Amateur de contrepêt, prend garde à ne pas aller trop vite
Si à une copine tu dis : "Salut ma poule", ça garde un côté sympa.
En revanche, si tu contrepêtes un peu rapidement, tu t'en ramasses une !
Amateur de contrepêt, prend garde à ne pas aller trop vite
Si à une copine tu dis : "Salut ma poule", ça garde un côté sympa.
En revanche, si tu contrepêtes un peu rapidement, tu t'en ramasses une !
Allez, je vais jouer le vieux con.
Je lis un article dont le fond aurait tendance à me réjouir et paf, la forme entrave cette jouissance.
"... l'avocat à obliger... " Aaaargh !
"David Koubi déstabiliser en vient à dire ... " Ouhhhh !
Qu'on ne m'oppose pas la faute de frappe, il y a des cas impossibles ; le à et le a sont si distants sur le clavier que j'envisage deux possibilités, ou le rédacteur a des doigts démesurés, ou il souffre d'incompatibilité avec l'orthographe. Ceci dit, c'est plutôt bien vu d'avoir accordé le verbe à la préposition car là.. c'est juste !
Pour la seconde occurence, j'opte résolument pour la seconde possibilité car taper deux lettres au lieu d'une ne peux relever de la faute de frappe, ou alors... c'est Parkinson qui guette !
Enfin, restons sur le fond, c'est ça l'important.
Sans jeter le bébé avec l'eau du bain, après la rame "spécial ROM", le cassage de grève... Pour certains cadres de cette régie dite autonome (je pouffe !), le P final du sigle signifierait-il POURRIS ???
Eh non, ça ne sens plus la bière de Londres à Berlin mais bien la charogne de Tripoli à Paris !!!
En matière de formation,
- avant la réforme, le ministère dispensait la pratique de la pédagogie
- depuis, il pratique la dispense...
j'en conclus que n'importe quel crétin peut devenir enseignant, le tout à vil prix.
Encore un concours fantoche, des jurés achetés... Ce sont toujours des terriennes qui remportent le titre !
Etait-ce de la prémonition quand j'écrivais il y a un an environ sur Des lyres de mots qu'on devrait revenir aux transports utilisés pour la rafle du Vél d'Hiv ???
Une chose est sure, c'est que si l'initiative à gerber de cet employé crétino-zélé de la RATP a pu se faire c'est que la remontée nauséabonde d'une époque qui fait honte à la France est bien réelle. En tous cas, aujourd'hui, j'ai honte de nos transports, surtout quand ils sont en commun !
Et bien oui c'était la rentrée des enseignants ce jour. Jour choisi par le sinistre de ceux qui accueillent de plus en plus de monde dans les classes en ayant bénéficié de moins en moins de formation. Et forcément, qu'a-t-il dit, le sinistre dont le nom a plus à voir avec la numismatique qu'avec le ministère qu'il dirige ? Qu'à part la formation, tout allait bien. Ben bien sur que tout va bien, pas de fermeture de CLASSES mais 16 000 POSTES en moins, tout va bien. En tous cas, une chose est sure, c'est que sur le terrain, vous savez, la France d'en bas, des besogneux, des vaches à lait... ben on n'a pas la même impression... vraiment pas.
Un des atouts indéniables du trou est qu'on peut le remplir d'autres trous de n'importe quelle taille... à l'infini. Quel bonheur.
Il a bien raison le sinistre.
Il faut rétablir la morale dans cette nation...
Quand nos gouvernants nous montreront qu'ils sont capables de morale, alors, j'appliquerai les textes pour mes élèves.
Je crois que j'ai encore du temps devant moi !
Que du bonheur... maintenant qu'il a fini d'aboyer, il contre son maître. Eh l'élu, tu vas être obligé de lui mettre une muselière.
2012 l'année du choix crucial
Macaque d'extrême gauche ? Pfff, braillard, désagréable, et... extrémiste.
