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On râle après le nucléaire, mais quand même, depuis Tchernobyl...
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"On s'emmerde plus à chercher le pif au ras du sol et les reins en vrac pour faire une omelette potable"
"Et en plus, des comme ça, il en faut pas beaucoup pour faire une douzaine"
On râle après le nucléaire, mais quand même, depuis Tchernobyl...
"On s'emmerde plus à chercher le pif au ras du sol et les reins en vrac pour faire une omelette potable"
"Et en plus, des comme ça, il en faut pas beaucoup pour faire une douzaine"
Lénine savait guider le peuple
"Les tinettes, c'est par là !"
Le 31 octobre 1378 c'est le couronnement de l'antipape Clément VII. Anti pape... car le pape, c'est Urbain VI
Le pape a un nom, l'antipape a un nom, mais les soupapes... on attend toujours.
Si octobre s’emplit de vents, du froid tu pâtiras longtemps.
Bon, de la flotte, de la flotte, de la flotte, mais pas de vent, alors ?... de quoi pâtirons nous ?
C'est terrible de rester dans l'insondable incertitude... surtout sous la flotte.
29 octobre, journée mondiale de l’accident vasculaire cérébral ET journée mondiale du psoriasis.
Non mais, on ne va pas me dicter la date à laquelle je ferai un accident vasculaire cérébral ET un psoriasis ! Je fais ce que je veux quand même, c'est un monde...
Superbe image anatomique pour lé déco
"Demain, une cirrhose du foie ou un cancer du poumon en 4 par 3 pour le salon, au choix ! "
29 octobre 1929, Mardi noir à Wall Street.
Météo déplorable...
Il ne s'est pas encore déclaré. Hésiterait-il ???
"A ton avis, il faut que j'y aille ?"
"Mon pauvre Eric, avec tes idées à chier, c'est pas la peine, même si les sondages te laissent espérer... et en plus, tu pues de la gueule et tu fais peur aux mômes... alors laisse tomber"
Dans le post TRIONS, j'évoque la possibilité du tri sélectif.
Génial mais il y a pourtant un bémol : aucune indication de lieu pour recevoir le déchet politique, écrivain, essayiste, chroniqueur et polémiste français réactionnaire qui souille actuellement nos écrans, nos antennes, nos journaux et notre humanisme.
L'espace interstellaire peut-être, mais les étoiles non plus n'ont pas mérité de servir de réceptacle à une telle ordure.
Pour rendre notre planète plus propre, je vous propose une adresse qui aidera bien les habitants du Grand Nancy, mais pas que. Partout en France, même si les communes n'ont pas mis en place un tri sélectif, il est possible de réfléchir et de se renseigner pour savoir comment faire avec nos déchets.
J'ai parcouru un certain nombre de paragraphes, c'est très intéressant pour faire le recyclage des cochonneries qu'on jette au quotidien, pour savoir où mettre tel ou tel détritus.
Pour accéder à cette mine d'infos, cliquez sur mine d'infos.
26 octobre
A la Saint-Amand, sont mûrs les glands.
Pour fêter ça, et plus si affinité, on attend avec impatience la Sainte Agathe.
Les coups ont une incidence certaine sur la baisse de population !
Amis de la contrepèterie, à vous...
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaarrrrrrggggh Madame Kaddour Boudadi... Surveillez vos phrases quand vous interviewez ; cela afin d'éviter des pléonasmes comme celui de ce matin :
"Mon sentiment à moi... "
Forcément, si c'est votre sentiment, même le plus sot des auditeurs comprendra que ledit sentiment est vôtre, qu'il vous appartient en propre, qu'il est bien à vous. Inutile d'insister. Même les plus sots des auditeurs ne sont pas sots au point d'avoir besoin qu'on leur enfonce la notion dans les neurones à grands coups de répétitions maladroites qui ruinent la langue française et ne font pas briller la radio de service public.
Cette erreur de rhétorique que vous avez commise, cette figure du discours que vous avez utilisée, ce vilain pléonasme me fait craindre d'entendre un jour, si vous interviewez un plombier :
" Au jour d'aujourd'hui, vous avez prévu à l'avance de monter en haut pour remplacer le tube creux à l'intérieur dedans... "
Alors, je vous en conjure, Madame Kaddour Boudadi, offrez nous, comme la radio de service public savait le faire il y a bien des lustres, une langue belle à entendre, agréable à savourer, enrichissante et qui n'est que bonheur pour l'acculturation du quidam.
