Plusieurs jours sans publier. Pas vraiment la tête à ça. Climat géopolitique glauque pour ne pas dire effrayant. Certes, quand les syriens ou autres peuples se faisaient pilonner avec l'aide de Poutine, je n'ai pas réagi avec autant de stress. Pays plus loin, moins concernant a priori, même si les petits syriens réfugiés, j'en ai vus dans les écoles où je travaillais. Alors oui, là, je ne me sens pas tranquille du tout, forcément. Avec les menaces brandies et la détermination inoxydable d'un seul homme à la tête de l'armada nucléaire la plus importante du monde, je serre les fesses. Et quand je serre les fesses, ça bloque mes neurones de la déconnade. Mais bon, il me reste encore un peu de bon sens pour à la fois me dire que l'humour aide à tenir, que dis-je, à résister. Alors, the show must go on.