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Merci M. Felizia pour l'intelligence de votre geste politique en PACA.
Merci M. Felizia pour l'intelligence de votre geste politique en PACA.
Protze ! Mandryka, le père du Concombre masqué nous a quitté hier, à 80 piges.
J'en suis tout badibulgué.
Mais... huile à pneus ! Du coup, qui va monter dans son aérozigue pour aller faire burner les floreuses ???
Il ne me reste plus qu'à aller au bugle (sight)
...
Merci Monsieur, de m'avoir fait tant rigoler avec le vocabulaire loufdingue de vos BD complètement déjantées quand j'étais gamin. Je réalise aujourd'hui à quel point ce langage a infusé dans mon cerveau et sert, ô combien, Plaisir de mots. Merci, merci, merci.
Merde, j'ai loupé l'info hier.
Merde, Romain Bouteille est mort.
Merde, le théâtre perd une voix, une gueule.
Merde, le public perd un rire, si particulier, si caillouteux, si entrainant.
Merde, la France perd un orfèvre du non sens, un maître de l'humour.
Merde... mais... merci Monsieur, mille mercis pour ce que vous m'avez apporté.
France Inter a 100 ans aujourd'hui, pas sous le même nom, mais 100 ans quand même.
Bon anniversaire Mamy France.
Je dis Mamy, car n'ayant connu que 25% de mes aïeuls, pas bien longtemps et pas bien empathique pour le seul que j'aie connu, je t'ai adoptée, Mamy France, comme un être bienveillant, qui m'a beaucoup apporté.
Je te dois une part non négligeable de ma culture, de mon état d'esprit.
Tu as accompagné nombre de mes soirées et tu le fais encore. Il m'arrive souvent de m'endormir au doux son de tes chroniques, tard le soir.
Alors une fois encore, bon anniversaire et surtout merci très beaucoup.
Spéciale dédicace à mes boulangers bio préférés : Maryse, Vincent, Jocelyn, Benjamin, Pierre
"Soleil de Saint Justin, augure bel épi et bon pain"
Maintenant, yapuka...
Quelle énergie. Je suis fan
Plus d'un an sans aller au ciné... je ne savais plus que la salle était noire, que l'image était grande, le son fort. Je ne savais plus que le film pouvait me submerger, m'envahir, m'emporter.
J'avais prévu, il y a longtemps, d'aller voir Adieu les cons, d'Albert Dupontel, mais le gouvernement, sous le joug de Coco19 variant chiant, en avait décidé autrement.
Alors aujourd'hui, même si ça m'a fait un peu drôle de retourner dans la salle obscure, même si le masque obligatoire pendant toute la séance m'a un peu ennuyé, j'ai pris grand plaisir à retrouver les sensations de la cinéphilie.
Je me suis laissé porter par la magie de son anagramme, l'image. Je suis entré dans le film, ou plutôt non, le film est entré en moi, identification primaire, secondaire, délice du rêve éveillé.
Je me suis laissé happer par l'histoire qui m'a emmené du sourire au rire, du rire à l'émotion. Je me suis laissé prendre la main par cette actrice, par ces acteurs qui m'ont ravi par la poésie de leur interprétation. Je me suis laissé séduire par cette belle histoire, qui mêle douceur et violence, loufoquerie et regard aiguisé sur notre monde.
Ce ne sont pas les César qui m'ont donné envie d'aller voir Adieu les cons, c'est l'écriture un peu décalée, la mise en scène parfois déjantée, parfois caustique, mais toujours invitant à la réflexion, c'est aussi la réalisation de ce poète fou, de cet homme dont je partage la vision du monde.
Merci à vous, Monsieur Dupontel. Votre cinéma manquerait au 7ème art si vous n'existiez pas. Merci aussi à vous toutes et tous, actrice et acteurs de ce film. Grâce à vous, j'ai passé un excellent moment.
11 mai, journée mondiale des espèces menacées.
Pensées pour Claire Brétécher, dont la BD m'a vraiment fait beaucoup, beaucoup rire. Merci
Aujourd'hui, c'est la journée nationale du Choro au Brésil. Alors, pour démarrer la matinée de façon cool, une petite musique sympa
Juste pour bien commencer la journée, en écoutant et regardant jusqu'au bout Darry Cowl dans un moment délirant. Même les acteurs de la scène filmée ne résistent pas, observez...
Mesdames, hier soir encore, vous étiez nombreuses, quinze, avec des roulements quand la fatigue arrivait, et vraiment, vous m'avez fait jouir, presque deux heures durant.
Alors, Mesdames, comme disait Valérie T. dont je cacherai le nom par respect pour François Hollande, merci pour ce moment.
C'était bien organisé, chacune d'entre vous a su, quand il le fallait, ce qu'il convenait de faire pour me donner du plaisir ; ça n'a pas toujours fonctionné mais huit fois quand même, ça a été l'apothéose. Que demander de plus.
Ce matin, je me suis éveillé, certainement bien moins harassé que vous qui m'avez tant donné, avec une fougue indicible. J'en ai encore le sourire aux lèvres en repensant à cette soirée.
J'attends avec une grande impatience la prochaine soirée que je passerai avec vous, dans quinze jours. D'avance, j'en frémis d'aise.
