Amma veut faire connaître son organisme (sic), en enlaçant les gens... Heureusement qu'elle ne fait pas dans l'inflation façon RD, ça prendrait plus de temps.
Amma veut faire connaître son organisme (sic), en enlaçant les gens... Heureusement qu'elle ne fait pas dans l'inflation façon RD, ça prendrait plus de temps.
94% des français favorables à l'euthanasie. Sur ce pourcentage, les deux tiers sont d'accord sur un nom... le même pour tous... devinez !
Demander une "inflation" à une femme politique... pas malin ! Tarif : perquisition + 48h de garde à vue et vraissemblablement une condamnation à la clé.
Dire à un quidam "casse toi pauv'con"... grossier et indigne ! Tarif : RIEN !... encore faut-il être l'élu !
Quant à moi, dans une telle époque, j'ai de plus en plus de mal d'apprendre aux petits enfants de l'école laïque, publique et obligatoire, ce que veut dire respect et justice.
Affligeant mais amusant ! Laissons un peu notre imaginaire se lâcher... pour un apéro géant, il faut du whisky, de la vodka, du gin, du rhum, du pastis, de la téquilla, des bières... ça en fait des bouteilles à cacher. Reste l'ultime question : une fois tout ça bien dissimulé, où planquer les cacahuètes ?
Dernière minute : un septième complice, d'origine belge, a été arrêté, repéré par la longue trace laissée derrière lui... il était chargé de voler les glaçons !
Merci Kleenex ! Un de plus qui se fait jeter de France inter. Non pas que je porte aux nues Gérald Dahan, que je trouve assez médiocre, mais tout de même, dès qu'un humoriste l'ouvre un peu trop... hop, à la trappe ! Et vidé par qui ? Bien sur par l'anar repanti, l'arriviste né, PV ! Tout ça parce que Dahan ne correspondait pas à l'esprit maison ! Au fait c'est quoi aujourd'hui l'esprit maison à France Inter ??? Je me souviens de l'époque où cette radio affichait le slogan "pour ceux qui ont quelque chose entre les oreilles..." A l'époque, les journalistes, les chroniqueurs, dont un certain JL Hesse... savaient faire réfléchir, n'avaient pas peur de dire ce qu'ils pensaient, n'hésitaient pas à égratigner, voir éreinter, les politiques. Avec l'esprit maison d'aujourd'hui, j'en arrive à me demander si la direction de France Inter a encore quelque chose entre les oreilles qui lui permette de raison garder et de conserver un libre arbitre véritable. Quand à Sophia Aram, combien de temps durera-t-elle ? Les paris sont ouverts.
La célèbre marque a le plaisir de vous présenter son dernier kit porte-manteau/chandelier à deux branches* en trois formats différents
NB : il est préférable de dîner aux chandelles AVANT d'accrocher son paredessus plutôt que l'inverse, la note de pressing pour retirer la cire sera ainsi évitée !
* la marque attend le nouveau modèle, à sept branches, directement importé de Tchernoby.
Et si... la connerie était énergétique ?
Finie la crise de l'alimentation en essence
Finies les augmentations EDF et GDF
Fini le massacre des ressources de la planète
Fini l'asservissement des masses pour l'enrichissement des minorités
...
Qui plus est, partant du principe qu'on est toujours le con de quelqu'un, imaginez... sources d'énergie à volonté... petite panne ? Hop, il suffit d'aller voir son voisin de pallier, de rue, son collègue, son supérieur hiérarchique, son employé... de l'énergie partout. Nos gouvrenants à eux seuls parfois pourraient fournir l'énergie au pays entier, en ce moment par exemple, on en aurait même à revendre, que dis-je, à céder aux plus démunis.
Ouais, bon... 2 millions selon les syndicats... c'est moins que le dernier mardi mais tout de même, prenant en compte
- les vacances
- le manque de carburant
reconnaissons que pour un mouvement qui s'essouffle, il est encore loin de la crise d'asthme !
Qu'à cela ne tienne, le mécanisme étant enclanché, si les syndicats réussissent à garder l'esprit de l'intersyndicale, l'élu et ses petits camarades nous auront dans les pattes à chacune de leurs paroles, à chacun de leurs mouvements. Ils nous prennent pour des cons ? Alors, même si nous sommes obligés de subir, sachons leur faire savoir que pour l'instant, comme dit la chanson, ils n'auront pas notre liberté de penser.
