Une fois encore le mélange des genres peut être ravageur....
Imaginez une seconde la chose si d'un seul coup vous faillissez en prononçant
"quel beau tête à queue !"...
Une fois encore le mélange des genres peut être ravageur....
Imaginez une seconde la chose si d'un seul coup vous faillissez en prononçant
"quel beau tête à queue !"...
Et si on revendait à vil prix nos algues au 10 Downing Street, histoire de retrouver de la séreinité un peu partout ?
Aaaaïe aïe aïe, après ces incapables de Météo France qui nous ont déjà fait n'importe quoi l'hiver dernier avec la neige et qui repassent le plat cet été avec Eole, v'là les incapables de l'Ifremer qui s'y mettent avec les courants marins qu'un Neptune à la limite de l'éthylisme rend aléatoires... ça va nous énerver le premier sinistre, c'est sur !
Joli lapsus... mais finalement, n'est-il pas révélateur de ce qu'est la politique aujourd'hui ? Une polémique permanente ?
Les bourses remontent.... à quand la turgescence du lingot ?
"La chance de la démocratie, c'est le courage"
Radu Mihaileanu, cinéaste - France Inter, chronique "Les maîtres nageurs" : Costa Gavras et le printemps arabe / 08 août 2011
Des aphorismes comme ça, j'en redemande... A bien regarder nos sociétés occidentales, est-ce le courage qui manque ou la démagogie que nous prenons encore pour de la démocratie ???
"Il n'y a aucune justification pour les agressions auxquelles la police et le public ont été confrontés et pour les dégâts" causés, a affirmé le bureau du premier ministre, David Cameron.
Aucune ? Ouais.... mmmhhhh ! Certes, la violence ne règle rien. Elle témoigne cependant d'une fragilité sociale certaine. Les casseurs ne sont pas nés casseurs, les pilleurs ne sont pas inéluctablement enfants de pilleurs.Avant de juger, il faut réfléchir. Comment notre société en est arrivée là ???
Paradoxal... depuis son changement de politique, Deezer me paye l'écoute... à bon entendeur !
En cas d'ex aequo, est-ce la qualité de l'abricot qui détéreminera la gagnante ? A vous de voter...
Chute des bourses... la descente d'or gagne !
L'homme est un crétin... mais c'est juste une plaisanterie de potache !
Non mais je rêve 975 000 € de prime de licenciement... Dites moi que je rêve. Presque 60 ans de SMIC... Je sais, il y a encore pire. Et qu'on ne s'y trompe pas, ce n'est pas la jalousie qui m'anime, c'est bien le sentiment de profonde injustice en regard de tous ceux qui crèvent de faim. L'ignominie touche à son comble. Qui plus est, c'est nos impôts qui serviront à imdemniser ce guignol. Jamais je ne m'y ferai, jamais.
S'ils sont attaqués par Alzheimer, feront-ils mouler leur cerveau pour se souvenir qu'ils en ont un ???
Stupide.
Quelle manie idiote que de déclarer leader tel ou tel média sur une soirée parce que tel ou tel film a attité la foule. Changez la chaine, gardez le film, et le leadership revient à un autre.
Journalistes, scruteurs de médias, si vous vous contentiez simplement de dire qu'un bon film est un bon film... Mais finalement, c'est vrai, à ne dire que ça... vous ne feriez pas d'audience.
Dans un soucis d'économie d'ambulance et de cercueil, les sachets en plastic seront bientôt interdits au Moyen- Orient.