Ouistiti de droite ? Non merci, on a déjà donné dans l'agitation démagogique.
Babouin d'extrême droite ? Surtout pas, agressif... voire dangeureux, très dangeureux.
Chimpanzée ou bonobo de gauche ? Je parierai bien sur le second, calme, altruiste... démocrate ? Mais voilà, il faut d'abord attendre les primates... pardon, les primaires.
Si la pluie du matin n'arrête pas le pélerin, la pluie des mâtines, arrête-t-elle la pélerine ?
"Une truite dans la marmite
vaut mieux
que deux saumons dans le caleçon"
Proverbe irlandais, un peu aménagé, j'en conviens.
Un minuscule grain de beauté ornait ce joli minois.
Elle avait la mouche bien frêle !
"Que vous jetiez l'Océan ou un verre d'eau sur le trou d'une aiguille, il n'y passera toujours qu'une goutte d'eau"
Jules Renard
Dans les deux cas, vous avez l'air d'un con ; la seule différence c'est que dans la première occurence, le con est en plus sacrément prétencieux !
Avez-vous remarqué que même si on le retourne, un 69 reste un 69... Youpi !
De quoi est composé un trou ? La réponse est simple : de matière.
Pour expliquer cela, appuyons nous sur les propos suivants
"Pour moi, une journée sans canular, c'est un gruyère sans trou."
Francis Blanche
En effet, si nous considèrons ladite citation, nous pouvons émettre la contraposée suivante :
Un trou sans gruyère est une journée pleine de canulars.
Ainsi
Définissant le trou sans gruyère comme immatérialité, donc néant, vide. En un mot, un trou
Définissant la journée pleine de canulars comme une journée pleine de rires potentiels ;
Considérant qu'un bon rire vaut un beefsteak
Partant du postulat qu'un beefsteak est de la matière, faute de quoi, s'il ne l'était pas, il y aurait autant de crise d'aérophagie que de steak-frites.
Par extrapolation, la conclusion s'impose
Un trou est composé de matière ! CQFD
"Si un aveugle conduit un autre aveugle, ils tomberont tous les deux dans un trou"
Saint Matthieu - Extrait de l'Evangile
Quel rigolard, ce Matthieu !
"Si un aveugle guide un aveugle, tous les deux tomberont dans un trou"
Saint Luc - Extrait des Evangiles
Quel pâle plagiaire ce Luc !
Je vous le dis : l'astrophysicien qui fera la lumière sur les trous noirs deviendra une star. Etonnant non ?
"Sois prompt à écouter, et lent à donner une réponse"
Ben Sira
Il est vrai qu’aujourd’hui la vitesse prévaut,
La réponse dans l’heure, et cela sans défaut
N’en peut être autrement au risque de déplaire
Réagir aussitôt que l’info va se faire
Sans prendre quelque temps, celui de réfléchir
De mettre la distance, pour mieux la prévenir
Action et réaction, voilà les maîtres mots
D’un monde où tout est fou, d’un monde où tous les maux
Doivent sans plus tarder, trouver la solution
Fi de la réflexion, il nous faut de l’action
Déjà l’enfant le sait, puisque tout arbrisseau
Il comprend qu’il est roi, que tout lui est cadeau
Que ses parents ne savent comment il leur faut faire
Pour que la tête blonde fruit de leur propre chair
Accepte qu’on refuse ce qui lui est désir,
Comprenne qu’il y a parfois du déplaisir
Mais qu’il est constructif, même s’il a le cœur gros
Que papa et maman refusent le crédo
De l’enfant qui s’emporte dès que la frustration
Le prend au dépourvu, force l’acceptation
Quand assis au bureau, sage comme un agneau
Je vois tout en furie, entrer comme un taureau
Mon collègue d’en face, souvent atrabilaire
Le cheveu en bataille et l’air autoritaire
Sans même me saluer, et tout ça pour me dire
« As-tu reçu le mél ? Je viens de le finir
Et j’attends ta réponse, très vite il me la faut
Cela ne peut attendre… Voilà donc le fléau
De la rapidité. Voilà donc l’abjection
Du manque de répit pour répondre aux questions.
