A Yellow Stone Il n'y a qu'une variété de faon qui échappe aux voraces et rapides grizzlys, le faon "la bise"
Dans la gastro-entérite, il y a plusieurs précautions à prendre dont une primordiale : évaluer avec grande précision la distance qui vous sépare des toilettes ! Après... c'est vous qui voyez...
Certes, un tiers des chanteurs du Choeur de l'armée rouge sont morts dans une catastrophe aérienne, mais pourquoi les médias nous gavent-ils de cette information en occultant tout à coup la misère syrienne qui faisait la une jusqu'à présent ?
Alimentation de la pulsion scopique, suprématie de l'audimat... à chacun ses priorités.
Les gallinacés sont mal barrés si la grippe, à vie, erre !
On n'est ni rouge de colère ni vert de peur quand on est dans un état gris pâle ! Forcément.
Alors oui, j'entends déjà jaser : "Il se la coule douce. Il ne fournit plus. Il devient ramier, avec les pattes à la retourne... "
J'admets. Pendant trois jours, je n'ai rien écrit. Mais bon, j'étais en transit. Non, pas gastro-entéritique, j'y ai échappé cette année. Non... comme je le fais souvent, j'ai tout simplement effectué la translation géométrico-ferroviaire du point L comme Laxou au point L comme Laval.
Suite à quoi, au nom de la tradition judéo-chrétienne, j'ai souscrit à la cérémonie de l'assassinat de mollusques iodés vivants et le lendemain à celle de l'absorption de foie cirrhosé d'anatidés gascons.
Bref, vous l'aurez bien compris, je ne pouvais prendre le risque de glisser sous les touches de mon clavier quelques esquilles calcaires dégoulinantes d'eau de mer et moins encore de les graisser à coup de lipides remarquablement riches en acides gras insaturés : 57 % de monoinsaturés, 11 % de polyinsaturés et 27 % seulement de saturés.
J'ai donc pris la décision, douloureuse mais indispensable, de faire la trêve des cons faiseurs de jeux de mots laids.
Dès aujourd'hui, à partir de dorénavant et jusqu'à nouvel ordre, je vais donc reprendre le mitonnage des mots pour lutter contre les maux, de ciseler au mieux ces petites bêtises pour tenter toujours de vous entretenir la forme physique des zygomatiques et la rééducation périnéale.
Cochon qui sans dé dit !
Bon, ouf, la grande fête du consumérisme est passée... bientôt le passage à une nouvelle année.
Alors, comme tous les ans, il va falloir se plier au difficile exercice des voeux.
Que dire ? Que souhaiter ?
Comme disent les politiques scélérats : " Les promesses n'engagent que ceux qui les croient !"
Et les voeux ? Pieux ou non... tellement voués à l'échec par les temps qui courent.
Pêcherions-nous par excès d'angélisme, par une pure naïveté qui nous laisserait croire en leur réalisation effective ?
Je sais, je suis fondamentalement pessimiste, malgré l'histrionisme récurrent de ce blog. Du coup, j'ai un peu du mal à voir l'avenir de façon positive. Mais entre nous, la réalité, à laquelle nous participons d'ailleurs, ne nous renvoie-t-elle pas une image sombre de la vie d'aujourd'hui.
Je suis bien d'accord, il reste moult occasions de sourire, rire, se réjouir. Et pourtant...
Donc que vous souhaiter ? Peut-être la sérénité, la capacité de prendre la vie comme elle vient, celle de savoir encore regarder l'autre, même s'il est autre, avec empathie et non crainte, de savoir partager, vivre dans une société où l'individualisme le cédera à l'entraide, au nom du respect de son prochain. Ainsi, peut-être, le voeux d'un monde meilleur pourra-t-il être autre que virtuel.
Ceci dit, je vous embrasse fort et vous remercie d'une fidélité sans faille qui, j'en suis sûr, restera d'actualité en 2017.
Si tu ne veux pas entendre hausser le ton, t'as juste à ôter le son !
Pour briller dans les salons de l'antiterrorisme, ne dites pas :
"Les contrôles des besaces dans les marchés couverts du Maghreb où la sécurité défaille ici et là seront faites par des personnels à la mine patibulaire"
mais plutôt :
"Les fouilles de sacs dans les failles de souk seront exécutées par des faces de... "
Si Francis Blanche nous a convaincu depuis longtemps qu'il préférait le vin d'ici à l'eau de là ; sur son lit de mort, le boulanger persiste et signe : "je préfère le multi-graines au lin seul !"
Oui... C'est sur, les cornichons малосольные* ont une vertu, bien serrés dans la bouche, s'ils n'évitent pas le reflux de vodka, ils permettent d'en contenir le détestable débordement.
Quant au strabisme, il n'y a qu'une explication, il doit y avoir un cornichon ailleurs. On se perd en conjectures.
*Molossol
Nom de Dieu, c'est l'hiver ! Ras le bol, ça fait 58 ans qu'on me fait le coup à la même époque. Pourquoi tant de haine ?
Connaissez-vous Auguste Derrière ? Non ?
Je vous livre ici une de ses citations afin que vous vous fassiez une idée.
" Ne dites pas l'argent me dégoûte
mais le pèze m'écoeure "
In Les fourmis n'aiment pas le flamenco, Ed. Castor Astral
Il me fait beaucoup rire et comme je suis partageur, je vous invite à aller sur son site en cliquant sur je vous invite à aller sur son site (le premier ou le second, c'est selon)
Certes, ce dernier a vocation à faire vendre les produits produits ( non, je ne bégaie pas) mais en cliquant sur chaque ouvrage, vous aurez le loisir de pouvoir, moyennant un autre clic, feuilleter quelques pages et ça vaut le cloup, le clic, le coup !
Encore un auteur (fictif) dézingué dont les oeuvres peuvent figurer en bonne place aux côtés bien cotés de Plonk et Replonk, Desproges, Devos, Jean Charles, De Groodt, et j'en passe.
Merci Auguste.
Vous l'avez certainement remarqué.
Aucun post sur Alep, rien sur Berlin.
Pourtant, j'entends, je vois ce que rapportent les médias.
Pourtant, au quotidien, je côtoie dans mon travail des enfants syriens exilés et tant d'autres qui ne peuvent plus vivre en paix dans leur pays natal.
Pourtant, je connais un jeune homme qui a été blessé au Bataclan dont d'autres actes terroristes sont la réplique.
Mon indignation existe, ces événements me touchent profondément, je suis révulsé.
J'essaie de tourner dans ma tête les idées pour écrire mais rien ne vient d'autre que ce qui a déjà été dit, écrit ailleurs.
Indicible ! C'est finalement le seul mot qui convienne à traduire ce que je ressens, et vous aussi peut-être.
Voleurs d'oranges de tous poils, petits chapardeurs affamés qui dérobent de quoi lutter contre la fringale, un conseil, avant de passer à l'acte, pensez à vous forger une réputation internationale, obligez-vous à montrer que vous êtes charismatiques...
Ainsi, si vous vous faites piquer la main dans le sac, ou plutôt à l'étalage, vous serez jugés coupables, mais non condamnés, pas plus que marqués du sceau de l'infamie...
Il me reste encore bien des choses à comprendre dans l'essence de la justice humaine. N'est-ce pas Mme Lagarde.
La course annuelle de chevaux en surpoids se déroulera comme de coutume sur lipodrome ! Attention, le terrain risque d'être glissant.
Assez des anglicismes ! Ne dites plus "Il y a longtemps qu'on ne vous a pas vu, passez donc ce week-end" mais plutôt "Venez samedimanche !"