
Après "Pince mi et pince moi sont en bateau, pince mi tombe à l'eau, qui reste-t-il ?" on sait que "Manu est sur le porte avion" mais... "Qui sera dans le tonneau ??? "
Après "Pince mi et pince moi sont en bateau, pince mi tombe à l'eau, qui reste-t-il ?" on sait que "Manu est sur le porte avion" mais... "Qui sera dans le tonneau ??? "
Le saviez-vous ? Il arrive parfois aux Africains de la savane d'être mous du gnou !
11 novembre, Paris, le gros naze était de fort mauvaise humeur
"Tweet grrr tweet grrr tweet grrr tweet grrr tweet grrr tweet grrr tweet"
"T'as vu Manu, la gueule qu'il tire ?"
"Laisse béton, ma biche... il est jaloux"
Le 11 novembre dernier, les Femens qui ont franchi le périmètre de sécurité des Champs Élysées ont été évacuées... dard dard ?
Préparez vos mouchoirs...
Merci Dom pour cette vidéo
Une fois de plus, devant la diarrhée scripto-tweetesque de la tronche de cul peroxydée, rappelons-nous la maxime de Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord :
"Tout ce qui est excessif est insignifiant !"
Dictée flash ce matin chez les CM2 : "Autrefois, les dames faisaient la lessive au lavoir... "
Correction par les élèves, dont un au tableau : "Autrefois... les dames... fessaient... "
Damned ! Les dames fessaient !!! Au lieu de faire la lessive ???
La maîtresse (terme plus adapté, en l'occurrence, que l'enseignante... ) corrige (ouh là, on en rajoute... ) en précisant "Aaahhh le verbe faire est coquin ! "
Tout est dit.
Mais souvenons nous qu'il n'y a pas si longtemps, la Mère Denis œuvrait au lavoir dans la publicité pour la marque Vedette. Et qu'utilisait la Mère Denis ??? Je vous le demande, et je vous le réponds... un battoir !!! Pas moins. Alors, ne nous étonnons plus.
"Une tape sur le cul et au lit !"
Certes certes, mais pour quoi faire ??? J'ajoute que, si la publicité reparait sur nos écrans, je pense que le rouge me montera aux joues en regardant celle-ci.
Spéciale dédicace à Pauline
Ce matin au boulot... "... le résultat d'une multiplication se nomme le produit... " et là, dans mon dos, j'entends une petite voix ajouter "... laitier !"
Je reviens sur la polysémie du terme pour caler les choses, mathématiquement parlant et signifier que le produit en arithmétique, n'est en aucun cas laitier.
Cependant, à bien y réfléchir, lorsqu'on abuse desdits produits laitiers, du côté de la vésicule, c'est le calcul assuré. Pfff !
Ranger les nombres dans l'ordre croissant, et pourquoi pas en ordre brioche ou pain au chocolat du temps qu'on y est !
Spéciale dédicace à Pauline
Parfois, les théories sur les hémorroïdes sont sans fondement, paradoxal non ?
Si le bas est à l'image du haut, tu as intérêt à être très vigilant quand tu te fais faire le maillot...
"Poil au dos !"
13 novembre 2015, 3 ans... mais si présent. Pensée très émue aux victimes directes et colatérales du Bataclan.
Vends testostérone... en vrac
70 chefs d'état près de la tombe du soldat inconnu. Une belle occasion pour faire le ménage. Mais faut d'abord trier... on laisse tomber.
Quand t'as la raie sur le côté, vaut mieux que ce soit sur la tête...
Je revenais de faire quelques courses ce samedi soir pluvieux d'automne. Dans la voiture, comme à l'accoutumée, j'écoutais la radio, France Inter. Guillaume Gallienne, voix calme, lisait des extraits du tout nouveau prix Fémina, Le lambeau, de Philippe Lançon.
Les mots faisaient images, fortes, d'autant plus fortes, pesantes, que, moi qui n'ai pas été touché dans ma chair lors de l'attentat de Charlie Hebdo, je peine encore à me souvenir de ce jour là sans que les larmes viennent embuer mon regard.
Je me revois ce 7 janvier 2015, dans la cuisine de la résidence où je préparais le repas de midi pour Nicole. C'était un mercredi, il était un peu plus de onze heures trente. Je me souviens que France Info égrenait en continu l'actualité récurrente. Je me souviens qu'il y a eu ce moment où l'annonce d'un attentat m'a glacé le sang. Je me souviens qu'en apprenant à qui les terroristes s'en étaient pris, j'ai senti mes jambes flancher, effet de cisaillement, sidération.
