Il y a 77 ans, le grand Charles a lancé la pelle du 18 juin... une façon comme une autre de signifier à l'ennemi que la France insoumise (si si) allait déterrer la hache de guerre contre lui.
La religion nous dit "Tu iras au paradis"
Peut-on qualifier cela d'idée "Existe en ciel" ?
Je vais vous faire mon petit quart d'heure vieux schnock.
"On pense que ça puisse se faire... "
"Je déplore qu'on a pas eu... "
... et tant d'autres phrases du même type, prononcées ici, là, à la radio, la télé, au boulot... qui m'écorchent les oreilles sur un emploi, à mon sens, plus qu'approximatif du subjonctif, ou non.
A chaque fois, ça me fait le même effet, celui de la craie mal tenue par l'élève qui, en écrivant sur le tableau, la fait grincer au point que j'ai les dents qui me rentrent dans les gencives.
Ou je vieillis mal, ou l'emploi hypothético-aléatoire de la conjugaison envahit notre langage et j'avoue que je n'ai pas la sensation d'être en difficulté avec les années qui s'accumulent.
Certes, la langue française est complexe mais dans les deux occurrences qui précèdent, le simple fait d'entendre la phrase me parasite l'esprit.
Le subjonctif sert à exprimer le désir, la volonté, l'exigence ou un sentiment dans une subordonnée.
Ici pour "On pense que ça puisse se faire", est-ce le cas ? Désir, volonté, exigence ? Non. Peut-être le sentiment d'une possibilité. Alors pourquoi pas, mais il me semble que la proposition aurait plus de poids et de force de conviction sous la forme "On pense que ça peut se faire"
Pour le second exemple cité, "Je déplore qu'on a pas eu... " j'avoue que "Je déplore qu'on ait pas eu... " m'aurait bien plus satisfait car on se rapproche du souhait (regretter de ne pas avoir est synonyme de souhaiter avoir eu)
Alors compulsion désuète de ma part ou évolution malmenée contemporaine de notre langue ?
Le débat est ouvert et j'attends vos réactions, afin que je puisse, euh non, que je peux, ah ben non, que j'ai, mmhhh, toujours pas, afin que j'aie... j'hésite.
Ah, oui, j'ai trouvé... pour me faire une idée, merci !
Le merluchon parachuté n'a vraiment peur de rien.
En parlant du petit nouveau à la tête de l'état il a déclaré que ce dernier «va finir par croire qu'il marche sur les eaux»
Et lui, le merluchon parachuté au bord de la Méditerranée... c'est une tentative ? Jaloux !!!
Alors, pas pour un certain nombre d'idées qu'il défend que je ne trouve pas forcément sottes, mais bien pour sa façon d'agir, ça me ferait bien rigoler que dimanche soir, le merluchon parachuté boive la tasse...
Roland Barthes, dans La chambre claire, un superbe livre sur la photographie, explique que devant une photo, notre regard est attiré dans l'image par ce qui nous point... ce qu'il nomme le punctum.
A priori ici, le fait qu'il y ait deux humains aurait tendance à nous faire focaliser sur eux, d'autant que la dame est de face.
Le chien avait du lire Barthes et se disait qu'il serait peinard pour faire ses petites affaires, vu que le spectateur serait happé par la scène humaine... mais dommage, Médor... on t'a vu !
"Merde... !"
Tu es dyslexique, tu as une fâcheuse tendance à inverser les r et les u, alors quand tu dragues, évite de dire : "t'es vraiment une belle brune"...
... ou alors, apprends à courir vite.
Demain, il faut voter, mais il vous pouvez le faire dès aujourd'hui pour soutenir une classe de CM qui a composé et interprété Le 8ème continent, une chanson écolo.
Plus il y aura de votes, plus les enfants seront récompensés.
Si vous avez aimé, votez pour eux.
Si vous n'avez pas aimé, votez quand même pour eux comme si vous aviez aimé.
Merci pour eux.
J'ai peur en avion... C'est comme ça, c'est incontrôlable. Trouille du crash, de la chute en mer, de l'explosion en plein vol... Alors quand je prends l'avion, j'essaye de ne pas penser à tout ça. Pour ce faire, je fixe mes yeux sur quelque chose qui détourne mon esprit de la crainte et du stress.
Par exemple ici, en fixant la petite croix, je pense au paradis et j'apprécie la beauté des Saints...
Après cette entrée en grande pompe, il n'est pas étonnant que le nouveau président, pour l'instant droit dans ses bottes, soit épaulé par une majorité de députés en marche soupçonnés d'être finalement bien godillots.
Après, il faudra attendre un peu pour voir si c'est le pied... ou pas.
Eh les gars de REM, ne cherchez plus la couleur de votre mouvement. Vue la multiplicité des origines de vos composants, le costume d'Arlequin conviendrait bien.
Allons bon. Monsieur le Garde des Seaux, qui est mouillé dans des petites histoires, dit à son chef qu'il fait ce qu'il veut...
Qui aurait imaginé que dans ce nouveau gouvernement composé de tout, comme REM, il y ait un insoumis.
Etonnant non ?
Conseil d'un journaliste pour réussir sa sortie des années lycée.
Pensez à prendre du plaisir pendant les épreuves du bac.
Hum... ça va pas être facile de tenir le stylo correctement.
Après plus de trente ans, affaire Grégory, cinq nouvelles personnes mouillées...
"Les électeurs sont à vomir... "
Dis donc Henri le perdant, bordel de merde, c'est pas parce que t'as pris une branlée aux législatives qu'il faut éructer comme ça, en voilà un langage à propos de ceux qui votent, et pas forcément pour toi. Tu aurais pu faire comme le merluchon pas content, te contenter de faire la gueule sans insulter ceux qui ont le droit de choisir qui ils veulent !!!
Si le soleil continue, vendredi à la cantine il n'y aura pas de poisson pané... de la dernière pluie.
Les surdoués... ouais... bof, pas dans tous les domaines.
Ce matin à la radio, un grand frère surdoué parle de son petit frère surdoué, 15 ans, qui se présente au bac cette année :
"... il a la même maturité que les autres... c'est vrai, il n'a pas encore de poils sur la barbe... "
Va falloir faire gaffe au moment de se raser avant les épreuves, ça va être compliqué : enlever les poils sur la barbe sans toucher à la toison qui supporte...
Vu la grande jeunesse de notre nouveau Président, la Bérézina annoncée aux législatives pour les caciques des anciens partis politiques sera vécue comme un vrai cas mouflet !