Prise de sang ce matin, habituel, pour savoir si je convoque la grande faucheuse de suite ou si les médocs que je prends me laissent un sursis que je souhaite le plus long possible.
La personne qui me convoque pour la partie administrative est charmante, souriante, accueillante. Nous plaisantons.
Derrière elle, une collègue, qui va et vient ; cela sans bruit.
Je m'assieds pour attendre un peu. Un nom est appelé, la dame assise un peu plus loin se lève et entre dans la salle de prélèvements. Quelques minutes après, elle en ressort, suivie de celle qui a fait la prise de sang.
J'entends mon nom, me lève, entre à mon tour dans la salle, ôte ma veste pour offrir mon bras à Madame Pic pic. Elle entre, pas de bonjour. Je lui récite ma date de naissance, pour assurer que je suis bien moi. Je m'installe. Elle reste muette, prépare ses tubes sans me regarder. Je devine que sous son masque, il n'y a l'ombre d'un sourire.
Je tends mon bras, habitué depuis huit ans à ce rituel. Je serre la main, pas la sienne, la mienne, pour faire saillir la veine. Sans passer préalablement ses mains au gel, elle garrote le bras offert puis déballe une aiguille. Une aiguille ?!? Que dis-je... un trocart ! Je frémis. Elle tâte la veine, passe le coton antiseptique et pique...
Je sers les dents, impression que l'aiguille va sortir du côté du coude. Elle trifouille pour trouver la veine, desserre le garrot... puis dans la foulée le resserre, et repique, me procurant un bonheur plus conséquent qu'à la première tentative. "La pression est fort forte, elle a fait sortir l'aiguille" !!!
Je suis autant étonné par le fait d'entendre sa voix, atone, que d'être torturé plus que de raison et que d'apprendre que le sang qui coule dans mes veines est à je ne sais combien de bars, occasionnant le rejet du trocart ; ce qui doit être vrai car une fois l'aiguille retirée, la dame colle un coton sur mon bras en appuyant comme une brute.
Remis de mes émotions, en quittant le labo, je me suis dit que le coup de la surpression, de ma vie, on ne me l'avait fait. Peut-être que si la dame m'avait parlé un peu, se fût montrée avenante, avec un sourire dans la voix au moment de la prise de sang, j'aurais été plus détendu. Mais non... A sa décharge, elle ne devait pas bien connaitre le labo ; je ne l'avais jamais vue auparavant.
Elle était peut-être aussi stressée que les patients à prélever. En un mot, elle devait avoir la pression.
J'ai toujours bien aimé les photos de classe, mais je me demande bien ce qu'ils peuvent écrire avec ce qu'ils ont en main ?
"Ton testament !"
Aujourd'hui, on fête les Crépin, les Daria, les Enguerrand, les Hilaire, mais aussi les Chrysanthe, les Front et même les Gaudence.
Avec des prénoms comme ça, on va faire des économies...
Vous avez un tic, vous vous gratter le nez en permanence ? Il y a des solutions
"J'ai mis une cage sur la tête, des fois que je réussisse à me libérer de la camisole. On n'est jamais trop prudent"
Le 24 octobre 1902, Alphonse Bertillon démontre pour la première fois à ses compatriotes l'utilité des empreintes digitales en criminologie.
Et pour les manchots, il fait comment ? Hein, il fait comment ??? Ah que c'est brouillon tout ça !
Ce matin, en consultant ma messagerie, je vois un mél envoyé par le site change.org, qui propose des pétitions.
Le message m'invite à en signer une pour protéger le bois de Vincennes du prolongement de la ligne 1 du métro, message intitulé Touche pas à mon bois.
Si un jour, une ligne de métro devait être prolongée aux dépens du bois de Boulogne, verra-t-on une pétition titrée Touche pas à mon gland ???
À la saint Séverin, chauffe tes reins.
C'est tout ??? Et pourtant, il y a une autre rime tellement plus tentante...
Champignons gnon gnon
Et lardons don don
En om'lette let let
Que c'est bon bon bon
Mireille Mathieu n'a que 75 ans.
C'est fou, je lui en aurais donné dix fois plus.
Georges Brassens aurait 100 ans aujourd'hui ; Jacques Brel 8 de moins.
Il me serai difficile, très difficile de ne pouvoir emporter les disques que d'un des deux sur une île...
Un café ?
"Juste un doigt, un p'tit doigt"
Pas d'bras, pas d'chocolat !
"Chiotte !"