Je ne connaissais pas les victimes personnellement, mais d'entre les cinq, j'en connaissais deux, tellement. Cabu, Wolinski, qui avaient bercé mon adolescence de leurs dessins amusants, impertinents, provocateurs. Cabu, Wolinski. Je leur dois encore aujourd'hui le plaisir de la dérision, le sens de l'autodérision, le goût de l'humour, parfois grinçant. Certes, ils n'ont pas été les seuls à contribuer à la construction de ma pensée, mais ils y ont eu leur place, importante.
Les savoir assassinés, liquidés, m'a été aussi terrible que la perte d'un proche. Leur meurtre, et celui de leurs autres compères, qui partageaient la même façon de voir les choses m'a atteint, retourné, bouleversé. Au delà de ce qu'ils représentaient pour moi, ils étaient aussi symboliques. Liberté de penser, liberté de s'exprimer, liberté ! La chose était si évidente que je n'en avais jamais mesuré l'importance.
Monsieur Lançon, vos mots, portés magnifiquement par Monsieur Gallienne, m'ont touché, profondément. Merci à vous. A la veille de la commémoration de la fin de la première guerre mondiale, ce que j'ai entendu ce jour me permettra de penser, le 11 novembre, aux victimes de la connerie meurtrière humaine, quelle qu'en soit la forme.
Ma dentiste a les traits assez fins mais je ne lui trouve pas un visage très rassurant... allez savoir pourquoi ???
"Prêt pour le plombage ?"
... quand c'est comme ça, au moins, tu n'as que les dents à protéger
On ne peut pas tout avoir
"Euhhh les mucsl's i'fonctionnent ben, mais l'cerveau i'a du mal à commander... et pis l'bras gauch', i' fait toujours le con, i' veut pô obéir... "
Gros con blond peroxydé vs Manupiter fatigué... Sourire de circonstance au repas de ce jour.
Finalement, la diplomatie, c'est savoir être affable avec l'autre tout en ayant envie de le dézinguer. Simplissime.
Très attaché à la précision du sens des mots et des phrases, je reconnais être parfois un peu pénible. Cependant, quand la gente politique utilise un mot pour un autre, tout cela pour user de façon éhontée de la langue de bois, je suis non seulement très agacé mais surtout inquiet sur la pensée de ceux qui sont aux manettes.
Entendu hier aux informations du matin à la radio : "... accélérer la trajectoire... " !?!?!
Madame Bénédicte Peyrol, députée de la 3ème circonscription de l'Allier, vous êtes juriste de formation. Il me semble que le juridique est particulièrement exigeant sur la sémantique lexicale. C'est précisément ce qui permet aux avocats de plaider, dans un discours ciselé et adapté aux circonstances. Or c'est vous qui hier avez utilisé cette expression qui m'a choqué au point que j'en ai oublié le sujet.
Alors, je vais une fois de plus jouer les casse-pieds.
Accélérer : "Rendre plus rapide un mouvement ou un développement en cours" (selon le CNRTL). Pour faire plus court, accélérer, c'est augmenter la vitesse d'un objet (réel ou virtuel) en déplacement.
Trajectoire : que ce soit en physique, en astronomie ou en cosmographie, le trajectoire est une courbe, une ligne, un trajet (toujours selon le CNRTL) En conséquence, la trajectoire est une chose possiblement représentable sur papier.
Alors, je suis en mesure de tracer cette courbe, cette ligne, ce trajet, mais l'accélérer ??? Je peux tracer plus loin ma courbe, ma ligne, mon trajet, je peux les allonger. Je peux accélérer l'exécution de ce tracé mais "accélérer la trajectoire", cela ne veut strictement rien dire, n'a aucune signification directe, car cela n'est même pas une métaphore, même si nous pouvons comprendre, car nous, auditeurs, ne sommes pas stupides, ce que veut signifier la députée.
Cependant, utilisant une langue de bois asémantique pour défendre des idées et des choix politiques, ça donne à réfléchir sur le fond. Si ce dernier est aussi creux ou mal construit que la forme, alors nous sommes bien mal partis...
A la veille de la célébration du centenaire de la première, il est bon de rappeler quelques nombres. 18 600 000 morts entre 1914 et 1918. Entre 50 000 000 et 70 000 000 (selon les interprétations) entre 1939 et 1945...
Pour faire image, je suis allé voir les pays classés par ordre de population. 18,6 millions, c'est la population actuelle de la Syrie (quelle coïncidence quand on parle de guerre) et si on fait une moyenne à 60 millions, c'est un peu moins que la population française aujourd'hui (67 millions)
Cela signifie, si on se permet les raccourcis, qu'en moins de 100 ans, la guerre aura rayé de la carte l'équivalent de deux pays... ça donne à réfléchir.
Aaaaaaahhhh
"Enfin le weekend"
Hypnotique
"Aie confiaaaaaanceeeee, croiiiiiiis zennnn moiiiiiii !"
Chefs, chiffes.... choufez ! Fâcheux Fouché chafouin fauché ? Fichu chauffé facho fâché !