Je demande à tout le monde de se lever et d'observer une minute de silence. Paul le poulpe est mort !
On dira ce qu'on voudra, mais ça, c'est de l'info !
Les voyages sont toujours d'étonnantes expériences sociologiques. J'attends mon train en gare de Montaparnasse... 2h15 devant moi ; de quoi pouvoir me poser devant une collation qui permettra à
la fois de me sustanter et de passer un peu de temps. Installé seul à une table, je voisinne (jouxter) deux messieurs, discrets, qui dégustent leur pavé de boeuf en sirotant un rosé de Provence.
Leur conversation est audible, forcément, proximité oblige, mais nullement gênante car ils prennent le soin de ne pas pousser leurs voix outre mesure, affichant ainsi la discrétion du
savoir-vivre.
A ce moment, surgi du brouhaha de la salle pleine du restaurant, la voix d'un pré-ado se fait entendre. Je lève la tête, scrutant le court horizon des lieux et tombe plus que rapidement sur
la source sonore. Il est là, assis à une table, accompagné de ses parents et de celle qui doit être sa soeur. Légérement en diagonale par rapport à ma table, six à sept mètres plus loin, je ne
devrais normalement pas entendre le son de sa voix.Grosses lunettes cerclées de noir sur le nez, cheveux courts en brosse, l'acnée prêt à grêler le visage, et dentier en avant... figure
emblématique du premier de la classe. Il parle fort, d'une voix qui a déjà quitté l'enfance mais qui peine à passer au stade supérieur, celui d'adolescent. Il le sait, il compense. Voix forte,
forcément, puisqu'il est homme en devenir. Forte, oui, mais aussi, et c'est le handicap, fortement métallique, produit d'une mue au travail encore inachevé. Curieux mélange où les harmoniques
enfantines n'ont pas encore cédé le terrain à la gravité de la voix mâle. Sur de son fait, en passe de prendre le pouvoir sur ce monde, conforté par les parents qui ne pipent pas, admiratifs
qu'ils sont de voir leur petit devenir homme, il parle haut et fort et maintient bien la chose. Je sais tout de sa vie, tant il est insistant. Il s'adresse à la mère, apostrophe le père, et se
veut pédagogue avec la petite soeur. Futur adulte certes, mais il s'y croit déjà ! Le bruit de fond est moindre, la salle se vidant... il ne réalise pas, pris qu'il est dans son monde, maintenant
la sonie de sa voix toujours à même intensité. Fatigant ! Il me livre les détails de sa vie pré-pubère. Père et mère l'accompagnent, à peine plus discrets, mais tellement moins diserts, cela est
moins pénible. Ce calme de la salle est vraiment relatif, troublé en permanence par le loghoréïque à voix de mutant. Le flux est continu, fatigant, épuisant. Il connait tout de tout, a des
avis sur tout ! J'imagine d'ici l'élève potentiel, qui génère à coup sur la crainte de l'enseignant, noyé sous les paroles, et l'ire de ses pairs, agacés par ses mots. Inondant les premiers
d'idées toutes reçues, et les seconds enfin, de sa fatuité. Le haïr à coup sur, à moins qu'on ne le moque, et c'est bien mérité tant il est arrogant, bouffi de certitudes, cet Agnan
d'aujourd'hui, sur de lui, peur de rien, se croyant seul au monde au milieu de la foule...
Manger tranquillement dans la salle de restau, même s'il y a le bruit que font tous les clients, certes, tant que le flot de mots n'inonde pas ma table... mais subir la contrainte de cette
apocalypse du gamin trop prolixe m'a envahit l'esprit, m'a gâché le repas. Pouvoir un peu souffler, dans ces conditions, relève du challenge... ou de l'abnégation. Une chose est bien sure : Je
jure sur la tête de ceux qui me sont chers, que la prochaine fois, j'obture d'un choux fleur, le clapet du parleur !
LIBERTE REQUISITION
EGALITE France d'en haut vs France d'en bas
FRATERNITE... la seule chose qui nous reste dans la France d'en bas, préservons la, servons-nous en !
C'est vrai que j'aimais bien temps X quand j'étais gamin...
Mais là, ils chopent le melon les freaks.
On passe de la vulgarisation à la vulgarité.
