Nombreux sont les médias qui ont décrié le support des affrontements euro-footballistiques au moment des matches de pool. Il a même été question de "gazon maudit"
Comment laisser cela sans en tirer inspiration ?
Je vous l'écrirai donc, usant de l'hémistiche
En vers de douze pieds, mais pas en acrostiche.
Voilà que la pelouse des beaux terrains de foot
De par sa qualité nous plongea dans le doute
Une glissade ici, une chute par là
Entraina l'embarras de toute l'agora
Éprise du ballon que la foule en état
De transe incontrôlée, de volonté de joie
De désir enfantin, d'envie d'on ne sait quoi
Au fond du but voisin voir en un coup de pied
Trompant la vigilance, arriver où il sied
Afin qu'après le match on eût pu célébrer
La joie d'une victoire à coup de bière ambrée.
Mais voilà, l'herbe nuit, la pelouse se mouille
En une facétie, le résultat nous brouille
Et laisse l'attaquant, se vautrer sur le sol
Sans qu'on pu le taxer d'avoir usé d'alcool
En mille mots choisis, la presse la bien dit
Que ce n'est pas un sol mais un gazon maudit
Que la chute est bien là, plongeant dans le tracas
Tous les sélectionneurs, ils en ont fait état
Fournisseurs d'herbe tendre, horticulteurs sérieux
Que n'avez vous ici, bien assuré les lieux
Alors, fi des critiques, il faut ici agir
Pour que sur le terrain le joueur puisse tenir.
Pourquoi le laisser choir, il y a la solution
Qui s'inspire du mot, de la situation
Que d'autres ont essayé avec inspiration
Celle qui bien menée apporte le plaisir
A qui souhaite le faire, à qui a le désir
Pour qu'à la toute fin, le supporteur avide
Du but ainsi loupé, ne s'en trouve livide
Il nous faut en un mot, pour profiter enfin
D'une victoire acquise, sans user de la main
Et sans hésitation, en pensant au bourgeon
Sur ce terrain maudit, en brouter le gazon !
Si un jour, je chope l'inventeur de la poussière... il en prend une !
Depuis plus de 20 ans, Spencer Tunick, photographe américains, fait de la photo de nu, mais pas comme on le conçoit habituellement.
Il travaille la multitude, ce qui donne un résultat souvent étonnant, assez impressionnant, quelquefois humoristique, toujours beau, jamais vulgaire.
Pour vous en convaincre, allez voir son site... et pour vous donner une idée, je vous propose cette image que je trouve belle, sculpturale...
... ainsi que celle ci que je trouve pour le moins amusante...
... et qui me fera à jamais voir le théâtre autrement.
Et si on prenait exemple sur l'équipe de rugby du Racing 92 qui a remporté hier le bouclier de Brénnus.
Après le premier tiers du match, l'équipe se voit privée d'un joueur, et ce pour le restant de la partie... situation on ne peux plus complexe pour surmonter l'adversaire et l'adversité en même temps.
Alors ? Comment faire ? Je ne sais pas ce qu'a dit le sélectionneur à ses joueurs mais ceux-ci ont montré une grande unité, une véritable cohésion, un esprit d'équipe incroyable, une vraie discipline consentie et partagée par tous, une détermination hors pair dans l'attaque et un engagement sans faille dans la défense et du cœur à l'ouvrage. Ainsi, même amputée, cette équipe a su s'organiser pour, contre toute attente, l'emporter, gagner, s'en sortir !
Et si on proposait à tous nos dirigeants européens de consulter le sélectionneur et l'entraîneur du racing 92 ? Même à un de moins, il y a des solutions qui font gagner !
Bon, c'est un peu comme quand on sent un morceau de dent qui tombe dans la bouche... la langue va vérifier. C'est bien ça, un morceau manque. Du coup la dent, qui était déjà fragile puisque elle a laissé choir un fragment d'elle même, s'en trouve d'autant plus fragilisée. Le démantèlement complet menace, l'éparpillement guette.
Voilà, c'est un peu la sensation que m'a donné le résultat du référendum anglais. Fissuration, sécession, amputation, sidération, impression du manque. Avec cette inquiétude d'une fragilité supplémentaire.
Alors, que sera la suite, avec la montée des extrêmes qui ne nous plaisent pas, vraiment pas ?
Mesdames et Messieurs les politiques des différents pays encore dans l'UE, Mesdames et Messieurs les députés européens, Mesdames et Messieurs les technocrates à Bruxelles ou Strasbourg, ouvrez les yeux, réfléchissez, proposez-nous des alternatives intelligentes et viables... pour tous. Cela afin que la bête immonde qui rampe de moins en moins et se redresse à chaque vote, ne devienne pas LA solution pour ceux qui crèvent de l'Europe et finiront par lui faire une place dont elle rêve depuis si longtemps.
Le brun n'est pas une belle couleur...
Ben voilà, c'est fait, pour ton départ, grand con prétentieux, les Belges t'ont offert une belle retraite... de Russie. Pas un but marqué par ta cerise. Rien pour que tu sortes du terrain la tête autrement que rentrée dans les épaules. Des fois, ça fait du bien de voir un abruti vaniteux humilié !
I had a dream !
Que ce soir, la Belgique batte la Suède par n'importe quoi à zéro, pas pour humilier ce beau pays mais juste pour que ce soir, un grand con prétentieux prenne sa retraite la queue entre les pattes...
Je ne suis pas particulièrement envieux et je laisse volontiers chacun où il est, mais j'avoue que parfois, j'aimerais être tireur de coup franc, juste pour rigoler un coup.
Je fixerais des yeux l'endroit protégé tout en visant juste au dessus du torse pour qu'ils prennent la balle en pleine gueule... plaisir sadique, mais qu'est ce que ça doit être jouissif, pour le tireur !
"Ben quoi... on protège notre intelligence... c'est pas interdit non ?
On sait que certains musiciens ont un animal fétiche, la truite de Schubert, l'aigle noir de Barbara...
Ce qu'on sait moins, c'est que certains animaux sont mélomanes et ont eux aussi un goût prononcé pour un musicien bien précis. Et pourtant...
Qui, l'automne venu, n'est pas allé en forêt écouter le Brahms du cerf ? Qui ???
Après la danse des canards pour animer les mariages et autres communions, voici une nouvelle danse, inventée par les anar.
Le principe est simple : s'en prendre à tout ce qui passe, bien public ou privé, dans l'idée de détruire, uniquement de détruire, avec le courage de faire ça à visage caché*.
Ah oui, j'ai oublié de vous préciser son nom : c'est la danse des connards.