans les mains, tu coupes en deux ton clavier, ce qui t'oblige à écrire avec la commande vocale que tu n'as pas installée quand tu avais un clavier complet.
Avec une éponge saturée de lessive St Marc, tu fait péter les plombs à cause de l'eau qui coule sur l'ordi en même temps que tu te mouilles les genoux, et pas que.
Avec de l'enduit à lisser, tu bloques les touches E T et L qui sont aussi super pratiques pour générer des posts.
Avec de la peinture, tu ne sais plus où est la touche C parce que le clavier est tout blanc, ce qui est très handicapant pour écrire c'est le cas de ces cracs secs de cacatoès cacochymes qui cachent leur couche.
Avec un marteau dans les mains, tu ne réussis pas à taper, même doucement, sur une seule touche à la fois, ce qui rend ta production incompréhensible.
Voilà quelques raisons bricolesques qui ont fait baisser de façon significative la production sur Plaisir de mots.
Rassurez-vous, je me remets au boulot. Merci à celles et ceux qui sont resté(e)s fidèles.
Un sourire malicieux s'est envolé, les bourre-pifs ont perdu leur saveur, Pierrot le fou n'est plus, Fierrot le pou est triste.
Adieu Monsieur.
Monsieur Axel Kahn nous a quitté.
Des hordes de salopards sont toujours en vie.
Monsieur Axel Kahn avait bien raison d'être agnostique.
A part ça, pour votre travail, pour votre intelligence humaniste, merci Monsieur et, où que vous soyez, reposez en paix.
Merci M. Felizia pour l'intelligence de votre geste politique en PACA.
Protze ! Mandryka, le père du Concombre masqué nous a quitté hier, à 80 piges.
J'en suis tout badibulgué.
Mais... huile à pneus ! Du coup, qui va monter dans son aérozigue pour aller faire burner les floreuses ???
Il ne me reste plus qu'à aller au bugle (sight)
...
Merci Monsieur, de m'avoir fait tant rigoler avec le vocabulaire loufdingue de vos BD complètement déjantées quand j'étais gamin. Je réalise aujourd'hui à quel point ce langage a infusé dans mon cerveau et sert, ô combien, Plaisir de mots. Merci, merci, merci.
Merde, j'ai loupé l'info hier.
Merde, Romain Bouteille est mort.
Merde, le théâtre perd une voix, une gueule.
Merde, le public perd un rire, si particulier, si caillouteux, si entrainant.
Merde, la France perd un orfèvre du non sens, un maître de l'humour.
Merde... mais... merci Monsieur, mille mercis pour ce que vous m'avez apporté.
France Inter a 100 ans aujourd'hui, pas sous le même nom, mais 100 ans quand même.
Bon anniversaire Mamy France.
Je dis Mamy, car n'ayant connu que 25% de mes aïeuls, pas bien longtemps et pas bien empathique pour le seul que j'aie connu, je t'ai adoptée, Mamy France, comme un être bienveillant, qui m'a beaucoup apporté.
Je te dois une part non négligeable de ma culture, de mon état d'esprit.
Tu as accompagné nombre de mes soirées et tu le fais encore. Il m'arrive souvent de m'endormir au doux son de tes chroniques, tard le soir.
Alors une fois encore, bon anniversaire et surtout merci très beaucoup.
Spéciale dédicace à mes boulangers bio préférés : Maryse, Vincent, Jocelyn, Benjamin, Pierre
"Soleil de Saint Justin, augure bel épi et bon pain"
Maintenant, yapuka...
Quelle énergie. Je suis fan
Plus d'un an sans aller au ciné... je ne savais plus que la salle était noire, que l'image était grande, le son fort. Je ne savais plus que le film pouvait me submerger, m'envahir, m'emporter.
J'avais prévu, il y a longtemps, d'aller voir Adieu les cons, d'Albert Dupontel, mais le gouvernement, sous le joug de Coco19 variant chiant, en avait décidé autrement.
Alors aujourd'hui, même si ça m'a fait un peu drôle de retourner dans la salle obscure, même si le masque obligatoire pendant toute la séance m'a un peu ennuyé, j'ai pris grand plaisir à retrouver les sensations de la cinéphilie.
Je me suis laissé porter par la magie de son anagramme, l'image. Je suis entré dans le film, ou plutôt non, le film est entré en moi, identification primaire, secondaire, délice du rêve éveillé.
Je me suis laissé happer par l'histoire qui m'a emmené du sourire au rire, du rire à l'émotion. Je me suis laissé prendre la main par cette actrice, par ces acteurs qui m'ont ravi par la poésie de leur interprétation. Je me suis laissé séduire par cette belle histoire, qui mêle douceur et violence, loufoquerie et regard aiguisé sur notre monde.
Ce ne sont pas les César qui m'ont donné envie d'aller voir Adieu les cons, c'est l'écriture un peu décalée, la mise en scène parfois déjantée, parfois caustique, mais toujours invitant à la réflexion, c'est aussi la réalisation de ce poète fou, de cet homme dont je partage la vision du monde.
Merci à vous, Monsieur Dupontel. Votre cinéma manquerait au 7ème art si vous n'existiez pas. Merci aussi à vous toutes et tous, actrice et acteurs de ce film. Grâce à vous, j'ai passé un excellent moment.
11 mai, journée mondiale des espèces menacées.
Pensées pour Claire Brétécher, dont la BD m'a vraiment fait beaucoup, beaucoup rire. Merci
Aujourd'hui, c'est la journée nationale du Choro au Brésil. Alors, pour démarrer la matinée de façon cool, une petite musique sympa