Séduit gamin... difficile de porter crédit à leur singeries (mimétisme morphologique* ??? ) une fois l'âge de raison atteind.
Arrêtez vos conneries les bogda, vous êtes démasqués ; pour une fois, en attendant la parution des commentaires réels sur vos thèses respectives, faute d'être respectables, vous montrerez un peu d'intelligence.
* on est pas responsable de la tête qu'on a... sauf quand on la fait trafiquer à loisir !
Pourquoi l'amour brisé ronge-t-il à ce point ?
Ben alors, ça trouille drôlement au gouv'
Forcing à tous les étages
- force de l'ordre pour lever les barrages aux raffineries
- force du mépris, encore, de Beurk face aux Sénateurs de l'opposition
- vote sous pression au Sénat, de la semaine prochaine, on repasse à dimanche !
et avec tout ça on nous annonce le remaniement pour après le vote... qu'est-ce que ça changera, à part la tronche des guignols... et encore !
De la mise en avant de notre propre stupidité.
Je viens de lire l'article "Laveur de cerveaux" de Nicolas Delesalle, Télérama n°3171 du 23 au 29 octobre.
Bigrement intéressant : comment l'utilisation du logiciel Power Point du gros Bill nous abêtit. Cela me rappelle la réflexion faite par un ami directeur de recherche à l'Ecole des Mines, sur l'utilisation affligeante de Word, du même gros Bill. En effet, il y a plus de 10 ans déjà, cet ami disait que ses thésards sacrifiaient le fond à la forme...
Comme conclut l'article de Télérama, ce n'est pas le logiciel qui est pervers, c'est la façon de l'utiliser qui nous conduit à céder à la facilité, à la négation de la prise de distance. Une fois encore, au plan technologique... c'est l'armée qui aura eu de l'avance dans l'analyse !
Un peu triste...
Vu sa toute, toute petite taille (physique, intellectuelle comme politique) il ne se fera même pas un tour de reins en mettant la tête dans le salle, façon autruche !
Un peu triste.
"... désormais quand il y a une grève en France, personne ne la voit" cf. l'élu (réunion UMP 05/07/08)
Ah ? Résumons...
L'élu est aveugle en face des manifs.
L'élu considère que personne ne voit la grève.
Conclusion : l'élu est personne !
Le coup était bien préparé...
HOUUU il est fatigué le gouvernement... il a du mal à compter le gouvernement... les galinacés sont moins opérationnels ou alors... ils auraient des ordres NOOOOOONNNNNN !
En plus, vous avez vu, vote au Sénat, jeudi soir, euh pardon, vendredi, non samedi, enfin peut-être la semaine prochaine ! Eh ben il est fatigué le gouvernement... PAS NOUS !
Lors de ma déambulatoin manifestatoire de l'après-midi, j'ai vu, de mes yeux vu, quelques galinacés genre robocop interpeler 4 jeunes à un carrefour... Contrôle d'identité. Les jeunes étaient là, debouts, à regarder passer la manif, placides, calmes. Ils étaient habillés en jeunes, capuche sur le tête ! Ben oui, il tombait une averse. Moi aussi, j'étais abrité sous ma capuche pour ne pas recevoir la pluie ; mais bon, moi, j'ai une tête de vieux et eux des têtes de jeunes... avec des capuches. Je bougeais et eux ne bougeaient pas... sur qu'ils fomentaient le complot averc leur tête de jeunes, sous la capuche ! Une chose est sure c'est je me sens plus proche des jeunes à capuche que des galinacés à calot ; les premiers ont la tête bien faite, ils l'ont montré en restant très calmes, les second ont la tête bien vide ou presque, ils l'ont montré en agissant avec le cerveau reptilien.
J'arrive de la manif... 50000 personnes à Nancy. Yes.
Tenir, encore tenir !
Allez, encore une pour le fun.
Il y a des jours où on se sent moins seul. Faire partie des 71% de français qui approuvent la contestation actuelle de l'action de l'élu et de ses grouillots, ça me fait plaisir.
Un coton tige dans la bouche, la quéquette sur le tampon encreur. Et pourquoi pas un doigt dans le... pour les empreintes anal...logiques ? Franchement rien que l'idée, ça fichier !
Je me demande si les routiers n'auraient pas été instrumentalisés par les jeunes ??? Alors attention, routiers, si vous manufestez, gardez votre calmitude