29 août 2018
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Ci-dessous, un bel exemple d'adaptation. Quand on a les gonades comme des pommes de pin pendant lourdement sous le coucou suisse, il y un fort risque de les voir usées prématurément si elles restent à l'entre-jambe, à l'entre-patte ici. La migration est donc dictée par un réel instinct de préservation dans le but ultime d'une reproduction annoncée sans fuite de semence suite à une crevaison malencontreuse sur le gravier de la cour de ferme ou d'un auto-écrasement maladroit par une patte gauche.

La nature est vraiment extraordinaire.