Fin juillet, Paris, samedi, huit heures et quelques. Le soleil brille dans un ciel émaillé de quelques nuages bienveillants. Peu de monde dans la rue malgré l'heure, week end, vacances des aoûtiens qui débutent. J'évite l'eau ruisselante du trottoir propret. Aujourd'hui Karcher, hier, simple balai de branches qu'un homme en bleu maniait avec aisance, rapportant au caniveau les papiers gras qu'une onde artificielle convoyait vers l'égoût le plus proche. Hier, oui, c'était hier, ma première visite à Paris. J'avais neuf ans, l'âge des émerveillements, celui de la compréhension des choses et de l'infinie curiosité. Quarante quatre années se sont écoulées depuis mais c'était hier. La force évocatrice des images, des bruits, des odeurs. Tout a changé mais tout renvoit au souvenir. Celui des senteurs du poulet qui rôtit à la devanture du traiteur, celui de la fraîcheur du matin, parfum des arbres de l'avenue mélé à l'odeur de graisse des moteurs automobiles. Je suis petit garçon. Les images viennent à mon esprit, balades en bateau-mouche, immense enchevêtrement de métal de la fascinante Tour Eiffel, cires du Grévin où je trouve étrangement calme cet homme assis sur un banc dans la galerie , goûter au salon de thé de la maison de la radio, pour consoler la tristesse d'une visite manquée, premières initiations à la physique avec la cage de Faraday du palais de la découverte ou la cabine de pilotage de la moderne BB, fierté de la SNCF, rencontre avec l'Egypte par le truchement du masque de Toutânkhamon en visite au grand palais. Magie de la grande ville. Carrefour d'histoire, de science, d'art... Boulimie de connaissance, tout voir, tout découvrir, tout connaître. Petit provincial, j'absorbe tout, les commerces ouverts le dimanche, exceptionnel à l'époque, le désordre des puces de St Ouen, le bruit du métro initial, sur rail, le silence de celui qui, sur pneu, se subsitue progressivement au précédent, miracle du progrès, mort de la petite histoire, celle qui fût, par excellence, la vie. Qui n'a pas connu Paris étant enfant perd la dimension du gigantisme, celle du plus grand que soi. C'était hier. Maintenant, je me régale de cela, de cette double appréhension des choses, étrange fusion de deux temps qui se rencontrent. Marcher, déambuler, au gré des rues, au gré de la mémoire, regarder, sentir, écouter pour encore et encore, sans nostalgie, vivre le plaisir d'être à Paris.
Vu sur un sac disponible dans la grande distribution cette excellent slogan
"Même si je suis biodégradable, ne me jette pas dans la rue"
Amateur de contrepéteries, j'ai ausssitôt pensé que moi non plus, bien qu'étant biodégradable également, je n'aimerai pas qu'on me "jette dans la rue... !"
Pas de doute, l'inventeur du parasol était un gibbon, avec des bras qui lui permettaient de se gratter la plante des pieds sans plier l'échine car en vérité, quand tu ouvres un parasol, quel qu'il soit, avec tes bras... normaux ! As-tu remarqué que tu prends systématiquement la toile dans la figure ? Le syndrome de la notice de médicament a encore frappé.
Il y a des choses que le cerveau refus d'apprendre.
Pourquoi quand on cherche la petite cuillère dans le tiroir à petites cuillères, on ouvre d'abord le tiroir à couteaux, puis le tiroir à fourchettes, ou inversement et jamais, au grand jamais, directement le tiroir à petites cuillères ??? Syndrome de la notice dans la boîte de médicament ? A n'en pas douter.
J'aimais beaucoup mon coutelier.
Malheureusement, il a rendu lame !
Il est sinistre, absolument sinistre qu'on puisse encore trouver des hommes dignes de ce nom pour commémorer les pires saloperies que seul l'Homme est capable de commettre. Lamentable, abject...le vocabulaire manque !
Quand la virgule fait changer de registre...
Les chevaliers, magnifiquement montés sur de luisants destriers gris, arrivèrent au château.
ou
Les chevaliers magnifiquement montés, sur de luisants destriers gris, arrivèrent au château !!!
Après la boule de feu qui réjouit les scientifiques, ce sont les morceaux de météorites qui attirent la foule de boeufs !
J'apprends ce jour la mort d'Amy Whinehouse...
Curieuse femme, déjantée au possible, dont j'ai découvert la voix un jour par hasard. Mais quelle voix ! Quelle musique ! Amy nous embarquait loin, très loin dans l'espace jazzy. Musique chair de poule, frisson d'aisance, on aime ou on n'aime pas mais si on aime, on aime tout... rien à jeter.
Le seul hommage qu'on puisse lui rendre est d'écouter encore et encore sa voix, sa musique, son style.
Printemps 2012, grand concours de jeté de nain. Jeunes qui avez 18 ans en 2011, n'oubliez pas de vous inscrire avant le 31 décembre pour concourir.