Alors d'avance, merci à vous pour le si beau rugby que vous pratiquez.
Nous sommes le 2 avril. Merci chers/chères papoutes/papoutes. vous avez été 15 visiteurs, uniques (cela va sans dire) à venir sur Plaisir de mots hier. J'aime ce genre de poisson d'avril. Encore merci et continuez de penser que tous les jours sont un 1er avril, ça rend la vie plus légère, surtout en ce moment.
Chers surfeurs, chères surfaites, je vous présente ici toutes mes confuses.
Je raille l'erreur orthographo-grammairo-sémantique tout en ne faisant pas moi-même attention quand j'écris. Cf mon post agacé http://plaisir-de-mots.over-blog.fr/2021/03/lard-n.a.c.html
Certes, je me relis, mais pas assez, d'où l'arrosage de l'arroseur, et pas forcément d'été. Ledit post a donc été revu et nettoyé de toutes les scories.
Cela grâce une partie d'entre vous ; car heureusement, chers surfeurs, chères surfaites, il y a parmi vous des correcteurs et des correctrices qui correctionnent et me mettent le nez dans mes bouses scripturales.
Grâce leur soit rendue. Voire même Grasse, s'ils/elles résident près de la Côte d'Azur. Jamais je ne serai assez reconnaissant et je suis même prêt à leur payer l'apéro.
Celui là, franchement, je l'aime bien
“Créer, c'est résister. Résister, c'est créer.”
Stéphane Hessel
... et il n'y a vraiment rien à ajouter. Merci Monsieur.
Les giboulées de Mars
Nous reviennent enfin.
Déferlante des eaux
Qui tombent vraiment dru,
Mais dans un temps si court
Qu'on leur pardonne tout :
Le froid, la goutte au nez,
La grande éclaboussure,
Les chaussures trempées ;
Car les gouttes glacées
D'un printemps qui arrive
Se font le messager.
Encore un peu de temps
Attendre patiemment.
Et puis finalement
Sentir, voir, et goûter
Cette nature si belle
Qui revient à la vie
Le parfum de la terre
Qui se réveille aussi
Entendre les oiseaux
Qui se disputent un nid
Revoir tous les bourgeons
Les arbres et les fleurs
Jouir de ces belles couleurs
Qui effacent le gris
D'un hiver qui s'achève.
Alors merci la pluie.
Quand Coco19 2.0 aura tout bouffé, quand la crise économique aura tout détruit, il restera la culture, la musique, le plaisir
Vous aimez que les images vous racontent des histoires, alors filez vite voir les photographies de Sabine Weiss, photographe de 95 ans. Magnifique.
Pour toutes ces images qui nous emmènent, grand merci Madame.
L'exercice de L’État, un film remarquable et prenant que j'emporterais sur une île déserte... Je ne me lasse pas de regarder cet opus magistralement interprété par Olivier Gourmet, Michel Blanc, Zabou, Sylvain Deblé et tant d'autres. Si vous ne m'avez vu, réparez vite cet oubli, vous ne serez pas déçu(e)s.
Merci au réalisateur Pierre Schoeller
Je ne résiste pas au plaisir de partager la phrase d'Alex Vizorek entendue à l'instant à la radio :
"Pour l'achat de deux bières Corona, on t'offre une Mort subite"
Il est rare que je vous propose des dessins, mais là...
Merci Monsieur, vos dessins sont un vrai remède à la mélancolie.
Je viens de tomber sur une citation de ce bon Pierre Desproges... je ne résiste pas à vous en faire profiter.
"Parler à un con, c'est un peu comme se masturber avec une râpe à fromage : beaucoup de souffrance pour peu de résultat"
Même outre tombe, Monsieur Desborges, vous réjouissez encore mon esprit. Merci à vous.
Alors bon, on en a toutes et tous ras le cake du confinement, on flippe biscotte on ne peut pas serrer nos êtres chers dans nos bras, on rumine, on s'agace, on gueule, on perd son sang, on a juste envie de tuer le premier qui passe...
Heureusement, il y a des gens qui ont plein d'idées, plein d'humour, qui réussissent à nous faire rire de la merde ambiante... Les goguettes par exemple. Juste excellent.
Et pour vous mettre l'eau à la bouche, le cerveau en jouissance et le sourire aux lèvres...
Il est 17h55, heure de Paris.
Comme en 2012 avec la mise à la porte du petit Nicolas, quelques minutes après la promulgation des résultats aux USA, je trouve un sens plutôt plaisant à cette saillie
"Casse toi pauv'con !"
Merci aux électeurs démocrates
Je viens de lire un texte d'Arno, adressé au blond peroxydé des USA en 2016... Hormis la part d'actualité de l'époque, ces mots en disent long sur l'esprit étriqué et racorni de celui qui brigue un second mandat au pays de l'Oncle Sam.
Il n'était pas nécessaire de parcourir ces lignes pour être convaincu que Trump est un abruti dangereux, mais ça fait du bien quand même de le faire, alors, je vous invite à les découvrir en cliquant là.
Merci Arno.
Il y a deux jours, Michael Lonsdale, aujourd'hui, Juliette Gréco...
Comme on dit, ce sont les meilleurs qui partent les premiers.
Merci Monsieur, Merci Madame pour ce que vous m'avez apporté de culture, de poésie.