Bien sur si la vitesse, nous amène aussitôt
A l’autre bout du mode, cela prestissimo
Il n’en reste pas moins que cela m’exaspère
Ne n’avoir plus le temps, parce que tout accélère
D’apprécier les choses, de pouvoir acquérir
Une philosophie qui pourrait abonnir
Ce que je vis des choses, ce que je trouve beau
Et si célérité devient le seul ruisseau
De tout ce qui nous fait, c’est une abjuration
Du plaisir de la vie, une abomination.
Aussi le politique, à son plus haut niveau
N’a plus capacité de trouver le repos
Celui qui nous protège de la crise de nerfs
Et nous permet ainsi d’avoir l’esprit plus clair
Afin de distinguer ce qui sera le pire
Trouver la solution ou bien céder à l’ire
Et pourtant on le sait, la colère ne vaut
Surtout pas qu’on y tombe, car elle a le défaut
D’empêcher de penser, de nuire à l’attention
De tous nous révolter, de créer la tension.
Aussi, je vous le dis, allez decrescendo
Pour qu’au bout de la vie vous soyez en écho
De la force du vent, de celle de la terre
Et de celles de l’eau, du feu qui nous sont chères
Pour qu’ainsi vous puissiez, enfin vous accomplir
Etres de la nature, humains en devenir.
Habitants de la terre, votre si beau berceau,
Réagissez au mieux, préparez vos cerveaux
Sans partir en arrière, engagez votre action
Pour enfin accepter la décélération.
La lenteur a du bon, observez l’escargot
Qui toujours à la peine, traîne son lourd fardeau
Sachez vous inspirer, sachez en prendre l’air
Car même s’il ne va pas si vite que l’éclair
Il arrive à son but, et cela sans courir
Sans jamais s’arrêter, sans jamais s’assoupir
Hommes de la vitesse, arrêtez vos assauts
Prenez le temps de vivre, prenez celui qu’il faut
Pour qu’icelui vous porte l’amélioration
Sur le champ, tout de suite, sans autre digression
Devenez fainéant, refusez le monceau
Des actes qu’il vous faudra traiter illico
Prenez de la distance, sachez garder vos nerfs
Et sans hésitation, sachez bien vous abstraire
Des réponses immédiates, sachez les abolir
Au jeu de la durée, sachez-vous convertir.
Prenez donc bien le temps, tout comme le bateau
Qui va sur l’onde claire, navigue au fil des flots
Et qui toujours au port, sans précipitation
Amène les colis, livre les provisions
Apprenez aux enfants, qui sortent du berceau
Ce que veut dire attendre, que signifie repos
Ce faisant vous saurez ménager vos arrières
Pas de fessées de trop, de claques sur le derrière
Vous aurez fait passer comme bon souvenir
Celui du temps qui passe et qu’on laisse advenir
Joie de se réveiller alors qu’il n’est plus tôt
De lézarder un peu quand dehors il fait chaud
De prendre tout son temps pour faire ses ablutions
D’avec le paresseux être en adéquation
Et si la nonchalance ne fait admiration
Prenez la chose bien, ce sera la caution
De votre attachement à ce qui là prévaut :
Indolence de l’aï, celle du cachalot
Flegme de la tortue, qui peine à déguerpir
Chantres de la durée qui lentement s’étirent
Enfin, si vous trouvez que la chose est austère
Mon propos hors sujet, mes phrases cavalières
Alors n’hésitez pas, allez-y allegro
Choisissez la vitesse, celle de l’escargot !
Eté sexy
Météo : enlève tes bas
Hiver calme
Enlève Théo, mets tes bas.
Bon... ça c'est fait. il ne reste plus qu'à recruter Guignol à Lyon pour représenter la France au conseil de sécurité des Nations unies !