

Les affaires reprennent chez Plaisir de mots...
Deux raisons à cela.
La première, c'est qu'avec Coco19 1.0, pour ne pas sombrer dans la morositude et maintenir le lien avec une foule de collègues que j'apprécie, j'avais pris le pli, dès la claustration, de leur écrire tous les matins, ne serait-ce que pour dire un petit bonjour, pour leur dire que, même à distance, nous continuions à faire équipe. Ces petits mots, à mesure du temps, ont grossi, sont devenus plus importants, tristesse, rage, rire... L'importance d'écrire, toujours.
La seconde, c'est que j'en ai fini, ou presque, avec l'éducation nationale. Il lui reste à me payer des vacances, il me reste à faire une pré-rentrée.
Ainsi, retrouvant du temps, de la liberté, je vais écrire, encore et encore, pour vous, pour moi, car écrire, c'est vivre.