Il y a des jours, comme ça, où le palais tutoie les étoiles, où les papilles sont en extase. Ce fut le cas pour pour à midi. Alors, partageur, je vous livre la recette, simple, mais sublime.
Après avoir acquis une belle darne d'espadon un peu épaisse (j'irai dire deux avé et trois pater pour le coût carbone) j'ai mis celle-ci au four, sans autre forme de procès, nue, sans corps gras, sans couverture, sans sel, le tout à thermostat 7.
Avant de ce faire, j'avais préparé un riz basmati au curry "hot". Une fois le verts de deux oignons frais revenu dans l'huile d'olive, j'ai saisi le riz dans le mélange jusqu'à transparence du grain. Cela fait, j'ai copieusement poudré d'un mélange de curry hot et... soft, pour pouvoir encore apprécier les saveurs (en proportion 1/5ème de hot pour 4/5ème de soft), mélangé l'ensemble afin que le riz prenne une belle couleur. J'ai ajouté un peu d'herbes de Provence, de l'ail moulu en quantité raisonnable pour que le mariage soit subtil, du gros sel.
J'ai mouillé amplement le tout d'une eau bouillante additionnée d'un bouillon de légumes et laissé cuire jusqu'à obtention d'un grain de riz cuit mais ferme.
Une fois la chose en route pour une cuisson ad hoc, j'ai donc mis au four la darne d'espadon. Pas de temps de cuisson, c'est l'oeil qui indique la durée. Lorsque le poisson commence à se colorer sur les bords, c'est parfait, cuit mais encore moelleux.
Le riz cuit, j'ai dressé sur l'assiette le poisson sur lequel j'ai fait couler un léger filet d'huile de sésame. J'ai épandu du gros sel sur la tranche, donné un tour de moulin à poivre (cette fois, il était noir mais si vous en avez, le poivre blanc augmente la subtilité du met) et servi à côté le riz vert jaune, garni de petits tronçons d'oignons. Prêt à déguster !
Ah, j'oubliais, un sauvignon vigoureux et dynamique sied parfaitement à la dégustation.
Avec tout ça, j'ai pris un aller simple pour le bonheur gustatif.
Alors, essuyez vos babines et essayez, simple et délicieux.
Parfaite illustration de la loi de Murphy, c'est à dire celle de l'emmerdement maximum ! Vous aurez noté que ça se passe au restau. En général, quand on est de sortie comme ça, le change, c'est pour bébé, pas pour les parents. Le plus terrible dans ce cas, c'est que même après s'être rendue aux toilettes pour nettoyer la chose, la dame va incommoder toute la soirée son voisinage avec cette saloperie d'odeur de lait rance qui colle aux fringues plus que de raison.
"Je lui avais pourtant dit que le menu était à gerber"
Aujourd'hui 1er avril... Bien que j'aie essayé de me mouiller, j'avoue avoir été sec pour ce jour de farce... de poisson. Est-ce parce qu'il fait moche, froid, et qu'on se l'écaille ? Je ne sais pas. Pas osé me jeter à l'eau pour vous surprendre...
J'avais bien pensé à vous accrocher un fugu dans le dos mais cela aurait été une farce de poison, et là, c'est pas la même date, ni le même effet.
Bref, si je ne trouve rien d'ici ce soir, la journée finira en queue de poisson.
Pucer les mômes pour ne pas les perdre sur une aire d'autoroute !?! Je viens d'entendre qu'une société française avait eu cette idée et je crois bien que la chose est déjà en route... Big brother, quand tu nous tiens.
Quitte à passer une fois de plus pour un vieux con réac', je me dis que c'est du délire. Il m'a été donné de travailler dans un internat avec des gamins particulièrement agités, qu'il fallait surveiller comme le lait sur le gaz. J'ai accompagné moult fois ces gosses en ville, mes collègues et moi les avons emmené à Strasbourg, à Paris. Nous avons toujours ramené l'équipe au complet, même si parfois, l'envie d'en perdre un ou deux, les plus pénibles, nous prenait.
Il m'a aussi été donné d'accompagner des classes ou des groupes d'écolier en visite à Nancy, qui n'est pas un mouchoir de poche, jamais au grand jamais, nous n'avons perdu de gamins.
Alors, marquer les mômes pour les retrouver... si les parents étaient un peu plus fermes et bienveillants au lieu de laisser leur progéniture faire n'importe quoi, si les professionnels de l'enfance se sentaient un peu plus investis de la responsabilité qui leur incombe au lieu de prendre les enfants pour leurs copains comme on le voit trop souvent, on n'aurait pas besoin de leur coller une puce informatique pour les garder. Un peu de bon sens bon Dieu, un peu de responsabilité.
Au rythme où on va, c'est bientôt un GPS qui sera collé à nos chères têtes blondes pour savoir, où ils sont, où ils vont, comment ils vont... et l'étape suivante sera de leur greffer une puce à même le cerveau afin qu'ils fassent ce que nous voulons, quand nous voulons, comme nous voulons.
Big Brother, tu m'emmerdes !
Mon pauvre Toiprésident, encore un flop magistral avec la proposition de modification de la constitution jetée aux orties.
Vu le bol que tu as avec tes entreprises, il vaudrait mieux pour les prochaines présidentielles, que tu comptes sur un vendredi 13. Il t'en reste deux pour essayer quelque chose : le 13/05/16, c'est bientôt, et le 13/01/17 mais ça risque d'être un peu tard.
Conseil d'ami pour catalyser la chance de voir se concrétiser ton projet un de ces deux vendredis 13, laisse tomber tous tes rendez-vous politiques, diplomatiques... pour allez chercher des trèfles à 4 feuilles dans les jardins de l’Élysée.
Ordonne, si tes ordres sont encore écoutés, à la garde républicaine, de te fournir 5 tonnes de fers à cheval. Cache une main de Fatma (vu l'époque, c'est conseillé) dans ta poche. Touche le pompon (le pompon, pas autre chose) des marins du Jeanne d'Arc lors de ta prochaine visite etc etc...
Ah, j'allais oublier, mets le pied gauche dans la merde, il parait que ça marche aussi et là, vu celle qui existe en ce moment dans ta tendance politique, tu n'auras que l'embarras du choix.
Tout comme moi, vous avez entendu l'info sur cet égyptien qui a détourné un avion hier. Il revendiquait de revoir son ex-femme et de faire libérer des prisonnières avec de toute évidence l'intention de se faire sauter... il n'a pas eu complètement gain de cause mais a tout de même fini par se faire prendre... De quoi se plaint-il ?